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Afficher les éléments par tag : Affaire Aïda Ndiongue

La sentence est tombée finalement hier, vendredi 28 mars 2014, pour Aida Ndiongue, détenue en prison depuis le 17 décembre dernier, dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a donné un mois, délai requis, à l’ex-sénatrice libérale pour justifier l’origine licite de ses biens estimés à 47 milliards de F Cfa.

 

L’étau se resserre une fois de plus autour de la responsable libérale, Aida Ndiongue, poursuivie dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a rendu sa sentence en donnant un mois (c’est le délai requis) à l’ex-sénatrice pour justifier l’origine licite de ses biens évalués à 47 milliards de FCfa. A cet effet, une mise en demeure sera délivrée aux avocats de la responsable libérale. Un exercice qui ne devrait pas poser de problème dans la mesure où les avocats de la défense admettent détenir tous les documents qui prouvent la licité des biens incriminés. Ainsi, ils soumettront tout à l’appréciation du Parquet spécial.
Publié dans La Une de la Presse

ENRICHISSEMENT ILLICITE - Aida Ndiongue mise en demeure vendredi

L'OBS - L’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue, sera obligée de prouver l’origine licite des 47 milliards FCfa découverts dans ses comptes. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est disposée à lui servir une mise en demeure vendredi prochain.

Il faudra beaucoup de chance à Aïda Ndiongue ou un retournement de situation extraordinaire pour qu’elle échappe à une mise en demeure de la de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) après demain vendredi. 

Publié dans La Une de la Presse

Aïda Ndiongue devra faire face à un autre front judiciaire. Après le procureur de la République, c’est le procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite qui s’intéresse à la fortune de la Libérale. En prison depuis décembre dernier, elle sera extraite de sa cellule vendredi, dit-on, pour recevoir sa mise en demeure.

Aïda Ndiongue atterrit à la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).

Publié dans La Une de la Presse

La responsable du Parti démocratique sénégalais (Pds), Aïda Ndiongue, a connu hier une matinée très mouvementée. Après son refus de déférer à la convocation du Tribunal, l’ex-sénatrice libérale a été cueillie de force par des agents de l’Administration pénitentiaire sur ordre du procureur de la Républi­que. Finalement, le procès de l’ex-sénatrice, poursuivie pour voies de fait, injures, menaces de mort a été renvoyé au 1er avril.

Elle est défigurée : Maxillaires serrés, pâle, poignardée par un sentiment d’injustice. Elle est frappée non plus au cœur, mais dans son orgueil et sa dignité. Aïda Ndiongue est donc face à elle-même, étreinte par cette main glacée du destin qui succède aux chaudes illusions du succès. C’est l’heure de vérité. Grandeur et décadence ! Sertie dans du diamant, l’ex-sénatrice libérale a vécu hier une matinée très mouvementée au Tribunal de Dakar. 

Publié dans La Une de la Presse

DAKARACTU.COM Le moins que l'on puisse dire est que le sort semble s'acharner, grave même, sur l'ex sénatrice. 

Et pour cause ? Alors que son gratiné dossier qui lui vaut une incarcération est loin, bien loin même de connaître son épilogue avec des rebondissements à n'en plus finir, nous sommes en mesure de révéler qu'Aida Ndiongue a trimé  dur ce mardi matin. 
Figurez-vous que la bonne dame, a été extraite de sa cellule par une escouade de gardes pénitentiaires. Surprise, l'ex sénatrice qui faisait sa toilette sera alors extraite et conduite manu militari au tribunal de Dakar. N'en revenant pas, elle demandera sans cesse aux gardes l'objet de cette opération digne d'un commando, compte tenu du nombre impressionnant de matons. Mais elle n'aura point de réponse à ses interrogations. Conduite dans un premier temps à la cave du tribunal, Aida Ndiongue se verra notifier un DPAC, c'est à dire détenu(e) pour autre cause.
Publié dans PEOPLE

Les choses se corsent  davantage pour l’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue. La traque des avoirs supposés détenus par la responsable du Parti démocratique sénégalais (Pds) a connu un rebondissement. Pour être dans la procédure, l’Etat a décidé de se constituer partie civile, dans le cadre de la traque des biens supposés de l’ex-sénatrice, soupçonnée de s’être enrichie illicitement.

 Cette constitution de partie civile va permettre, sans doute, à l’Agent judiciaire de recouvrer des biens de l’Etat du Sénégal ou même de recevoir des dommages et intérêts. «Dans le souci de recouvrer des biens mal acquis dont est soupçonnée la mise en cause, l’Agent judicaire a jugé nécessaire de noter la constitution de l’Etat du Sénégal en tant que partie civile», a indiqué une source proche du dossier. Le Quotidien apprend, par ailleurs, qu’un pool d’avocats va défendre les intérêts du Sénégal.

Publié dans News

 LA CBAO LIBERE A L’ETAT LES 47 MILLIARDS DE AIDA NDIONGUE - Le juge confie les biens à la Caisse des dépôts et des consignations

L'OBS - Désormais, c’est la Caisse des dépôts et des consignations qui détient l’argent et les biens de Aïda Ndiongue estimés à 47 milliards de francs Cfa. Ce, suite à une ordonnance du juge du deuxième Cabinet ordonnant à la Compagnie bancaire de l’Afrique occidentale (Cbao) de libérer les biens.

La Compagnie bancaire de l’Afrique occidentale (Cbao) vient de se séparer des biens de la dame libérale, Aïda Ndiongue. Un souhait exprimé par les autorités de l’établissement financier depuis les révélations du procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. Et, c’est le juge du deuxième Cabinet, Samba Fall, qui a pris une ordonnance, hier à 17 heures, pour ordonner le transfert des biens de Aïda Ndiongue, estimés à 47 milliards de francs Cfa, à la Caisse des dépôts et des consignations. Désormais, l’Etat est détenteur des 47 milliards de francs Cfa de Aïda Ndiongue jusqu’à la fin des enquêtes sur l’origine de cette fortune. 

Publié dans La Une de la Presse

iGFM (Dakar) Les gendarmes de la Section de Recherches (Sr) de la gendarmerie de Dakar sont retournés, hier, selon Libération au siège de Cbao-Attijari pour remettre une convocation, avec comparution immédiate, au Directeur général de cette banque. 

Mais, à leur grande surprise, ils se sont entendus dire qu’ Abdelkrim Raghni aurait repris les airs pour le Maroc, pour, dit-on, "une urgence" ! Et, en attendant qu’il revienne, c’est la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite (Crei) qui s'invite dans le dossier renseigne le journal Libération.

Publié dans La Une de la Presse

La Cbao s’est lavée devant le ministère de l’Economie et des Finances et la Bceao qui ont interpellé la banque qui a hébergé la fortune de Aïda Ndiongue. Les autorités de l’institution financière  ont indiqué que si elles n’ont pas signalé les transactions de sa cliente, c’est parce que l’argent en question provenait de virements du Trésor public. Par conséquent, la Cbao ne pouvait y voir une quelconque illégalité.

L’affaire Aïda Ndiongue prendra sans doute une nouvelle tournure. Si la somme mise en cause, plus de 47 milliards de F Cfa, occupe les débats, le modus operandi est désormais au centre du sujet.

Publié dans La Une de la Presse

WALF.SN

Les avocats de Aïda Ndiongue avaient déclaré qu’aucune perquisition n’a été faite au domicile de leur cliente. Mais hier, le juge du 2ème cabinet a envoyé les gendarmes de la Section de recherches chez la responsable libérale. Des documents «importants» ont été retrouvés. Et les enquêteurs comptent les exploiter pour, dit-on, «remonter la filière».

Publié dans La Une de la Presse