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Recevabilité et renvoi de la requête des avocats de Karim Wade devant le Conseil constitutionnel : Suprême paradoxe d’une décision
La Cour suprême, saisie d’un recours en Cassation d’une ordonnance de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), a rendu vendredi dernier une décision qui, à l’examen, se révèle être un véritable déni de justice.
Il est vrai que les textes qui organisent la Crei posent un véritable problème de respect des droits de la personne humaine et, dans ces colonnes, nous avons déjà eu à stigmatiser ce fait.
ANOCI - Retard dans la publication du rapport de l’IGE : Une si longue attente
La tolérance accordée à Sindiély Wade va-t-elle prévaloir sur la gestion de l’Agence nationale pour l’Organisation de la conférence islamique autrefois gérée par son frère Karim Wade ? L’Inspection générale d’Etat (Ige) s’était engagée à tirer cette affaire au clair. Rendez-vous avait été donné à la presse. A ce jour, la promesse tarde à être tenue.
Annoncé en grande pompe, le dépôt du rapport sur la gestion de l’Agence nationale pour l’organisation de la Conférence islamique (Anoci) semble tomber dans le panier des non-priorités. Du moins, la suite qui lui a été réservée demeure inconnue.
BIENS MAL ACQUIS - Recouvrement et cautionnement : Près de 90 milliards sous le coude de l’Etat
Il est vrai que la justice a mis le trac du côté des personnes poursuivies pour enrichissement illicite présumé. Il est vrai aussi que l’Etat a recouvré des milliards. Mais l’on est loin du décompte annoncé ou des résultats attendus.
La seule prise consistante et classée dans la rubrique «Recouvrement» demeure le cas Dubaï Port World qui a versé le reliquat du ticket d’entrée de 24 milliards, suite à un rapport accablant de l’Inspection générale d’Etat. Et le 29 mai 2013, le ministre de la Justice de l’époque, Aminata Touré, avait remis un chèque de 1 milliard de Francs Cfa au ministre du budget.
L'OBS du 31/01/2014 - LA CBAO LIBERE A L’ETAT LES 47 MILLIARDS DE AIDA NDIONGUE - Le juge confie les biens à la Caisse des dépôts et des consignations
L'OBS - Désormais, c’est la Caisse des dépôts et des consignations qui détient l’argent et les biens de Aïda Ndiongue estimés à 47 milliards de francs Cfa. Ce, suite à une ordonnance du juge du deuxième Cabinet ordonnant à la Compagnie bancaire de l’Afrique occidentale (Cbao) de libérer les biens.
La Compagnie bancaire de l’Afrique occidentale (Cbao) vient de se séparer des biens de la dame libérale, Aïda Ndiongue. Un souhait exprimé par les autorités de l’établissement financier depuis les révélations du procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. Et, c’est le juge du deuxième Cabinet, Samba Fall, qui a pris une ordonnance, hier à 17 heures, pour ordonner le transfert des biens de Aïda Ndiongue, estimés à 47 milliards de francs Cfa, à la Caisse des dépôts et des consignations. Désormais, l’Etat est détenteur des 47 milliards de francs Cfa de Aïda Ndiongue jusqu’à la fin des enquêtes sur l’origine de cette fortune.
L'OBS du 30/01/2014 - Traque des biens supposés mal acquis, les minutes de l’audition de Tamaro Seydi à la CREI
DAKATELI
«Commando» fusille sur un homme qu’il a pris pour un phacochère
La communauté rurale de Dakatéli dans le département de Salémata (Kédougou), a été le théâtre d’une scène rocambolesque le 18 janvier dernier. Jean Pierre Camara, plus connu sous le sobriquet de «Commando», parti à la quête d’un gibier dans la forêt, a tiré trois coups à bout portant sur Toumany Diallo, qu’il dit avoir pris pour un phacochère. Jugé, il a écopé de 3 mois d’emprisonnement ferme.
TRAJECTOIRE - NOUVEAU COMMISSAIRE CENTRAL DE DAKAR
Abdoulaye Diop, nouveau génie protecteur de Dakar
L'OBS du 24/01/2014 - TRAQUE DES BIENS SUPPOSES MAL ACQUIS Panne sèche
TRAQUE DES BIENS SUPPOSES MAL ACQUIS Panne sèche
Elle avait débuté en fanfare, mais elle a connu un coup de frein. La traque des biens supposés mal acquis n’a pas donné les résultats escomptés, au point de pousser les tenants du pouvoir à peaufiner plusieurs scénarii pour une sortie honorable.
L'OBS du 23/01/2014 - ENQUETE… ANCIENNE SÉNATRICE AUJOURD’HUI AU CAMP PÉNAL Aïda Ndiongue, la noblesse au cachot
ENQUETE…
ANCIENNE SENATRICE AUJOURD’HUI AU CAMP PENAL
Aïda Ndiongue, la noblesse au cachot
Aïda Ndiongue, la soixantaine, femme d’affaires et ancienne sénatrice sous les régimes de Diouf et de Wade, est aujourd’hui incarcérée au Camp pénal de Liberté 6 (Dakar). Récemment poussée au-devant de la scène par les révélations du procureur de la République qui la poursuit pour faux et usage de faux portant sur des derniers publics, L’Observateur vous conte la trajectoire de cette ancienne institutrice.
AFFAIRE KARIM WADE La Chambre d’accusation se déclare incompétente
Le verdict de la Chambre d’accusation de la Cour d'appel de Dakar sur l’affaire Karim Wade est finalement tombé hier, mardi. L’instance juridictionnelle qui avait été saisie par la défense de l’ancien ministre d’Etat et non moins fils du Président sortant Abdoulaye Wade, pour annuler la procédure judiciaire intentée contre leur client, s’est déclarée tout simplement…incompétente. Par là, la Chambre d’accusation renvoie dos-à-dos Karim et la Crei (Cour de répression de l’enrichissement illicite).
L'OBS du 22/01/2014 - PROJET DE LOI SUR LA DECLARATION DE PATRIMOINE Macky impose le vœu de chasteté à Niasse, Mimi, Aminata Tall et Cie
THIAROYE /MER
Thiaroye en pleurs attend les corps des trois disparus
Thiaroye/Mer porte toujours le deuil, le regard tourné vers l’océan priant que la grande bleue daigne enfin «libérer» les trois corps de ses fils qui manquent encore à l’appel.
PROJET DE LOI SUR LA DECLARATION DE PATRIMOINE
Macky impose le vœu de chasteté à Niasse, Mimi, Aminata Tall et Cie
L'OBS du 21/01/2014 - Réplique des CONSEILS de Aida Ndiongue au Procureur Les avocats renvoient Serigne Bassirou Guèye à ses cours
Réplique des CONSEILS de Aida Ndiongue au Procureur
Les avocats renvoient Serigne Bassirou Guèye à ses cours
Après avoir mal digéré la pilule amère de la conférence de presse du Procureur de la République (Pr), Serigne Bassirou Guèye, les avocats de Aïda Ndiongue ont vomi tout ce qu’il avait, depuis trois jours, dans l’estomac. Dans la salle de conférence de l’hôtel Terrou-Bi, les avocats, estimant que le Procureur a «violé le principe sacro-saint appris sur les bancs de l’université», l’ont renvoyé à la Fac avant de le placer au banc des accusés pour le délit de violation du secret de l’instruction. Démontant les accusations du maître des poursuites qui «ne connaît pas son dossier», selon eux, ils ont expliqué les avoirs de la dame.