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«J’ai vu Macky Sall en face d’un océan sans limite. Cela traduit une émergence sociale dans le pays. Mais il y a un obstacle entre Macky Sall et cet océan. Cet obstacle c’est l’emprisonnement de Karim Wade » a révélé la voyante Selbé Ndom.
«Si Macky libère Karim, dira-t-elle, le pays connaitra des changements positifs.

«Les chantiers de Macky Sall sont nombreux mais l’affaire Karim Wade bloque tout. J’ai vu tout cela dans un rêve. Et ce sont des personnes d’ethnies pulaar qui parlaient avec moi. Seule la libération de Karim fera émerger les projets de Macky. Les sénégalais seront très contents du travail de Macky s’il le libère. Et ils verront des réalisations concrètes de son Gouvernement » soutient-elle. 

Mously Diakhaté ne comprend pas du tout les attaques contre Marième Faye Sall. Selon la députée, les Sénégalais devraient féliciter la Première Dame pour les œuvres importantes qu’elle accomplit. « Je trouve ces attaques contre la Première dame injustes. 

En cette matinée caniculaire du samedi, Farba Ngom a enfilé son «blouson» pour effectuer son jogging. L’exercice permet au député de maintenir sa silhouette légèrement trapue. Cet entrain physique lui donne la forme pour remettre les choses au clair après un «colportage» de «fausses» informations sur lui. Dans cet entretien, le député Farba Ngom donne sa part de vérité sur les insultes à la Présidence, la réduction du mandat de Macky Sall, les complots au sein de l’Apr et Moustapha Diakhaté. 

Le très célèbre Colonel Malick Cissé est dans de très beaux draps. Selon Libération, il a été déféré hier, après vingt-quatre heures de garde-à-vue. En même temps, les gendarmes ont présenté au Procureur son présumé complice la dame K.K.  A l’origine de cette affaire, une plainte déposée par l’agent judiciaire de l’Etat, Aïcha Gassama. 

L’islamologue en service dans le Groupe Futurs Médias, Oustaz Taïb Socé, pense que la recrudescence de la criminalité s’explique par « l’absence d’une loi qui terrifie les hommes…Il y a trop de laisser aller dans notre pays qui est à majorité musulmane, mais ne pratique pas la loi divine, la Charia. Et cela a favorisé le nombre de violences noté ces derniers temps. L’abolition de la peine de mort aussi y a joué un grand rôle», dit-il dans «L’Observateur».