• Reportage : Bissau connection
Alors que l’économie de la Guinée-Bissau est sinistrée, le trafic de cocaïne et les commerces illicites prospèrent dans le pays. La présidentielle du 13 avril peut-elle change la donne ? La capture et le transfert aux Etats-Unis, le 2 avril 2013, de l’ancien chef de la Marine bissau-guinéenne, José Américo Bubo Na Tchuto pose de manière spectaculaire la question de l’implication de l’état-major du petit État d'Afrique de l’Ouest, dans le trafic de stupéfiants avec l’Amérique latine. Une enquête de Jeune Afrique.
• Burkina Faso - Compaoré-Kaboré : chronique d'une rupture douloureuse
Jeune Afrique revient sur la "liaison" entre Blaise Compaoré et Roch Marc Christian Kaboré. Entre les deux, ça n’a jamais été l’amour fou. Mais ils se sont fréquentés pendant si longtemps. A tel point que le second était par beaucoup considéré comme l'un des architectes du régime mis en place par le premier. Et tout d'un coup, le dialogue est rompu. Leur histoire commune pouvait-elle se conclure autrement ?
• Economie : Comment faire émerger de grands groupes africains en Afrique ?
Jeune Afrique revient sur un des temps forts du AFRICA CEO FORUM : une réunion patrons/pouvoir publics pour énumérer les handicaps du secteur privé africain et élaborer des solutions. Quelles mesures pour développer le commerce régional ? Comment faire pour que les Africains investissent en Afrique ? Les décideurs répondent.
· Dossier infrastructures - Construction, Veni, vidi… Vinci ?
Après des années de suprématie chinoise, les français Bouygues, Eiffage et Vinci repartent à l’assaut du continent. Qualité, respect des délais et recours à la sous-traitance locale sont leurs nouvelles armes.
· Santé : Ébola, et la fièvre remonte
Il est passé par ici, il repassera par là… Depuis les années 1970, ce virus mortel sème régulièrement la terreur, surtout en Afrique centrale. Cette fois, il sévit en Guinée, et essaime au Liberia et en Sierra Leone. C’est en effet la première fois qu’un pays d’Afrique de l’Ouest est touché. Mali, Sénégal et Côte d’Ivoire activent leur système de surveillance épidémiologique et déconseillent « tout déplacement non essentiel dans la zone épidémique ».