Le maire de Medina Wandifa justifie sa candidature par un souci de cohérence avec la volonté du chef de l’Etat de faire de la Casamance, la zone test de la politique de territorialisation des politiques publiques. Selon lui, compte tenu de cette volonté du chef de l’Etat, il serait important que le prochain président de l’Ams soit issu de cette zone pour mieux faciliter la communication. Déroulant son projet, il a annoncé un chapelet d’engagements.
Outre la représentativité de toutes les communes dans le bureau de l’Ams à travers une politique d’équité et d’équilibre qu’il s’engage à rendre effectif, Malang Séni Faty veut une, fois élu, mettre en place une administration qui comportera tous les services de développement local, une école de formation des élus locaux avec des filières de gestion des collectivités locales et des cellules départementales pour la mise en œuvre de l’Acte III de la décentralisation.
source:http://www.sudonline.sn/malang-seni-faty-defie-aliou-sall-et-cie_a_22245.html
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