« Nous ne voulons pas la manquer. Nous voulons nous assurer que le secteur privé et les membres de nos communautés font partie de la conversation. Nous devrions faire partie de la prise de décision, c’est pourquoi je suis ici et c’est pourquoi il est important que toutes les conversations incluent les composantes africaines et les composantes subsahariennes ».
Oumouna Yahya Atigh, Directrice générale du groupe Time, Mauritanie
Au menu des discussions les questions du climat, d’économie, de fintech, d’intelligence artificielle mais aussi de géopolitique; en somme, les priorités urgentes d’un monde dont la stabilité des richesses est sujette à une géopolitique changeante. Des discussions importantes aussi pour L’Afrique, dont le rendez-vous permettra de se faire valoir comme acteur majeur du futur de la planète.
« L’Afrique est l’avenir du monde et l’Afrique sub-saharienne est le plus grand potentiel, la position principale des ressources, le plus grand potentiel minier, la plus grande énergie. L’énergie verte ne peut être développée qu’en Afrique occidentale. Nous avons de grands projets hydroélectriques en Mauritanie, nous avons de grands projets solaires en Mauritanie, au Niger, au Tchad et en Guinée, nous devons donc faire partie des conversations. Ces décisions ne devraient pas être prises sans nous ».
Oumouna Yahya Atigh, Directrice générale du groupe Time, Mauritanie
Pendant trois jours, du 25 au 27 octobre, plus de 500 chefs d’entreprises et de gouvernements vont échanger sur les idées et les solutions résilientes pour un avenir prospère de la planète.
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