SENETOILE NEWS
Blocus de la transgambienne les conséquences du contournement
Une semaine après l’effectivité du blocus aux frontières avec la Gambie, les transporteurs et chauffeurs sénégalais maintiennent toujours le cap du contournement, même s’ils sollicitent des mesures d’accompagnement. Toutefois, du côté des usagers de la trangambienne, les conséquences de la fermeture des frontières commencent à se faire sentir dans les poches aussi bien des passagers que des transporteurs qui ont revu les tarifs du transport à la hausse. L’autre conséquence directe de ce blocus, c’est le rush sur les bateaux assurant la desserte Dakar-Ziguinchor. Sud Quotidien fait le point dans les différentes gares routières à Dakar, Kaolack, Ziguinchor et Kolda. Un carnet de voyage Dakar-Sédhiou, via Tambacounda, sera diffusé vendredi.
Des réformateurs au comité directeur du Pds : Modou Diagne Fada lâché par ses hommes ?
Modou Diagne Fada est-il en train d'être lâché par ses souteneurs ? La question est de L'As qui indique que ses sources ont aperçu, hier, le chargé de communication des réformateurs à la réunion du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais.
"Mes raisons de voter Non" - Par Abdoul Mbaye
Parce que la Constitution de mon pays ne mérite pas d’être modifiée une énième fois, dans la précipitation, en cours de période de révision des listes électorales, avec une procédure budgétaire d’exception, et sans délai suffisant pour permettre d’en expliquer les raisons au peuple souverain appelé à s’exprimer.
Aussi parce qu’il faut faire prendre conscience à nos dirigeants politiques d’aujourd’hui et de demain le respect qu’ils doivent à notre loi fondamentale.
Sénégal - Déficit de visibilité du projet de révision constitutionnelle, taux d’abstention… ces menaces qui pèsent sur le référendum !
Programmé au forceps par l’Exécutif, vraisemblablement sans concertation avec toutes les parties concernées (opposition, société civile, mouvements citoyens…), le vote du projet de révision constitutionnelle devant se tenir le 20 mars prochain, risque de se confronter à un véritable front de refus…populaire. Pour bien de raisons liées non pas seulement à la « rétractation » du président de la République qui s’est déterminé à ne plus réduire son mandat en cours, avis du Conseil constitutionnel obligeant, voire au déficit de dialogue politique autour de ces réformes entre le pouvoir et les autres corps du champ politique et de la société civile.
Amnesty international dresse un sombre bilan des droits de l'homme au Sénégal
L'organisation de défense des droits de l'homme, Amnesty international, dresse dans son rapport annuel 2015 une situation peu reluisante des droits de l'homme en 2015 au Sénégal.
"Le rapport annuel 2015-2016 dresse un tableau peu reluisant de la situation des droits humains au Sénégal. Des préoccupations soulevées en 2015 figurent de nouveau dans ce rapport, ce qui signifie que l'état du Sénégal n'a pas fait les efforts qu'il est tenu de faire, en vertu de la législation nationale et du droit international, pour remédier à se manquements", a notamment Seydi Gassama, directeur exécutif d'Amnesty international Sénégal.
La mendicité des enfants n'est pas spécifique à la société sénégalaise (Penda Mbow)
Représentante personnelle du président de la République auprès de la Francophonie, Penda Mbow a déclaré que le phénomène des enfants mendiants est « un indicateur au développement, qu’on le veuille ou non. Et tant qu’on n’arrivera pas à l’éradiquer, il sera difficile de dire que le Sénégal est un pays émergent, un pays développé ». Selon elle, la question de l’émergence doit avoir une ligne de mire. Et la mendicité des enfants n’est pas un phénomène propre aux sociétés africaines, notamment à celle sénégalaise, mais plutôt un phénomène de sous-développement. À en croire Mme Mbow, même l’Europe a connu le phénomène des mendiants pendant tout le moyen-âge. C’est pourquoi elle estime que le Sénégal peut bel et bien trouver une solution à cette question.
Idrissa Seck parle de l’affaire Samba Thioub
Ce n’est ni un soutien aveugle, encore moins un mépris vis-à-vis de son protégé et camarade de parti qui a maille à partir avec dame Justice. Samba Thioub pour ne pas le nommer, croupit en prison pour une affaire de drogue. Son mentor, Idrissa Seck, qui jusqu’ici ne s’était pas prononcé sur cette affaire de colis contenant de la drogue, a clairement indiqué son parti ne cautionnerait en aucun cas une activité relative à la drogue. « Le parti Rewmi ne saurait en aucune façon cautionner une activité relative à la drogue, c’est évident que c’est un fléau national, mondial que nous condamnons de toutes nos forces. Mais jusqu’à preuve du contraire, le frère Samba Thioub nous a servi l’assurance qu’il n’est ni de près ni de loin lié à cette affaire », martèle le rewmiste en chef.
Cheikh Bamba Dièye appelle à voter NON au référendum
Appréciant la situation politique nationale suite au reniement du président de la République Macky Sall, le Fsd-Bj a décidé de participer activement au référendum en appelant à voter massivement pour le NON, «afin d'en faire la chronique d'une défaite annoncée pour les tenants du Wax waxeet», informe un communiqué de presse reçu à Seneweb et signé de l’ancien ministre Cheikh Bamba Dièye.
Respect de l’avis du conseil constitutionnel par Macky Sall Khalifa Sall «désavoue» Tanor
Khalifa Sall, le maire de Dakar et secrétaire national à la vie politique du Parti socialiste, est loin de partager l’avis du secrétaire général de son parti, Ousmane Tanor Dieng, sur la posture de Macky Sall vis-à-vis de l’avis du Conseil constitutionnel. Dans une déclaration envoyée à la presse hier, dimanche, l’édile socialiste de la Ville de Dakar a tenu à faire savoir que la décision du chef de l’Etat est « un coup porté non seulement à notre démocratie mais aussi à la classe politique toute entière puisqu’elle décrédibilise la parole publique et discrédite les hommes politiques dans leur capacité à tenir leur engagement ».