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Sam, Nov
SENETOILE NEWS

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Le faux général Aziz est sa ridicule propagande populisme Hitlérien. Si le populisme servait à grand-chose, Hitler serait immortel. C’est tellement déshonorant leurs mensonges publics mais le ridicule ne tue guère depuis des siècles en Mauritanie. Ce sont les mêmes qui ont menti et continuent à mentir au nom de Dieu depuis l’antiquité non? On parle beaucoup en ricanant dans les couloirs du pouvoir que pour être coopté plus vite par le sommet de l’état il faut que le mensonge soit de plus en plus gros et monstrueux qui choque les consciences et mœurs.

Le Conseil constitutionnel saisi le 19 janvier dernier révisera certainement l'architecture technique présentée par le président de la République dans son projet  de révision constitutionnelle : les dispositions proposées conduisent tout droit à une dictature qui ne dit pas son nom avec un verrouillage systématique qui ne donne aucune autre alternative au citoyen. Sur les principaux points en effet, notamment sur la procédure d'élection et de durée du mandat du président de la République et sur la forme républicaine, la laïcité, le caractère indivisible, démocratique et décentralisé de l’État, M. Macky Sall ne laisse aucune alternative actuelle quand il affirme que "cet  article ne peut être l’objet de révision".

Sénégal   Le Groupe de travail sur la détention arbitraire du Conseil des droits de l'homme de l'Onu a réexaminé son avis sur l’emprisonnement de Karim Wade, détenu depuis avril 2013, pour enrichissement illicite. Pour une seconde fois, ledit Groupe a jugé «arbitraire» la privation de liberté de l’ancien ministre d’Etat libéral, non sans demander à l’Etat du Sénégal de prendre toutes les mesures nécessaires pour le respect des droits du détenu.  

Sur demande des avocats de l’Etat, le Groupe de travail sur la détention arbitraire du Conseil des droits de l'homme de l'Onu a révisé son avis adopté, lors de sa 72ième session, tenu du 20 au 29 avril 2015 et concernant l’affaire Karim Wade. 
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Réagissant à la dernière décision du groupe de travail de l'ONU sur les détentions arbitraires, Mimi Touré, ancien Garde des Sceaux estime que « cet organe devrait mieux utiliser son temps et son énergie car l'affaire Karim Wade a été définitivement jugée par la justice sénégalaise seule compétente en la matière ».

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Sénégal   Référendum, réduction du mandat présidentiel, projet de révision constitutionnelle, indécision dans le calendrier républicain, crise à l’Assemblée nationale, réforme problématique du code des collectivités locales, crise des grands partis présageant une recomposition à venir du champ politique, panne du dialogue politique entre le pouvoir et l’opposition, Affaire Lamine Diack…L’année 2015 aura été en vérité riche en évènements et en soubresauts dans le champ politique sénégalais. Sans même être une année électorale ou pré-électorale, 2015 a engendré polémique et controverse dans la classe polémique et dans l’espace public.

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Il n'y a pas que dans les rangs de l'Apr où on est contre la réduction du mandat présidentiel à 5 ans. Mamadou Lamine Massaly est d'avis pour que le Président Macky Sall fasse un mandat de sept ans conformément à la Constitution, rapporte La Tribune. 

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Malick Gakou continue de pêcher dans les eaux progressistes jusque dans le fief de Moustapha Niasse à Keur Madiabel. En atteste le ralliement du chargé des élections de l’Afp, Aliou Niang. «Je respecte beaucoup Moustapha Niasse, mais je suis jeune et j’ai des ambitions. J’ai rejoint le Grand parti car Malick Gakou a été courageux de décliner son ambition pour ce pays. 

Cinq (05) décennies de vie constitutionnelle ont permis à notre pays de mettre à jour ses mécanismes institutionnels essentiels à la pratique républicaine. 
En effet, durant plus de cinquante (50) années, les différents ressorts du jeu politique interne, quoique souvent teintés, naturellement, de tensions, mais sans débordements tragiques, ont pu témoigner de 
la solidité à toute épreuve de notre ordonnancement institutionnel. Pendant ces moments, coïncidant avec une re-sacralisation sans précédent des droits et libertés humains, la vivacité des dynamiques citoyennes sénégalaises, sans cesse entretenue par les régimes successifs, a administré la preuve que l’Etat de droit est bien une réalité au Sénégal. 

Interpol, qui émis un avis de recherches international contre Massata Diack, à la suite du mandat d'arrêt international obtenu par le Parquet financier le 18 décembre dernier, a fait plus que placer le fils de Lamine Diack sur sa liste de surveillance. Selon le journal Libération, l'ex-conseiller en marketing de l'Iaaf a intégré I-24/7 , ce fameux système mis en place pour traquer les fugitifs . 

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Le président Macky Sall ne veut pas que les gens épiloguent sur son mandat. Samedi dernier, à Louga, il s’est montré amer dans son discours devant le Khalife de la famille omarienne, Thierno Bachir Tall. Pour preuve, estime « L’As » de ce lundi 11 janvier 2016, Macky Sall qui était visiblement irrité par la passion autour du débat sur la réduction de son mandat a invité les Sénégalais à la sérénité et à se mettre au travail, gages du développement durable.