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Sam, Nov

MACKY SALL : "Personne ne peut m'empêcher de faire ce que je prévois de faire"

Après avoir défendu sa décision de participer à la marche de Paris, le président de la République a publiquement répondu à ceux qui, dit-il, essaient de lui mettre des bâtons dans les roues. 
Selon Macky Sall qui présidait ce matin, la journée de réflexion stratégique sur l’entrepreneuriat féminin au Sénégal, dans la perspective du Plan Sénégal Emergent : "Je ne vais pas faire dans la langue de bois. 

Charlie Hebdo : un imam propose un boycott des produits français

Tambacounda, 23 jan (APS) - L’imam de la grande mosquée de Saré Guilèle, dans la commune de Tambacounda (Est), a proposé dans son sermon de la prière de ce vendredi que les musulmans boycottent les produits français en représailles aux caricatures du prophète Mouhamed (PSL), publiées par un journal édité dans ce pays.


’Je propose que nous fassions un embargo sur les produits français, jusqu’à ce que la France revienne sur sa position, avant qu’on ne normalise nos relations avec elle’’, a dit l’imam Wilane.

Il a vivement déploré cet ‘’acte odieux’’, consistant faire des dessins supposés représenter le Prophète, estimant que le fait qu’il ait été commis pendant le mois du Mawlid marquant l’anniversaire de la naissance du Prophète (PSL) n’est pas fortuit. 

Abdoulaye Daouda Diallo trouve "raisonnable" la marche du Président Sall à Paris

Interrogé sur le voyage du Président Macky Sall à Paris et le tollé que cela a provoqué surtout dans les familles religieuses, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, soutient la position du chef de l’Etat.

Il explique : «Le Sénégal est lié à la France par des relations très fortes et anciennes. Ce pays a eu même à intervenir dans plusieurs crises en Afrique, notamment en Centrafrique. Mais cela ne signifie en rien qu’on cautionne une autre caricature sur le prophète (Psl). 

Sénégal - « Le Parti socialiste soutient la candidature d’Aliou Sall » (Abdoulaye Wilane)


iGFM – (Dakar) A en croire le porte-parole du Parti socialiste (Ps) Abdoulaye Wilane qui a représenté le parti à la conférence de presse de l’Apr tenue ce vendredi à sa permanence, le Ps soutient la candidature d’Aliou Sall dans le cadre de la grande coalition Bby.

Sur la candidature d’Alioune Ndoye, le maire de Kaffrine informe que « celle-ci n’a été discutée dans aucune instance du Ps, donc elle serait individuelle ».

Réunion houleuse des cadres de l’afp, hier niasse «dézingue» ses opposants

  «Aucun imbécile, aucun salopard ne peut rompre ce qui nous lie, Macky Sall et moi», a dit Moustapha Niasse hier, jeudi 22 janvier, en réplique à un groupe de militants progressistes conduits par El hadji Malick Gackou, opposé à la décision de l’Afp de ne pas présenter de candidat à la présidentielle de 2017. Des militants qui adressaient au patron de l’Afp huées et slogans hostiles, à l’occasion d’une rencontre des cadres du parti, avant que celui-ci ne profère à leur encontre des menaces ouvertes. Qui plus est, Moustapha Niasse a fait savoir qu’il ne cautionnera et n’apportera son soutien à aucune candidature de l’Afp contre Macky Sall en 2017.  

Le placide Moustapha Niasse, patron de l’Afp et non moins président de l’Assemblée nationale, est sorti sans retenue de ses gonds hier, jeudi 22 janvier 2015, lors d’une réunion organisée à Dakar par l’Alliance nationale des cadres pour le progrès (Ancp). 

Procès de Wade-fils: Me Yérim Thiam révèle un «piège» de Karim Wade et ses avocats

Après le refus de Karim Wade de comparaître à la barre de Cour de répression de l'enrichissement illicite, la polémique enfle. Selon ses avocats, Wade-fils n'est pas en état de se présenter devant les juges du fait qu'il a été brutalisé et menotté lors d'une audience. Mais la partie civile à son idée sur la question. Selon Me Yérim Thiam, le prévenu est entrain de faire du cinéma. « Il a fait des actes de rébellion et s'est blessé, tout seul lors de l'audience », renseigne Me Thiam. 

Violation de ses droits, agression et manque de sécurité Karim entame une diète forcée

  Suite à l’agression dont il a fait l’objet avant-hier, mercredi 14 janvier,  considérant que ses droits à la défense sont bafoués depuis plus de trois ans, et craignant aussi pour sa sécurité, Karim Wade entame une grève de la faim, depuis le soir de mercredi. Une diète forcée qui ne s’arrêtera  tant qu’il ne sera pas rétabli dans ses droits. L’ancien ministre d’Etat l’a fait savoir hier, jeudi 15 janvier, devant la barre, tout en tenant pour responsables le président de la Crei, Henri Grégoire Diop, et le président de la République, Macky Sall.  

Gambie- garde a vue des présumés auteurs de la tentative de coup d’État Amnesty international exige le respect des normes judiciaires

  Dans une déclaration contenue dans un communiqué parvenu hier mercredi 21 janvier 2015 à notre rédaction, Amnesty International a lancé un appel aux autorités gambiennes pour faire juger au plus vite les proches des personnes supposées impliquées dans la tentative de coup d’Etat avorté et qui ont récemment été arrêtés.  

«Les autorités gambiennes doivent inculper ou libérer les proches des personnes soupçonnées d'avoir participé au coup d'État manqué de décembre, et les autoriser à consulter un avocat sans délai », a déclaré Amnesty International dans un communiqué parvenu à la rédaction, hier mercredi 21 janvier.  Mieux, poursuit l’organisation non gouvernementale, « si les autorités gambiennes veulent que justice soit faite, elles doivent soit relâcher les personnes arrêtées, soit les inculper d'infractions dûment reconnues par la loi s'il existe des raisons légitimes de le faire ». Selon Amnesty International, « en maintenant des personnes en détention arbitraire, elles cherchent davantage à instiller la peur qu'à obtenir justice ». 

Crei : Pourquoi Karim refuse de comparaître

 Le procès de Karim n'a pas encore repris au Palais de justice, malgré la médiation jouée par le bâtonnier de l'ordre des avocats pour rapprocher la Cour et la défense. Le fils de Me Wade a refusé de comparaître et s'est terré à Rebeuss. "Karim Wade a été brutalisé sans raison et des maltraitances ont été exercées sur sa personne. Il est souffrant, il ne peut pas comparaître, il est à Rebeuss", déclare à la Rfm, un de ses conseils, Me Ciré Clédore Ly. Mais selon un proche du pouvoir, le prisonnier le plus célèbre de Rebeuss se porte bien. 

Karim Wade plaqué au sol et menotté, le siège du PDS saccagé: Les libéraux s'indignent et promettent la riposte

Karim Wade plaqué au sol et menotté, le siège du PDS saccagé: Les libéraux s'indignent et promettent la riposte

Le Parti démocratique sénégalais, a dénoncé, hier, lors de la réunion du Comité directeur, l"'agression" de Karim Wade au Palais de justice de Dakar. Les libéraux ont aussi affiché leur colère suite au "saccage" du siège de leur parti. Ils accusent Macky Sall d'être le seul responsable de cette situation et promettent la riposte. Lisez le communiqué du Comité directeur du parti.

Procès de Karim Wade: Un des assesseurs du président de la Cour claque la porte

On aura tout vu avec le procès de Karim Wade et ses co-accusés poursuivis pour enrichissement illicite. Alors que l'ancien ministre d'État et ses avocats ont refusé de se présenter devant les juges, un des assesseurs du président de la Cour a boudé l'audience d'aujourd'hui. Yaya Dia a claqué la porte et aurait même démissionné de la Cour de répression de l'enrichissement illicite. Que s'est-il passé ? Tout est parti de la question posée par l'assesseur en question au témoin du jour, Eli Manel Diop, l'ancien Directeur général de la société AHS. 

Sénégal - AMS - Soutien du PS à Aliou Sall : Les Verts en zone rouge

Que se passe-t-il au Parti socialiste ? C’est la question qui se pose au sein de la formation dirigée par Ousmane Tanor Dieng. L’Alliance pour la République (Apr) a trouvé un consensus autour de la candidature de Aliou Sall à la présidence de l’Association des maires du Sénégal (Ams) alors qu’il avait au moins cinq adversaires, tous membres de son parti.

Refus de comparaitre sans ses avocats Karim Wade violente et blessé au genou

  A la reprise du procès, suspendu pour une pause de 1h30mn, Karim Wade a refusé de revenir dans la salle en l’absence de ses avocats. Face à ce refus les forces de l’ordre le menottent, le malmènent et l’amènent de force dans la salle, devant ses partisans qui n’en revenaient pas. Devant la barre, Karim demande la permission à la Cour de pouvoir s’assoir, car étant blessé au genou. Le procès a été suspendu jusqu’aujourd’hui, le temps que ses conseils reviennent à de meilleurs sentiments ou à défaut, constituer un autre pool d’avocat pour sa défense.   «Je demande à la Cours de me permettre de m’assoir car je suis blessé au genou», a déclaré Karim Wade, hier mercredi 14 janvier, devant la barre. Face au juge de la Crei, l’ancien ministre d’Etat sous Abdoulaye Wade a déclaré avoir été violenté, agressé, brutalisé à l’intérieur du box des accusés par les préposés à la sécurité.

Sénégal - Polémique sur les «violences» contre Karim le parquet «clot» le débat

  Le débat soulevé après les «violences» exercées sur Karim Wade, pour le faire comparaitre de force au tribunal le mercredi dernier connait un nouveau rebondissement. Hier, mardi 20 janvier, le procureur spécial près la Crei a indiqué que, dans le code de procédure pénale du Sénégal, il n’est pas question d’user de la force pour faire comparaitre un prévenu. Une position qui vient rejoindre celle des avocats de la défense, même si par ailleurs, la partie civile campe toujours sur sa position.    

Sénégal - Charlie Hebdo: au moins un millier de manifestants à Dakar, drapeau français brûlé

Au moins un millier de manifestants ont protesté à Dakar après la prière du vendredi contre la caricature du prophète Mohamet(PSL) par l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, ont constaté des journalistes de l’AFP. Un drapeau français a été brûlé devant l’ambassade de France, dans le centre de Dakar, par un groupe de manifestants qui ont scandé des slogans à la gloire du prophète Mahomet et contre Charlie Hebdo, selon des journalistes de l’AFP. La police a lancé des bombes lacrymogènes pour disperser la foule, qui criait «Allah akbar».

Affaire Bassirou Faye : Deux autres policiers placés sous mandat de dépôt

Selon le site Actusen.com le Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf, vient de placer sous mandat de dépôt deux autres policiers dans l’affaire de l’étudiant Bassirou Faye, tué le 14 août dernier lors de violents affrontements avec les policiers. Le policier Tombon Oualy qui a été interpellé et placé sous mandat de dépôt quelques semaines aprés le meurtre a toujours clamé son innoncence. Le témoin de la scène, Sette Diagne affirme lui aussi que celui qui avait tiré ce jour-là n’est pas Tombon Oualy.

Sénégal - Le Président renforce sa sécurité: De quoi Macky Sall a-t-il peur ?

Après sa participation controversée à la marche de Charlie Hebdo et la vague d’indignation qu'elle a suscitée au Sénégal, Macky Sall a renforcé sa sécurité. Hier, à l’inauguration de l’Unité de cardiologie interventionnelle et de la web radiologie numérisée de l’hôpital Aristide Le Dantec, c’est toute une garnison de gendarmes, l’arme à l’épaule, déambulait dans l’enceinte de l’hôpital, renseigne L'Observateur. D'après le journal, le dispositif sécuritaire était tout simplement impressionnant. Perché sur le balcon d’un pavillon, un homme en bleu faisait office de sniper, tandis que devant l’estrade, les éléments de la garde rapprochée du chef de l’Etat, se sont faits plus nombreux que d’habitude. L’œil scotché sur la foule, ils ont mis à bonne distance les invités de la cérémonie. Même lorsqu’il s’est agi de présenter la maquette du nouvel hôpital au Président, une ceinture de gendarmes s’est vite formée pour dissuader les curieux d’approcher de trop près.

Pourquoi j’ai censuré Charlie - Macky Sall estime que la liberté d’expression ne doit pas "entrainer une provocation"

Le chef de l’État invite les uns et les autres à faire la part des choses. À comprendre qu’il puisse participer à la marche de Paris, dimanche dernier, et, trois jours plus tard, interdire la diffusion de Charlie Hebdo sur le territoire national.

"À travers cette présence (à la manifestation), j’ai voulu indiquer que le Sénégal s’indignait face à ces méthodes barbares, intolérantes et inacceptables, a déclaré Macky Sall au micro de Rfi, en marge de son séjour à Ouagadougou, jeudi. Je voulais aussi apporter notre solidarité au gouvernement et au peuple français, qui ont été très solidaires à l’Afrique. C’est ça le sens de la présence, ce n’est pas ‘d’être Charlie’, ou de ‘ne pas être Charlie’."

Dakar - Ucad : Le Saes dit "non à cette mouture de la loi cadre falsifiée"

A l’appel du Syndicat autonome des enseignants du Sénégal (Saes), les universitaires du Sénégal ont battu le macadam, ce mercredi à Dakar. Une manière pour eux de protester contre la loi cadre qui, disent-ils, fait perdre les universités du pays leur autonomie. "Nous ne disons pas non à la loi mais nous disons non à cette mouture de la loi. Parce que cette loi qui a été votée est une mouture falsifiée par le ministre Mary Teuw Niane. Je peux vous donner une copie de la version du 21 décembre 2011. On était 7 à l’amender. Si vous comparez ces deux moutures, vous verrez que la mouture actuelle a été falsifié", a tenu à faire savoir, face à la presse, Aboubacry Ndiaye, secrétaire général du Saes, à l’issue de la marche. 

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