Le directeur général de l’Office du lac de Guiers, Amadou Bocoum, a annoncé le démarrage, en mars, du projet de restauration de la fonction écologique de cette zone humide. Le coût global est de 14 milliards de FCfa. 

Le projet de restauration des fonctions écologiques du lac de Guiers va démarrer au mois de mars. L’annonce a été faite par le directeur de l’Office national du lac de Guiers lors de la cérémonie de la fête de  fin de l’année. Le montant global de la restauration de cet écosystème humide est de 14 milliards de FCfa. Ce financement sera supporté à 80 % par la Banque africaine de développement (Bad) et le Fonds mondial pour l’environnement (Fem).

Même si rien n’est encore ficelé à l’endroit des prochaines candidatures de la coalition « BennooBokkYaakaar », les femmes de l’Alliance pour la République (Apr) dans la commune de Kaolack, ont exprimé, depuis samedi dernier, leurs ambitions pour la mairie de Kaolack.

Plusieurs organisations et groupements de femmes de la région de Thiès viennent de recevoir un financement d’un montant total de 87 millions de FCfa dans le cadre du Fonds national de crédits destinés aux femmes (Fncf).
Les notifications de financement leur ont été remises samedi par le Dr Anta Sarr, ministre de la Femme, de la famille et de l’enfance. Une cérémonie où les femmes ont véritablement sonné la mobilisation à la place « Agora » archicomble. Le ministre de la Femme, de la famille et de l’enfance a indiqué que cette enveloppe va permettre de financer les projets des femmes retenus dans la région. Ces projets figurent parmi les 400 requêtes reçues pour une cible de 12 800 femmes au plan national en instance de financement et une enveloppe globale de plus de 800 millions de FCfa.

Le prix Nobel de médecine et de biologie, le Pr. Luc Montagnier, et d’autres passionnés des questions liées à la santé étaient, hier, l’hôte de l’hôpital de médecine traditionnelle de Keur Massar qui revendique de bons résultats dans le traitement des cancers, des hépatites, des hémorroïdes, du paludisme et, dans une moindre mesure, la prise en charge des malades du Vih/Sida. Le codécouvreur du Vih/Sida n’écarte pas une collaboration avec cet hôpital  pour vérifier l’efficacité des traitements.  

Kolda, une campagne de commercialisation arachidière désastreuse. L’argent des huiliers se fait  attendre, les producteurs eux supplient les opérateurs achetant les semences à prendre en crédit leur production. Ce qui met dans le circuit les premiers bons impayés. Les cris de producteurs désemparés commencent à se faire entendre. Explication.

Le prix Nobel de médecine et de biologie, le Pr. Luc Montagnier, et d’autres passionnés des questions liées à la santé étaient, hier, l’hôte de l’hôpital de médecine traditionnelle de Keur Massar qui revendique de bons résultats dans le traitement des cancers, des hépatites, des hémorroïdes, du paludisme et, dans une moindre mesure, la prise en charge des malades du Vih/Sida. Le codécouvreur du Vih/Sida n’écarte pas une collaboration avec cet hôpital  pour vérifier l’efficacité des traitements.  

Dans le cadre de leur coopération, la Croix-Rouge française et celle sénégalaise ont décidé  de mettre en place un institut de formation de lutte contre la malnutrition dans la région de Kédougou. L’annonce a été faite mercredi, au terme d’une audience entre les présidents de ces deux institutions et  le ministre de la Santé et de l’Action sociale.

La Croix-Rouge française et celle sénégalaise vont construire un institut de formation en malnutrition et de gestion de postes de santé dans la région de Kédougou. C’est ce qu’elles ont annoncé mercredi, à la suite de leur audience avec le ministre de la Santé et de l'Action sociale. Selon le président de la Croix-Rouge sénégalaise, Abdoul Aziz Diallo, l’idée « de mettre en place cet institut de formation vient dans le sens de compléter nos activités de lutte contre la malnutrition, des projets mère-enfant ».

L'Apr (Alliance pour la République) et L'Ucs (Union des centristes du Sénégal) ensemble aux prochaines locales à Ziguinchor : l'idée a été agitée ce week-end par le ministre de la Jeunesse Benoit Sambou, non moins responsable dans la ville du parti au pouvoir. En réponse, le député-maire de Ziguinchor Abdoulaye Baldé, en fin diplomate, n'a pas dit non mais attend de consulter la base. Question à mille balles : ces listes communes Apr-Ucs pour la conquête des collectivités locales de la région Sud ne préfigurent-elles pas une nouvelle recomposition politique ou est-ce une simple stratégie politique en perspective des locales 2014 ? Ziguinchor s'interroge.