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Sam, Nov

SAINT-LOUIS - Santé de la reproduction :Les préoccupations des jeunes prises en compte

L’Ong britannique Marie stopes international Sénégal ouvre son premier centre pour la santé de la reproduction des adolescents et desjeunes à Saint-Louis. Il permettra de prendre en charge les préoccupations sexuelles de cette frange de la population.

La santé de la reproduction des jeunes adolescents n’est pas seulement la préoccupation des autorités sanitaires du Sénégal. L’Ong Marie stopes international (Msi) a installé hier à Saint-Louis son premier centre pour la santé de la reproduction des adolescents et jeunes. Installé dans le village de Sanar Wolof à proximi­té de l’Université Gaston Berger, ce centre a pour vocation, selon Sanou Gningue, directrice du Marketing social de Marie stopes international, d’offrir toute la gamme des services en santé sexu­elle et reproductive à tous les adolescents et jeunes de Saint-Louis issus du milieu scolaire, universitaire ou déscolarisés. 

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SÉDHIOU-1ERE ÉDITION DU CONGRES TRIENNAL DE BAMACOUNDA L’éducation de base au centre des travaux

 

Le village de Bamacounda situé dans les périphéries sud de la commune de Sédhiou a célébré le week-end dernier la première édition de son congrès triennal. Les travaux ont porté sur l’éducation de base mais les tribunes ont été propices à des réclamations pour l’obtention du courant électrique, l’eau et autres infrastructures de base.

 

A sept kilomètres de la commune de Sédhiou sur sa façade sud en partance pour Bambaly, siège de son conseil rural, se dresse le village de Bamacounda dans un décor de végétation luxuriante. Ici cohabitent diverses ethnies et confessions religieuses, en plein cœur du Boudié.

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SAINT- LOUIS - Les cinq (05) pêcheurs sénégalais disparus dans les eaux mauritaniennes, toujours introuvables depuis 17 jours

SAINT- LOUIS - Les cinq (05) pêcheurs sénégalais disparus dans les eaux mauritaniennes, toujours introuvables depuis 17 jours

On est toujours sans nouvelle des pêcheurs sénégalais disparus il y a aujourd’hui 17 jours. Des opérations de recherches en cours ne présente aucune lueur d’espoir. Ces pêcheurs seraient disparus entre les villes de Nouakchott et Nouadhibou en terre mauritanienne.
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GUINGUINEO/ L’APR MINE PAR UNE CRISE PROFONDE Les responsables engagent des pourparlers

 

Réunis en assemblée générale Samedi dernier dans leur quartier général, les responsables de l’Alliance pour la république (Apr) du département de Guinguinéo dans leur apparence ne veulent plus d’un parti miné par une crise injustifiée et insensée. Une confrontation avec l’actuel maire Souleymane Ndéné Ndiaye, n’est pas une chose aisée, vu les hautes fonctions qu’il a eu à occuper par le passé et qui lui ont permis d’une assise politique non moins négligeable.

 

Ils ont en effet convoqué cette rencontre pour laisser apparaître ce sentiment, et sensibiliser sur les démarches à entreprendre pour la réunification de l’ensemble de la famille républicaine dans le département de Guinguinéo et l’installation d’un parti fort, capable de remporter les prochaines joutes électorales de 2014. 

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BAKEL - Un gendarme trouve la mort dans un accident de Jakarta

BAKEL - Un gendarme trouve la mort dans un accident de Jakarta iGFM (Bakel) Les populations de Bakel sont dans l’émoi et la consternation. Vers 23 heures dans la nuit de mardi dernier, un gendarme sur sa moto communément appelée « Jakarta » a terminé sa course dans le décor en voulant éviter une femme enceinte sur la chaussée. Olivier Badiane puisque c’est de lui qu’il s’agit est mort sur le coup. Sa dépouille se trouve à la morgue du district sanitaire de cette localité. Le corps du défunt devrait être acheminé en Casamance, sa localité d’origine. L’homme de tenue en question fait partie de l’escadron de gendarmerie installé à Touriyimé, village situé à une dizaine de kilomètres de la ville de Bakel. Arouna FALL

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BAKEL-DIYABOUGOU ET ENVIRONS /ACTIVITES D’ORPAILLAGE Levée de la mesure d’interdiction

 

Après sept longs mois de chômage, les orpailleurs officiant à Diyabougou et environs reprendront du service. Cette fois ci, ce sera sur la base du nouvel arrêté du ministre en charge des mines. Le chef du service régional des mines de Tambacounda et un de ses agents y sont à pied d’œuvre pour faire de ce site une référence en Afrique de l’Ouest.

 

La mesure est effective depuis dimanche dernier, les activités d’orpaillage peuvent reprendre à Diyabougou et ce, après sept longs mois d’interdiction du gouverneur de Tambacounda, suite aux incidents meurtriers entre Maliens et Burkinabés dans la nuit du 4 au 5 mars 2013. Cette fois ci, la direction des mines et de la géologie, à travers le service régional des mines de Tambacounda, met tout en œuvre pour que les activités se déroulent conformément aux dispositions de l’arrêté n° 009249 du 14 juin 2013 paraphé par le ministre des Mines, et portant sur l’organisation de l’activité d’orpaillage.

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Cherté des moutons au foirail de Diamaguène : La rage au bout du marchandage

Le constat est sidérant : Les moutons coûtent excessivement chers au foirail de Diamaguène. Venu chercher des moutons pour la grande fête musulmane de l’Aïd-el-kébir prévue demain, Omar Ndoye est inconsolable. «Les moutons coûtent excessivement chers. Je suis venu ici, croyant que ça serait plus abordable. On vend le petit mouton à un prix exorbitant», dit-il avant d’ajouter : «On voit des moutons qui doivent coûter entre 45 mille et 50 mille être vendus à 75 mille et 80 mille francs. Ce n’est pas normal.»

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Dakar Tabaski 2013 -Des images indignes d'une capitale

Des images indignes d'une capitale
 
 
Dakaractu aurait préféré partagé avec ses lecteurs des faits saillants, de belles images, des infos fraiches ou des scoops, mais notre devoir au-delà de l’information est aussi de dénoncer des comportements aux antipodes des pratiques citoyennes. Ces images dignes de la décharge de Mbeubeuss que vous voyez sont celles de la capitale après la fête. Le Boulevard du général Charles de Gaulle ou Boulevard du Centenaire au lendemain de la Tabaski, après le passage des marchands ambulants et déambulant, est envahi par des déchets de toutes sortes. Pourtant  le président Senghor qui avait lui aussi son « I have a dream » avait rêvé d'en faire un ‘’Champs Elysée’’  africain. 
Force est de reconnaitre que ses successeurs Wade et Macky Sall l'ont laissé ou le laisse mourir.
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La SDE interpellé sur un calvaire qui dure: Les populations de Keur Massar, Parcelles et environnants toujours sans eau

DAKARACTU.COM Alors que Dakar semble oublier le calvaire vécu durant la pénurie d'eau qui a assoiffé des milliers de personnes durant presque trois semaines, Parcelles Keur Massar, une partie de Yembeul, Tivaouane peulh et autres proches localités continuent de vivre ce cauchemar. Leur ras-le-bol, les habitants de ces localités l'ont exprimé et menacent de se faire entendre dès après la Tabaski.

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NGAPAROU-INFRASTRUCTURES ET EQUIPEMENTS SCOLAIRES Soutien accru de 43 millions de la municipalité

 

Mamadou Mbengue, le maire de Ngaparou et son équipe municipale se sont impliqués dans la construction d’infrastructures et la dotation de matériel didactique aux établissements scolaires publiques. L’enveloppe 43 millions de francs Cfa, remise la semaine écoulée permet à chaque élève de disposer d’un trousseau composé de matériel géométrique, de cinq cahiers et d’un paquet de crayons de couleur.

 

Après   son soutien de 43 millions de FCfa  destinée  aux établissements publiques de sa commune, le maire de Ngaparou a profité de la cérémonie organisé e devant les autorités académiques de l’inspection de l’éducation et de la formation de Mbour, pour réitérer son engagement de participer au développement de l’éducation et de s’investir pour un climat apaisé dans une école amie des parents mais aussi des élèves. Mais aussi en rendant hommage aux enseignants, partenaires, étudiants et élèves de Ngaparou. A l’en croire, la mise en place du matériel scolaire pour les trois écoles de sa commune entre dans une perspective de gagner du temps  et en même temps de motiver les maîtres et les élèves en leur permettant de démarrer les enseignements le plus tôt possible.

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SÉDHIOU- MARCHE DES ÉTUDIANTS POUR LA CONSTRUCTION DE LA RÉGION Routes, Santé, Education, aires de jeu…tout est prioritaire

 

Les étudiants de la région de Sédhiou inscrits dans les différentes universités du pays ont battu le pavé des grandes artères de la ville hier, vendredi 18 octobre 2013, pour réclamer la mise en œuvre d'un programme spécial de développement. La région de Sédhiou est dépourvue de toutes infrastructures sociales de base. Une semaine auparavant, les jeunes du cadre de concertation avaient manifesté dans la rue pour les mêmes motifs.

 

Les étudiants ressortissants de Sédhiou inscrits dans les différentes universités du Sénégal et regroupés au sein d’une fédération régionale ont arpenté ce vendredi les grandes artères de la commune. Dans leurs rangs, les membres du cadre de concertation des jeunes qui déclare, par la voix de leur président, Idrissa Ndiaye, se retrouver dans les points de revendication.

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TABASKI A KOLDA - L’imam ratib a prié pour la paix et invité les fidèles au retour vers Dieu et au travail

TABASKI A KOLDA - L’imam ratib a prié pour la paix et invité les fidèles au retour vers Dieu et au travail

iGFM (Dakar) Thierno Mamadou Saliou Bâ, imam ratib la grande mosquée de Kolda dans son sermon après la prière des deux rakkas de l’Aïd El Kabîr a exhorté les fidèles à un retour vers Dieu et au travail

 «Un retour vers Dieu et le respect des préceptes de l’Islam, sont les seuls gages d’une prospérité dans ce bas monde ainsi qu’à l’au-delà», a-t-il affirmé. A l’en croire certains malheurs que nous subissons, ne sont rien d’autres que le reflet de nos comportements de tous les jours. Donc dira-t-il celui qui veut du bien doit faire du bien au quotidien et vouloir le même bien pour son prochain.

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SEDHIOU-A LA RECHERCHE DES VOLEURS DE SES BOUEUFS A MADINA BALLANTE Demba Bâ tue à bout portant un enseignant et blesse son compagnon

 

Parti de Niafor à la recherche de ses bœufs volés, le berger Demba Bâ ouvre le feu et tue sur le coup le sieur Moussa Biaye, enseignant de son état. Le jeune homme compagnon de la victime est grièvement atteint.  Ce drame a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi 12 octobre 2013. Ce meurtre qui a tout d’une bavure est qualifié d’acte criminel d’autant que la victime n’avait même pas de la volaille entre ses mains à plus forte raison un bœuf.

 

Demba Bâ, éleveur de son état, a ouvert le feu sur deux personnes à l’entrée du village de Madina Balante, dans la communauté rurale de Yarang, dans le département de Goudomp. Il tue à bout portant le Moussa Biaye, enseignement en service dans la zone de Saré Téning et blesse dans le dos son jeune compagnon. Demba Bâ qui habite le village de Niafor, toujours dans cette partie sud de la région de Sédhiou, était dit-on à la recherche de ses bœufs volés, armé de son fusil.

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