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Me Madické Niang, « je ferai face à Karim Wade…»
Renouvellement du bureau de l'assemblée nationale 2018-2019 les femmes exigent et obtiennent la parité
La parité pour tous les postes électifs dans le bureau de l’Assemblée nationale, instaurée par le président Abdoulaye Wade, a mis à rude épreuve l’hémicycle hier, vendredi 12 octobre. La plénière de la session ordinaire unique 2018-2019, a été suspendue pour contestations dès l'ouverture de la séance. La deuxième vice-présidente, Awa Guèye, a exigé la parité au niveau des postes de vice-présidents. En fin de compte, la majorité a fait sauter le huitième vice-président, Pape Diop de Bokk Gis Gis proposé par le groupe «Liberté et démocratie», en faveur de Yaye Fatma Diop du même groupe qui s’était présentée pour ce poste par lettre.
Djibo Leyti KA, un idéal républicain et socialiste !
14 septembre 2017-14 septembre 2018 : un an pour rendre hommage au républicain.
Un an après, je me suis résolu enfin à tremper ma plume dans l’encrier de mon amertume, de ma tristesse et surtout de ma douleur, face à l’immensité de la perte et la profondeur de la douleur ayant occasionné un grand vide tout autour de nous. C’est au fil du temps égrené que l’absence d’un être cher se concrétise et devient un manque réel. Manque face auquel, notre incapacité d’action se manifeste de jour en jour.
LE DERNIER COMBAT DE WADE !
Karim neen bunu xoli la, Wade bëgul kuko taxal suuf !
En lisant la lettre de Wade en réponse aux responsables parlant de plan B, j'ai eu mal dans ma chair. Très mal même !
Pour le seul fait d'avoir réfléchi et d'avoir exposé sa réflexion dans une lettre, Me Madické a été insulté par le pape du Sopi. Il l'a traité de traître et de quelqu'un qui poignarde ses amis dans le dos.
Je ne prends pas la défense de Madické mais je me dis que trop c'est trop.
Wade est en train de mener en bateau tous les militants du PDS et tout simplement pour les beaux yeux de son fils Karim. Les autres, il n'en a cure !
Verdict du procès de la caisse d’avance de la mairie de Dakar Khalifa Sall écope de 5 ans ferme et 05 millions d’amende
La récente sortie de feu Mamadou Diop, ancien maire de Dakar, pour disculper l’actuel maire, Khalifa Ababacar Sall, dans l’affaire dite de la caisse d’avance, les louanges de ses pairs de l’AIMF comme les nombreuses manifestations ou interventions de certaines autorités coutumières et/ou religieuses de ce pays, ne changeront rien au verdict. La décision du juge Malick Lamotte est tombée hier, vendredi 30 mars, au tribunal de Dakar et elle est sans appel. Elle condamne Khalifa Ababacar Sall à une peine de 5 ans d’emprisonnement ferme. Désormais coupable, selon le juge Lamotte, de « faux et usage de faux en écriture de commerce, de faux et usage de faux dans les documents administratifs et d’escroquerie portant sur les deniers publics », l’édile de Dakar, Khalifa Sall, n’a eu de cesse de clamer son innocence.
Sénégal : après la condamnation de Khalifa Sall, le député Barthélémy Dias arrêté
L'homme politique, fervent soutient du maire dakarois Khalifa Sall, condamné vendredi à cinq ans de prison, a été arrêté dans la soirée du 30 mars, après avoir critiqué les magistrats lors d'une conférence de presse.
Le député sénégalais Barthélémy Dias, un proche du maire de Dakar, Khalifa Sall, condamné vendredi à cinq ans de prison pour « escroquerie sur les deniers publics », a été arrêté par la gendarmerie, a-t-on appris samedi auprès de son avocat.
Barthélémy Dias a été arrêté vendredi soir par la section recherches de la gendarmerie et était toujours retenu samedi dans cette unité à Dakar, selon son avocat Me El Hadji Diouf. « Je ne sais pas ce qu’on lui reproche. Ils (les gendarmes) m’ont bloqué l’accès hier » à la gendarmerie, a-t-il indiqué.
Barthélémy Dias a été arrêté pour avoir tenu dans la presse des propos désobligeants envers les magistrats vendredi, après la condamnation du maire de Dakar, selon la presse locale samedi. Le député s’en était violemment pris aux juges après l’annonce de cette condamnation.
OUSMANE SONKO DRESSE LE BILAN DES SIX ANS DU PRÉSIDENT SALL «DECEPTION ET TRAHISON»
Ousmane Sonko, leader de Pastef/Les Patriotes se dit déçu des six ans du président Sall à la tête du pays. Invité du jour de l’émission Objection de la radio SudFm hier, dimanche 25 mars, le député et opposant au régime de Macky Sall a fait savoir que « le Pse est un programme qui va tout faire sauf le développement économique du Sénégal» avant de nier les performances économiques annoncées par le régime. Le président du parti Pastef, Ousmane Sonko, a craché hier, dimanche 25 mars, sur le bilan des six ans du président Macky Sall à la tête de l’Exécutif. Invité du jour de l’émission Objection de la radio Sud Fm, le leader des Patriotes a indiqué qu’à titre personnel, c’est une «déception» qu’il retient des six années du président Sall à la tête de l’Etat sénégalais.
"Déception", tel est le maître mot de Barthélémy Dias sur les 6 ans de gouvernance de Macky Sall.
L'inconditionnel de Khalifa Sall n'y va pas avec le dos de la cuillère. Son intime conviction est que le président de la République a tout simplement trahi le peuple sénégalais avec des promesses qui rangées aujourd'hui aux oubliettes. Le maire de la commune de Mermoz/Sacré-Cœur fustige la manière avec laquelle l'affaire du pétrole et du gaz est gérée non sans parler de ce qu'il qualifie de magouille sur le fichier électoral en perspective des élections de 2019.
Maraboutages et pratiques mystiques au Sénégal - Quand les acteurs religieux fustigent la tuerie d’enfant « Le pouvoir à quel prix? »
À l’occasion de la manifestation du collectif pour la protection de l’enfant, les imams entre autres acteurs de la religion se sont prononcés sur ces actes de violence à l’endroit des enfants. Des sacrifices d’enfants pour atteindre un statut social, un tel acte est déploré par la population. Ainsi ils demandent à tous de revoir leur comportement et surtout aux parents de veiller sur leurs progénitures.
Enlèvements et meurtres d’enfants au Sénégal Macky Sall tape sur la table
Le Président Macky Sall est décidé à traquer et punir toutes les personnes responsables des rapts et assassinats d’enfants constatés ces derniers temps-ci au Sénégal. De retour de Kigali (Rwanda) où il a signé l’accord de libre-échange continental, le chef de l’Etat a fait part de son engagement résolu à mettre fin aux nombreux cas d’enlèvements d’enfants suivis de meurtres en mettant à contribution toute la force publique du Sénégal. Macky Sall s’exprimait hier, vendredi, sur les ondes de la Rfm. Le président de la République, Macky Sall, a vivement déploré hier, vendredi 23 mars, les nombreux cas d’enlèvements d’enfants suivis de meurtres notés ces temps-ci au Sénégal. « J’ai appris avec beaucoup de consternation et de douleur ces rapts d’enfants suivis de meurtres », a ainsi déclaré le chef de l’Etat sur les ondes de la Rfm. Selon le président, les mesures nécessaires seront prises pour mettre un terme à ce phénomène. « J’ai déjà donné des instructions les plus fermes au ministre de l’Intérieur, au ministre des Forces armées pour que la police, la gendarmerie, disons tous les services de sécurité de l’Etat, les renseignements puissent se mobiliser pour traquer ces malfaiteurs et les traduire devant la justice », a-t-il dit.