En femme indépendante, Julie a choisi un trajet qui ne lui est imposé ni par la raison d’Etat, ni par l’opinion. Quitte à rayer de la carte deux ans d’amour, de cache-cache et surtout d’admiration pour un homme dont l’intellect l’avait touchée au plus profond.
Elle, la fille d’une figure du milieu médical, Brice Gayet, responsable du département médico-chirurgicale de pathologie digestive à l’institut de Montsouris, et d’une mère antiquaire. Habituée aux débats d’idées à la maison. Elevée au bon grain de la réflexion sur le monde. Il faut dire que dès la fin 2013, justement, elle n’était plus sûre de rien. Certains murmurent que l’histoire, qui durait depuis deux ans, en était à s’essouffler. « Les vacances romaines » d’un François échappant aux obligations à scooter, avaient laissé place à un comédie de moeurs disgracieuse émaillé des humeurs de la première dame officielle.
En mars 2013 déjà, Valérie Trierweiler avait eu le cran de l’inciter à démentir les rumeurs en décrochant son téléphone. Elles s’étaient parlées, jaugées. Julie avait mesuré ce qui la séparait de cette femme si déterminée qu’elle en devenait parfois embarrassante pour elle-même. Et puis elle avait effectivement porté plainte pour « atteinte à l’intimité de la vie privée ».
En janvier, quand le magazine Closer se charge de l’ « outing » de sa relation avec le président, de l’avis de ses proches, elle prend donc de plein fouet la violence de cette intrusion (...)
https://fr.news.yahoo.com/julie-gayet-com%C3%A9dienne-na-souhait%C3%A9-jouer-rempla%C3%A7antes-val%C3%A9rie-201621993.html
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