Par Anthony Nugan le lundi 6 juin 2016
Catégorie: Web NEWS

À bas l’esclavage salarié en Mauritanie.

(La Mauritanie est un vaste pays de l’Afrique saharienne, peu peuplé (4 M h), sous-développé, où subsiste trois modes de production imbriqués, le mode de production esclavagiste dans les villes marchandes surtout – le mode de production féodal -le servage- dans les régions rurales-agraires – là où se réfugient les esclaves affranchis, et le mode de production capitaliste dans les villes minières – portuaires et du transport ferroviaire. 
Dans le texte ci-dessous, l’auteur, M. Ould Ciré, un petit bourgeois universitaire parisien,  s’émeut de l’existence de l’esclavage classique et en appel à l’État bourgeois mauritanien et à l’État impérialiste français pour qu’ils mettent fin à l’esclavage traditionnel qui perturbe l’expansion du mode de production capitaliste et de la « démocratie » bourgeoise (sic) dans toute la Mauritanie. La classe prolétarienne révolutionnaire de Mauritanie devrait-elle mener cette lutte anti-esclavagiste afin de permettre aux esclaves classiques de devenir, à leur tour, des esclaves salariés ? Nous ne le pensons pas. La meilleure façon pour les esclaves salariés – la classe ouvrière mauritanienne – de soutenir leurs frères esclaves traditionnels c’est de mener farouchement la guerre de classe contre la bourgeoisie mauritanienne et son État capitaliste.  Bonne lecture.  Robert Bibeau.  Producteur.
 
Lire : http://www.les7duquebec.com/7-dailleurs-invites/contre-lesclavage-en-mauritanie/

 
source: DIKO HANOUNE
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