Les otages abolitionnistes de l’ONG IRA-MAURITANIE , les plus durement torturés lors du dernier rapt de militants des droits humains , sont ceux qui croupissent, qui sont maintenus encore contre vents et marrées par le pouvoir terroriste du faux fou général en prison sans raison évidente à part cette crainte de les voir témoigner devant les institutions internationales sur l'horreur, la cruauté des tortures qu'ils ont subi dans les locaux de la police et ces forces sécuritaires obscures sous les ordres d’un célèbre tortionnaire général, nommé Mohamed Ould Meguett .
Comment un juge ou un procureur qui a un seul brin d'humanisme dans le cœur et conscient dans l'exercice de son travail, peut nier voire refuser de reconnaître de telles réalités d'atrocités de tortures qui crèvent les yeux, même d'un aveugle sur des innocents citoyens pour couvrir des monstres criminels, terroristes armés sous des ordres qui se barricadent sous la tenue officielle de la république islamique ?
Pourquoi ces juges, ces procureurs du mensonge d’état et leur ministre Maitre Brahim Ould Daddah nient des horreurs qu'ils ont fait subir à des citoyens sous un comportement de bestiaux enragés ? Pourquoi ces hommes à la tête des institutions mauritaniennes se caractérisent souvent par leur déni de la réalité surtout de la vérité ? Pourquoi, est-il plus simple pour eux, de protéger les bourreaux que les victimes d'une barbarie ?
À qui peut-on faire croire que ces guignols de juges, de procureurs, de ministres sont indépendants, neutres dans l'exercice de leur mission et leur devoir, qui analysent des accusations sur des faits réels rien que pour faire jaillir la vérité ? N'importe quel fonctionnaire peut porter des accusations gratuites sur des citoyens sans défense, qu'il pourra livrer à la vindicte de ses mensonges à sa guise pourvu qu'il a un bras long, un haut placé dans le sommet de l'état.
Les cadres d’IRA-MAURITANIE ont tous été battus, privés de soins et jetés dans des prisons « fosses communes » comme des cadavres dans un esprit de cruauté indescriptible. Ils ont été accusés à tort, ils doivent non seulement être libérés, réhabilités mais l'état mauritanien doit réparer les préjudices physiques, moraux et psychologiques.
Il n'est jamais trop tard pour réparer une injustice, si l'état Mauritanien ne le fait pas aujourd’hui, demain, les institutions internationales dont la Mauritanie est membre se chargeront à le faire contre la volonté des autorités en place, même si le pays va couler avec le pouvoir actuel qui sème la terreur. On ne peut pas se vanter devant le monde entier d'être des AS en matière de lutte contre le terrorisme pendant qu'on terrorise des citoyens désarmés sans raison.
Voilà les noms des prisonniers martyrs d'IRA-MAURITANIE qui sont encore détenus contre toute attente. Ils ont été sauvagement torturés et sont privés encore de soins pour ne laisser aucune trace de torture dans leur dossier. Les juges et les procureurs refusent d'enregistrer leur plainte qui implique des hauts responsables sécuritaires du pays voire le président de la république islamique de Mauritanie directement.
Six mois après avoir subis les atroces tortures, les béantes plaies sont là, elles n’arrivent pas à se cicatriser ni guérir faute de manque de soins et d’une prise en charge des victimes. Le ministre de la justice, maitre Brahim Daddah, ses juges et procureurs s’y opposent catégoriquement pour couvrir les criminels auteurs de ces actes odieux et cruels.
A noter que : La commission des droits de l’homme (CNDH), le commissariat des droits de l’homme, le mécanisme contre la torture en Mauritanie etc…gardent un silence radio assourdissant sur ces faits cruels d’une gravité extrême.
Personnes concernées par les tortures encore detenus :
-Abdallahi Abou DIOP condamné à 1 an de prison dont 6 mois fermes
-Moussa Biram condamné à 3 ans dont 2 fermes
-Abdallahi Maatalla SECK dit Vieux, est condamné par la cour à 3 ans d’emprisonnement dont 2 fermes.
source: Diko hanoune