Pour Baba Hamdy, « la somme d’un million cinq cent mille francs, est dérisoire comme salaire d’un DG au Sénégal ». Dans son argumentaire, le spécialiste du folk rappelle que le Chef de l’Etat avait voulu prendre de nouvelles mesures pour mettre de l’ordre au niveau des différentes directions nationales.
Il avait décidé de plafonner les différents salaires des DG à 5 millions de nos francs.
Il souligne qu’au moment ou certains directeurs percevaient des salaires de 10 à 15 millions d’autres se contentaient d’un minima d’1 500 000 F cfa.
Le nouveau troubadour du folk estime qu’un directeur de société nationale est trop sollicité et « pour le mettre à l’abri des tentations et de certaines pratiques mafieuses, il faut lui octroyer un salaire décent. »
"La petite enveloppe de 25 millions par an a laissé la porte ouverte à tous les abus"
Premier artiste à se prononcer sur la question depuis que le salaire du DG du BSDA fait le buzz, Baba Hamdy, dans un communiqué rendu public lundi 16 juillet, juge que qu’il faudrait plutôt se pencher « sur les 35 % que le BSDA ponctionne sur le dos des artistes. Il faut aussi revoir le système de rémunération à la hausse et surtout contraindre la RTS à payer convenablement nos droits. La petite enveloppe de 25 millions par an a laissé la porte ouverte à tous les abus. Ce qui fait que toutes les télévisions et radios privées refusent de payer correctement les droits d’auteur ».
Autres griefs, le changement de statut du bureau et l’érection d’une nouvelle société de gestion collective des droits des artistes. Conclusion pour Baba Hamdy Diawara, « il ya beaucoup de problèmes plus importants qui attendent le nouveau directeur. L’heure est grave et il faut plutôt se pencher sur l’essentiel et attaquer rapidement les nombreux chantiers qui attendent la nouvelle équipe pour la bonne marche du secteur. »
Il avait décidé de plafonner les différents salaires des DG à 5 millions de nos francs.
Il souligne qu’au moment ou certains directeurs percevaient des salaires de 10 à 15 millions d’autres se contentaient d’un minima d’1 500 000 F cfa.
Le nouveau troubadour du folk estime qu’un directeur de société nationale est trop sollicité et « pour le mettre à l’abri des tentations et de certaines pratiques mafieuses, il faut lui octroyer un salaire décent. »
"La petite enveloppe de 25 millions par an a laissé la porte ouverte à tous les abus"
Premier artiste à se prononcer sur la question depuis que le salaire du DG du BSDA fait le buzz, Baba Hamdy, dans un communiqué rendu public lundi 16 juillet, juge que qu’il faudrait plutôt se pencher « sur les 35 % que le BSDA ponctionne sur le dos des artistes. Il faut aussi revoir le système de rémunération à la hausse et surtout contraindre la RTS à payer convenablement nos droits. La petite enveloppe de 25 millions par an a laissé la porte ouverte à tous les abus. Ce qui fait que toutes les télévisions et radios privées refusent de payer correctement les droits d’auteur ».
Autres griefs, le changement de statut du bureau et l’érection d’une nouvelle société de gestion collective des droits des artistes. Conclusion pour Baba Hamdy Diawara, « il ya beaucoup de problèmes plus importants qui attendent le nouveau directeur. L’heure est grave et il faut plutôt se pencher sur l’essentiel et attaquer rapidement les nombreux chantiers qui attendent la nouvelle équipe pour la bonne marche du secteur. »