Salaires des…
A croire qu’au niveau du ministère des Sports et de la Fédération Sunugaalienne de football (Fsf), on se fout pas mal des entraîneurs nationaux qu’on pourrait qualifier de nègres de service. Car «nak», le Blanc lui, personne n’ose lui réserver le même traitement. Pour vous dire que depuis 18 mois maintenant, plus d’une dizaine d’entraîneurs nationaux sont nommés à la tête des sélections de Sunugaal, mais aucun n’a perçu à ce jour le moindre centime. Seul Alain Giresse est payé. Et il palpe pas moins de 15 millions de francs Cfa par mois. Sans compter son logement de fonction payé par l’Etat à près d’un million mensuellement, son véhicule de fonction, sa ligne téléphonique supportée à hauteur d’un demi-million par la Fédéfoot, etc. Pendant ce temps, ses adjoints, Boubacar Gadiaga et Sidate Sarr, n'ont perçu aucun centime de leurs salaires.
Sénégal , La Une du populaire - LES OFF DE POP DE CE WEEK-END - 24 mai 2014
Écrit par SENETOILE NEWS
… Coachs nationaux
Et ils ne sont pas les seuls. Car il y a tous les autres comme les coaches des olympiques, Aliou Cissé, des juniors, Joseph Koto, des locaux et autres Demba Ramata Ndiaye, Dominique Gomis, Alassane Dia, Malick Daff, Amadou Diop «Boy Bandit», Victor Diagne, Aly Maal, Bassouré Diaby, entre autres, tous sont sans le sou. Ils sont oubliés par le Directeur technique national (Dtn), qui ne porte même pas le combat. Ils sont ignorés par le président de la Fédéfoot et son bureau. Quant au ministre des Sports, n’en parlons même pas. Pour son département, ces entraîneurs n’existent tout simplement pas. Peut-être qu’il est temps pour Sunugaal de dissoudre toutes ses sélections dont les entraîneurs sont traités comme des moins-que- rien, pour ne garder que la sélection A, dont le patron, le Blanc, a lui droit à tous les égards. N’est-ce pas monsieur le président de la République ?
Accident
Un drame sans précédent a été évité de justesse, hier, sur l’autoroute, à hauteur de Hann. En effet, en fin de journée, un car «Ndiaga Ndiaye» plein à ras bord s’est renversé et, dans sa chute, il est allé s’écraser sur un taxi. Mais comme par miracle, aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. Par contre, on dénombre plus d’une trentaine de blessés, dont une dizaine dans un état grave.
Abdoulaye D. Diallo…
Le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, a balayé d’un revers de main, les accusations portées par les étudiants à l’encontre de la police nationale. En effet, suite aux violents affrontements entre les forces de l’ordre et les étudiants, mercredi dernier, à l’Université Cheikh Anta Diop de Ndakaaru (Ucad), des étudiants avaient reproché aux policiers d’être à l’origine des saccages. Mais, pour le ministre qui se prononçait sur le sujet, hier, au sortir d’une réunion préparatoire sur le pèlerinage marial de Popenguine édition 2014, ce sont des «commentaires exagérés». Mais il ne s’en est pas arrêté là. Car il a tenu à mettre tous les points sur les «i» et aussi a mettre en garde et prévenir les étudiants que le désordre ne sera ni accepté ni toléré.
… Et les étudiants
«Ce qui s’est passé à l’université est inacceptable. On ne peut pas qu’à même permettre à des étudiants de saccager ou de brûler des édifices publics. C’est ce qui s’était passé, et la presse l’avait relayé partout en relevant que l’université a été saccagée par les étudiants. Vous entendez bien que ce n’est pas l’oeuvre de la police nationale», a répondu Abdoulaye Daouda Diallo. Ce dernier, qui se dit soucieux de la quiétude des populations, n’entend pas reculer d’un iota. «Les étudiants qui veulent manifester seront accompagnés, mais il faudra que ça s’arrête là. On n’acceptera, en aucune façon, que des étudiants saccagent les biens publics. Nous avons le droit de protéger les biens et d’assurer la sécurité des personnes et sur cela, nous ne transigerons en aucune façon», a prévenu le ministre.
Asp drogué
L’arrestation d’un assistant de l’Agence nationale de sécurité de proximité (Asp) à Fatick, alors qu’il détenait par devers lui du chanvre indien, n’a pas laissé indifférent le patron de cette structure. Pape Khaly Niang s’est, en effet, fendu, hier, d’un communiqué pour expliquer que «cette arrestation a été rendue possible grâce à la collaboration de ses collègues assistants de la commune». Il ajoute aussi que cet acte répréhensible est contraire à l’éthique et à la déontologie de l’engagement civique de l’assistant. «En conséquence, indique l’Aps, le Directeur général Dr Papa Khaly Niang, approuve fortement cette mesure et rappelle aux assistants qu’aucun écart de conduite ne serait toléré dans le cadre des responsabilités qui leur sont confiées». Il souligne également que «dans cette affaire, le jeune homme appréhendé, bien que n’étant pas en service, devrait en tout lieu et en tout moment respecter l’engagement qui le lie à l’Agence».
SMS parraine…
Le ministre sunugaalien de la Justice postule à la Présidence de la Cour pénale internationale (Cpi). Et comme il l’avait fait pour Mamadou Diagna Ndiaye au Cio, c’est SMS himself qui parraine la candidature de Me Sidiki Kaba. Selon la chancellerie, la candidature de l’ancien président de la Fédération internationale des droits de l’homme (Fidh), qui a été sur tous les fronts de défense et de protection des droits humains, a déjà reçu le soutien de plusieurs pays d’Europe, d’Amérique et d’Afrique. Dans sa profession de foi, le Garde des Sceaux dit «(son) ambition pour la Cpi : une stratégie fondée sur quatre défis majeurs à relever». Le premier, c’est «réconcilier toutes les régions avec la Cpi, notamment l’Afrique et l’Union africaine». Il rappelle d’ailleurs que le Sunugaal a été «le premier Etat au monde à avoir ratifié, en 1999, le Statut de Rome portant création de la Cpi». Visez la suite…
…Sidiki Kaba à la Cpi…
Sidiki Kaba souligne également qu’«aujourd’hui, le continent africain compte le plus grand nombre d'Etats-Parties au Statut de Rome (34)». Mieux, dit-il, «4 juges africains siègent à ce jour à la Cpi et le poste de Procureur de la Cour est également occupé par Madame Fatou Bensouda de la Gambie». Toutefois, reconnaît-il, «une certaine perception de deux poids deux mesures dans l’administration de la justice internationale a créé un raidissement donnant l’impression (inexacte) que la Cour est contre l’Afrique et qu’elle est une institution partiale, sélective, voire discriminatoire». C’est pourquoi, dit-il, «je compte placer mon mandat de président de l’Assemblée des Etats- Parties de la Cour pénale internationale, sous le signe du dialogue et de la pacification des relations entre celle-ci et l’Union africaine, et avec tous les autres Etats de toutes les régions du monde».
…Qui se fixe 4 défis…
Deuxième défi que veut relever l’ancien prési de la Fidh, c’est «développer la coopération entre les Etats et la Cpi». Selon lui, «la Cpi n’ayant ni police ni armée, seuls les Etats-parties peuvent combiner leurs efforts pour faciliter l’arrestation et le transfèrement des suspects devant la Cour». Me Sidiki Kaba est certain que «cette coopération est un pilier fondamental pour le bon fonctionnement de la Cpi et du système de justice internationale mis en place par le Statut de Rome». Troisième défi qu’il compte relever, c’est «renforcer la complémentarité». Rappelant que «la Cour ne peut et ne doit être qu’un recours ultime contre l’impunité», Me Kaba pense qu’«elle n’a pas vocation à se substituer au travail efficient des justices nationales», n’en ayant ni les moyens, ni la compétence. «En effet, en ratifiant le traité de Rome, les Etats n’ont ni abandonné ni limité leur souveraineté», dit-il.
…A relever
Au contraire, poursuit Me Sidiki Kaba, «ils ont clairement énoncé que la responsabilité première de juger les auteurs des crimes les plus graves revient aux Etats». Il explique que «le Statut s’appuie sur le principe de complémentarité, laissant la priorité d’action aux juridictions nationales et ouvrant la compétence de la Cpi qu’en cas d’absence de volonté ou d’incapacité d’un Etat à diligenter des poursuites contre les auteurs présumés de crimes graves». Enfin, le ministre de la Justice sunugaalien veut relever le défi de «travailler à l’universalité du Statut de Rome», en faisant en sorte de «rendre la Cour compétente partout dans le monde pour lutter efficacement et effectivement contre l’impunité des crimes graves relevant de sa compétence».
29 orpailleurs…
Après l’arraisonnement en territoire sunugaalien d’un camion contenant une trentaine d’enfants et de femmes guinéennes et leur escorte jusqu’à Labé ville en début d’année, c’est 29 autres Guinéens en situation irrégulière qui viennent d’être arrêtés à Kédougou par les services de sécurité sunugaaliens et rapatriés en Guinée, rapporte le site Guineenews. Le site souligne que pour ce cas, il s’agit de majeurs qui travaillaient illégalement dans les mines d’or. Ils venaient d’un peu partout de la Guinée : Mali, Labé, Tougué, Koubia, Dinguiraye, Kouroussa et Dalaba. Ils sont arrivés à Mali Yembering en deux groupes. La police a reçu une première vague de 6 personnes, lundi dernier. Ensuite, jeudi, elle a reçu une seconde vague de 23 personnes.
…Guinéens rapatriés
Par contre, le site africaguinee.com s’est intéressé à la réaction du gouverneur de la région de Labé qui a expliqué les conditions dans lesquelles ces Guinéens ont été rapatriés. Selon le gouverneur Sadou Keïta, «ils ont abandonné tout derrière eux, leurs femmes et leurs enfants dans les mines là bas. Ils n’ont pas eu le temps de retourner dans leurs logements. Dès qu’on les ramasse, on les jette à la frontière. Ils étaient obligés de marcher cinquante kilomètres de la frontière à Mali centre», dit-il en précisant, toutefois, que ces Guinéens qui ont été rapatriés du Sunugaal ne disposaient pas de pièces d’identité. Il explique aussi le rapatriement par le fait qu’à cette période de saison pluvieuse, toutes les mines d’or sont fermées.
Coup de gueule
Suite à la dernière sortie musclée de «Macky 2012», Adji Mergane Kanouté, membre de ladite Coalition, s'est fendue d'une déclaration, hier, pour cracher ses vérités. «C’est avec stupéfaction et désolation que j’ai parcouru le communiqué de presse signé par des chefs de parti se réclamant encore de 'Macky 2012'. Messieurs, il faut oser la rupture. Vouloir être et contre (SMS) est de la pure aberration et pose inéluctablement un problème de cohérence et de constance dans la démarche et l’acte posé», fulmine la coordonnatrice des femmes de «Bby». Mme Kanouté enfonce le clou : «Camarades ex-‘Macky 2012’, vous avez créé, avec beaucoup de tintamarre, l’Alliance 2014, de grâce épargnez-nous vos jérémiades et vos injonctions qui tomberont toujours dans l’oreille d’un sourd».
Coup de gueule (bis)
Selon Adji Mergane Kanouté, «'Macky 2012' continue son petit bonhomme de chemin tranquillement, sans bruit, restant un allié sûr, fidèle et sans calcul de (SMS)». «Prenez vos responsabilités et quittez la Coalition de (SMS), en vous assumant et en vous affirmant. Ceux qui s’agitent et qui appellent à boycotter la liste 'Bby', se sont auto exclus de la Coalition 'Macky 2012', car en créant une alliance, ceux-là ne militent pas pour la victoire de (SMS), au soir du 29 juin 2014. Ils veulent la défaite et l’humiliation de (SMS), au soir du 29 juin 2014». «L’heure n’est pas aux querelles fratricides, mais de faire face aux détracteurs de (Kor Marième) et de son gouvernement», conclut Mme Kanouté.
Le Pop primé…
La Coalition des Organisations de la société civile pour la Planification familiale (Osc/Pf) a procédé, hier, à la remise des prix aux lauréats du concours «Médias/population». C’est au cours d’un dîner auquel ont pris part des membres de la Coalition Osc/Pf et tous les acteurs de la planification familiale. Le jury composé d’éminents journalistes et professionnels de la santé, après avoir étudié les différentes productions, a primé cinq journalistes dans les catégories radio et presse écrite. Il s’agit en radio de Mbagnick Diouf (Radio Oxyjeunes) et de Mamadou Niang (Al Madina Fm). En presse Ecrite, ce sont, respectivement, Eugène Kaly (Le Soleil), Aly Fall (Le Quotidien) et Youssoupha Mine (Le Populaire) qui ont été primés, au terme de ce concours lancé au mois de décembre 2013. Les lauréats se sont distingués dans la promotion des questions de population et de développement à Sunugaal à travers des productions journalistiques. Ce concours visait à sensibiliser les populations sur les questions de santé de la reproduction, faire un plaidoyer auprès des décideurs sur les questions de la planification familiale, à augmenter les ressources et à impliquer davantage les journalistes en tant que relais dans les domaines de la santé de la reproduction et de développement.
SOURCE: http://www.seneplus.com/article/les-de-pop-de-ce-week-end-18
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