…Mortel
A hauteur de ce pont «Sunugaal 92», où on note des bouchons tous les jours que Dieu fait, de 6 heures du matin jusqu’à minuit, inutile de vous dire que c’était impossible de circuler après ce choc. Pis encore, le bouchon s’est rallongé jusqu’à l’autoroute depuis les échangeurs de la Patte d’Oie, jusqu’au Croisement Cambérène, et de l’autre côté jusqu’au-delà de l’échangeur de la Foire. La route des Niayes jusqu’au   «Croisement 22» était également complètement bloqué. La route de Liberté 6 était aussi totalement bouchée, tout comme toutes les bretelles menant vers Grand-Yoff et Patte d’Oie. Comme quoi, c’était une soirée de galère dans cette partie de Ndakaaru où la circulation est très dense et cela a duré près de trois bonnes heures.

Accident
Un accident a aussi fait une victime. Il s’est produit dans le département de Sédhiou, à hauteur du village de Djiragone. C’est un véhicule de transport en commun taxi «7 Places» qui a fait plusieurs tonneaux sur la route nationale 4. Un des occupants du véhicule est mort, tandis que les six autres s’en sont sortis avec de graves blessures, rapporte la Rfm et qui précise qu’un autre accident de la route s’était produit plutôt dans la matinée dans cette partie Sud du pays. En effet, deux véhicules de transport en commun sont entrés en collision avec, au finish, un bilan de onze blessés.

Modibo Diop…
Restons avec nos confrères de la Rfm pour évoquer le cas de l’ancien Directeur général de l’Agence Sunugaalienne d’électrification rurale (Aser), Modibo Diop qui a recouvré la liberté, hier, après avoir purgé une peine de prison de 3 ans. Il était poursuivi pour détournement de deniers publics portant sur plus de 400 millions Cfa. Après son élargissement de prison, Modibo Diop s’est, en effet, confié à nos confrères et il soutient toujours être la victime d’un simple règlement de comptes politiques, lui qui a été mis en prison du temps du règne de 3W. «Je rends grâce à Dieu qui a mis cette épreuve sur moi et qui l’a fini dans les meilleures conditions possibles. Durant mes trois années d’emprisonnement, j’ai toujours eu un bon moral. Aujourd’hui, mon moral ne peut se porter que mieux, sachant que justice est faite et que désormais je suis libre (...) Je peux continuer toutes mes activités politiques, professionnelles et civiques dans ce pays pour servir le (Sunugaal)», a dit M. Diop. 

…Se confie
Poursuivant, il a rappelé que «la prison est un des endroits les plus difficiles de la vie» et qu’elle fait quand même «partie de la vie du commun des mortels». «Ces trois ans, c’était des années de réclusion qui m’ont permis de comprendre beaucoup de choses, déjà au niveau des gens, du fonctionnement de l’Etat, de la vie, de la religion, du mysticisme…». Modibo Diop continue de clamer tout ce qui lui est arrivé relève d’un «complot pour me mettre hors d’état de nuire». «Mais Dieu, dans  sa grandeur, m’a sauvé. Aujourd’hui, je reviens dans la scène politique avec tous mes droits sauvegardés. Et je suis prêt à servir mon pays comme je l’ai fait avant. Car dans la condamnation,  es droits politiques, civils sont sauvegardés. Donc, rien ne m’empêche aujourd’hui de continuer le combat que j’ai mené pour le (Sunugaal)», jubile-t-il.

Visé
Après l’affaire des mails trafiqués qui lui étaient attribués et dans lesquels était attaqué un proche du chef de l’Etat et ceux l’accusant d’être Marvel le fameux contributionniste qui, lui, n’a eu de cesse de démentir, voilà le monsieur Com’ de SMS encore plongé au coeur d’une autre machination. Qui en veut à SJD au point de le plonger régulièrement dans des montages pour le jeter à la vindicte, surtout celle des religieux ? En tout cas, depuis quelques jours, le Net est inondé de bandes audio qui lui sont attribuées et qu’il déclare être fausses. Joint par téléphone, hier, SJD dément catégoriquement et se démarque de ce qu’il qualifie de bandes sonores montées de toutes pièces par un faussaire qu’il a clairement identifié et qu’il sait pourquoi ce détracteur lui en veut. 

Coupures de courant…
Hier, le travail a été très sérieusement perturbé, durant une bonne partie de la journée, à l’hôpital Principal de Ndakaaru. La faute à la Senelëndëm dont les délestages interminables et récurrents ont mis à rude épreuve les médecins de l’hôpital Principal. Pour faire face aux urgences et ne pas perdre les malades, l’hôpital s’est rabattu sur les groupes électrogènes qui ont d’ailleurs tourné à plein régime  ans les différents services, comme nos capteurs ont pu le constater. Et même avec les groupes, le travail a été fortement perturbé, car les équipements sont de gros consommateurs de courant. Plus grave, certaines machines risquaient de tomber en panne du fait des allées et retours du courant de la Senelëndëm. 

…A l’hôpital Principal
Et là, inutile de vous dire que c’est des vies humaines que Pape Dieng et sa société des ténèbres mettent en danger. Le plus inquiétant, c’est que l’hôpital Principal est situé à 100 mètres du Palais  résidentiel. Or, si la Société nationale d’électricité est incapable d’assurer une fourniture continue du courant à un hôpital dont le mur est presque mitoyen à celui du président de la République, on se demande comment les autres hôpitaux et les autres Sunugaaliens peuvent espérer échapper à la Seneténèbre ? En tout cas, il est temps pour SMS de régler ce problème. Parce que «nak», les syndicalistes de la Senelëndëm ont prévenu depuis des mois qu’avec l’arrivée de la chaleur, il y aurait des coupures.

Accélère…
«Accélérez la cadence». Ce bout de phrase cher au Premier ministre Mimi «Thatcher» Touré a servi de levier pour les acteurs de la lutte contre le Sida pour solliciter auprès des autorités nationales une riposte efficace contre  le Vih Sida. En effet, tous les orateurs qui se sont succédé au micro, hier, lors de la 7e réunion du Conseil national de lutte contre le Sida (Cnls), ont demandé à Mimi «Thatcher» d’accélérer aussi cette cadence dans la mobilisation des ressources financières pour ce nouveau Plan national stratégique, troisième génération (Psn3g) 2014-2017 contre la pandémie du Sida. 

…La cadence
Le représentant de la société civile, du  Rnp+ et du secteur privé ont, à tour de rôle, prononcé ce bout de phase : «Accélérez la cadence». Ce, pour plaider l’articulation du Psn 2013-2017 à la Stratégie nationale de développement économique et social (Snds), mais aussi et surtout au Plan Sunugaal émergent (Pse). Ce, pour arriver  à zéro nouvelle infection, zéro discrimination et zéro décès lié au Vih d’ici à 2030. Mimi «Thatcher», optimiste, de leur remonter les bretelles : «Je vous invite à la rationalisation des ressources qui seront allouées à la lutte contre la pandémie du Sida au  Sunugaal».

Magal Darou
Selon nos capteurs, c'est aujourd'hui que le Secrétaire général du Parti socialiste (Ps), Ousmane Tanor Dieng, va se rendre à Darou Mouhty qui va abriter, samedi, la cérémonie marquant les  retrouvailles entre Mame Thierno Birahim et Serigne Touba, revenant d'exil. OTD devait s'y rendre demain, mais avec le deuil qui frappe Mansour Kama, avec la disparition de son épouse, il a décidé d'anticiper sa venue. Sur place, il va visiter Serigne Abdou Mbacké, son ami de très longue date.

Lycée PA baptisé
Le lycée des Parcelles assainies change de nom. Depuis hier, il porte le nom de Seydina Issa Rohou Laye, premier Khalife de Seydina Limamou Laye. Le baptême a eu lieu en présence du ministre de l'Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, et des autorités religieuses de la famille Layenne. Mais il faut dire «nak» que le choix de ce guide religieux dont le lycée porte désormais le nom n'est pas  fortuit. Il a, en effet, fait la promotion de l'éducation en mettant en place une école française à Cambérène en 1967. Nos machins nous signalent aussi que toutes les procédures administratives ont été respectées. Car après la proposition de la population, le Conseil municipal  a donné son aval, de même que la mairie de Ndakaaru, avant que SMS ne la valide par décret. 

Le flic et…
Revenons encore sur nos amis policiers qui nous en font voir de toutes les couleurs tous les jours. Hé bien, au croisement dit «Bountou Pikine» jeudi dernier, un fait avait été aussi capté par nos jumelles. Mais cette fois, le flic de la circulation n’a pas racketté un chauffeur de taxi, mais celui d’un «Car rapide». Alors que ce dernier tentait, coûte que coûte, d’éviter le policier au beau milieu de la circulation, car étant conscient qu’il allait lui demander des sous, vu que les «Cars rapides» sont éternellement en porte-à-faux avec le Code la route, il s’est quand même fait avoir. En effet, «Monsieur l’agent», très futé et très déterminé, a réussi à épingler le chauffeur du «Car rapide» qui avait pourtant tout fait pour lui échapper.

…Le «Car rapide»
Pour ce faire, il est allé s’installer tranquillement dans un coin pour guetter sa proie. Ainsi, à peine le chauffeur s’est précipité pour passer par «Tally bou bess» alors qu’il devait allait vers Icotaf, que le flic surgit pour le stopper net. Et puisque d’habitude ce sont les apprentis qui règlent la note, ce dernier est allé voir le policier qui avait fini de confisquer le permis de conduire du chauffeur pour… passer à la caisse. Et c’est noir de colère que l’apprenti est revenu en criant au chauffeur : «Démal way dig na ko» (Vas-y, je lui a promis). Ce qui a plongé tous les passagers du «Car rapide», dont notre capteur, dans une hilarité totale. Puis, chacun d’y aller de ses propres commentaires