Durant ce moment de flottement, le ministre de la Culture et de la Communication s’est retrouvé pris au piège. Regard confus, démarche nonchalante, Mbagnick Ndiaye a cherché partout un espace calme pour délivrer un message aux participants. Peine perdue : Il était quasiment impossible de trouver un endroit idéal pour magnifier ce moment. C‘est finalement après avoir fait le tour de tout le hall du Grand théâtre pour s’entretenir avec les journalistes en vain qu’il s’est retrouvé dans un salon. Et même dans cette petite salle, Mbagnick Ndiaye peinait à avoir où s’asseoir ainsi que le représentant du Sénac. Les journalistes se bousculaient, la presse audiovisuelle n’avait pas d’espace pour poser leurs micros, la presse écrite pareil. 
En tout cas, l’organisation a fait preuve d’un amateurisme renversant hier lors de l’inauguration du village de la Francophonie. Ce couac rajoute un peu plus d’incompréhension sur le choix du Grand Théâtre pour abriter le village de la Francophonie. Alors que les activités liées au sommet se déroulent à Diamniadio, localité située à la sortie de Dakar. Car l’éloignement des deux lieux risque davantage de réduire l’efficacité de la manifestation. A ce rythme, les interrogations sont renforcées par les faits : Ce qui s’est passé hier au Grand Théâtre augure des déconvenues.
Mis à part cela, il y avait une bonne ambiance avec les tam-tam, la musique. Toute une atmosphère rythmée par une ambiance variée pour une cérémonie d’ouverture avec à la clé les danses, le podium du concert pour assouvir les désirs des visiteurs.

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source:http://www.lequotidien.sn/index.php/la-une2/7493-inauguration-du-village-de-la-francophonie--le-sommet-de-lamateurisme