On a beaucoup - pour ne pas dire tout - écrit sur les mauvais résultats du Baccalauréat depuis plusieurs années : gouvernement, enseignants, parents d’élèves ont, tour à tour ou à la fois, été incriminés dans ce qu’on appelle communément la «  baisse de niveau »  des candidats au premier grade de l’enseignement supérieur.  

  Tradition oblige ! Cette année encore, certains chrétiens du Sénégal vont sillonner rues et ruelles en procession suivie de messe pour célébrer l’Assomption en l’honneur de Marie, la mère de Jésus. Plus connue ici sous le nom de “La 15 Août”, cette fête commémorée à cette date garde cette année une particularité, puisque les fidèles sont invités à prier pour les victimes du virus Ebola, pour des pluies abondantes au Sénégal et la paix dans les foyers de tensions. Des recommandations faites par le Cardinal Sarr.  

Vendredi 22 août. La Cosydep procédait au lancement du Livre Blanc à l'Esplanade de l'Hôtel de Ville de Dakar. Ce fut un important moment de remise officielle du document aux autorités (comité des assises et Ministère), devant des organisations de la Société civile, des institutionnels, des collectivités locales, le secteur privé, la presse, des experts et des jeunes. Il a été une occasion pour la Cosydep de partager les résultats et de recueillir les engagements des différents acteurs.

  Appelant les musulmans à ne pas se cantonner dans une gestion émotionnelle des problèmes qui secouent le monde, Tarik Ramadan, Pr d'études islamiques contemporaines à l'université d'Oxford, plaide pour une éducation critique, ouverte à tous les savoirs car dit-il, "l'ignorance et la foi ne vont pas ensemble".  Il fustige par ailleurs le scandale d'un monde musulman riche de son  sous-sol et de son argent mais qui ne l'utilise pas pour aider les plus pauvres. Pour Tariq Ramadan, la libération intellectuelle passe nécessairement par sortir de l'esprit victimaire.

Président du Comité de pilotage des Assises de l’éducation, le Pr Abdou Salam Sall est d’avis que sans masse critique de compétences, il n’y aura pas d’émergence au Sénégal.


A quelques jours de l’ouverture des Assises nationales de l’éducation prévue le 28 août, un Forum sur la contribution des acteurs de petite enfance aux assises de l’Education s’est ouvert, hier, à Dakar. En marge de cette rencontre, le président du Comité de pilotage des dites Assises, le Pr Abdou Salam Sall, a apporté des explications et des précisions mais aussi décliné les attentes des différents acteurs pour l’amélioration de l’école sénégalaise

. «Je compte sur votre intelligence croisée pour avoir des réponses pertinentes à nos questionnements. Ne nous y trompons pas, si nous n’avons pas une masse critique de compétences, il n’y aura pas d’émergence. Nous aurons des talents qui s’en sortiront, et le talent, il suffit de les mettre à l’école et ils vont s’en sortir. Mais une masse critique de compétences, c’est ce qui fait avancer un pays», a-t-il déclaré. 

La faillite du système éducatif en langue française plaide en faveur de la perpétuation du combat mené par Cheikh Anta Diop en faveur de la promotion des langues nationales sénégalaises, soutient l'écrivain sénégalais Boubacar Boris Diop, diagnostiquant au Sénégal un "semilinguisme" qui devrait amener à long terme le pays à changer résolument de cap sur cette question.

"Le combat pour les langues nationales sénégalaises est étroitement associé au nom du grand Cheikh Anta Diop", le savant et homme politique sénégalais (29 décembre 1923- 7 février 1986), parrain de l'université publique dakaroise, a-t-il déclaré dans une interview parue dans l'édition du week-end du quotidien national Le Soleil.

Pour cette deuxième édition du « Spécial Gamou » organisé par les deux célèbres  animateurs de l’émission religieuse « Soukeurou Koor », diffusée  durant le mois du ramadan par la chaine privée de télévision sénégalaise 2STV, tout le Sénégal a encore vibré sous les chants et chœurs émouvants en l’honneur du prophète des musulmans, Mohammad (PSL). Encore une fois, en cette nuit du 30 juillet 2014, le grand Théâtre de Dakar fort d’une capacité de 1800 places a encore refusé du monde,  car le  nombre de personnes restées dehors aux alentours de l’enceinte culturelle pour suivre l’évènement était près  du triple de tous ceux qui avaient le rare privilège de suivre en live le spectacle religieux  de  l’intérieur.  Malgré le succès incontestable de ce deuxième « Spécial Gamou » marqué par de nombreuses nouveautés dans les thématiques abordées, des couacs n’ont pas manqué de frustrer les deux talentueux animateurs de l’émission « Soukeurou Koor » à savoir Cherif Mamine Aidara et Tafsir Abdourahmane Gaye.

  Les porteurs  de pancartes  préparent  activement  le 56ème  anniversaire  de leur  rencontre  avec De Gaulle en 1958. Pour  cette année Mbaye  Jacques Diop et ses camarades offrent  à la  jeunesse sénégalaise des modèles de générosité  pour la cause nationale.  

Afin de répondre aux nombreuses demandes des bacheliers et étudiants désireux de rejoindre ses programmes, l’Université Privée de Marrakech revient à Dakar pour la 4^ème fois en 3 mois.

Ce voyage comporte deux finalités distinctes :

-         Permettre aux admissibles à l’UPM (donc ayant déjà passé  et réussi le concours d’admission) de procéder à leur inscription administrative.

-         Permettre aux bacheliers et étudiants n’ayant pas encore passé le concours d’admission, de le faire sur place.

iGFM- (Dakar) Pendant que la plupart des musulmans fêtent l’Aid El Fitr au Sénégal, les mourides de la Diaspora célébraient la « Bamba Day » à 6000 kms de là. En effet outre atlantique, ce sont des centaines de mourides qui ont magnifié la vie et l’œuvre de cet homme de Dieu autour de Serigne Mame Mor Mourtalla Mbacké.

Pour se faire représenter à cet évènement important dans la communauté mouride, le Chef de l’Etat sénégalais a envoyé son « monsieur Touba », Mor Ngom.