Si au Sénégal la boue est souvent jetée sur les employeurs, ''peu respectueux'' selon les syndicalistes des droits des travailleurs, de plus en plus le centre d'intérêt porte sur la productivité des travailleurs sénégalais dont un des mignons péchés est la non-ponctualité au travail. 

Depuis que le débat est posé sur le changement de comportement, levier de l'Emergence, certains défauts sont pointés du doigt comme l'indiscipline, le manque de ponctualité, le déficit de professionnalisme, entre autres  maux.

Les Industries chimiques du Sénégal (Ics), la Société africaine de raffinage (Sar), Dakar dem dikk ou encore Senegal Airlines sont quelques-unes des entreprises sénégalaises à qui le gouvernement va porter secours par le biais du Comité interministériel de restructuration des entreprises publiques et parapubliques (Cirep).

Le gouvernement s’est finalement décidé à sauver les entreprises en difficulté. 

C’est au micro de la radio RFM que le ministre de la Fonction Publique, du Travail, du Dialogue Social et des Organisations professionnelles a fait la déclaration ce jeudi. 

Mansour Sy, invité de l’émission Yone Wi cet après midi, précise que « maintenant les travailleurs savent qu’ils doivent être dans de bonnes conditions et en sécurité dans leurs lieux de travail ». Le ministre voulait parler de l’importance des accidents de travail au nombre de plus de 2300 en 2013 et coutant plus de 4 milliards à l’Etat. Lequel est déterminé à changer les choses dans ce domaine.

Le Japon a octroyé au Sénégal 1,9 milliard de FCfa destinés à l’acquisition d’engrais de qualité. L’objectif est de soutenir la production agricole et d’augmenter les rendements dans les régions de Saint Louis, Matam, Fatick et Kaolack.

Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ, et l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Takashi Kitahara, ont procédé, hier à Dakar, à la signature de l’échange de notes pour l’aide non remboursable en faveur des agriculteurs défavorisés. 

Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Thierno Alassane Sall, est revenu sur les projets routiers entrepris par l’Etat, avec des chiffres appuyés par l’Ageroute, dans un document. Il s’agit d’infrastructures structurantes qui ont pour finalité de favoriser l’émergence.

Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Thierno Alassane Sall, a évoqué hier les projets routiers de l’Etat. D’après le ministre, l’Etat a désormais choisi d’accorder la priorité à la réalisation d’infrastructures structurantes, également réparties sur l’ensemble du territoire national. 

Le journal Enquête consacre à l’occasion de la célébration de la Fête du Travail ce 1er mai un dossier aux droits des travailleurs, notamment les versements à l’Ipres et à la Css des cotisations sociales. 

Il en ressort que celles-ci ne sont pas respectées et que, le plus grand contrevenant est…l’Etat. Selon en effet Badara Mboup chef d’agence à la Css, « le gros problème c’est l’Etat qui ne cotise pas régulièrement. 

Il fait certes des efforts depuis quelques années en versant parfois des sommes, mais les cotisations ne sont pas régulières pour les contractuels. 

La Fédération nationale des boulangers du Sénégal (Fnbs) et les sociétés NSIA d’Assurances et Nsia vie Assurance ont conclu un « package » d’assurance. La signature de la convention de partenariat a eu lieu hier, mardi à Dakar.

Le Fonds de garantie des investissements prioritaires (Fongip) et Ecobank Sénégal ont scellé hier, vendredi, audit siège de la banque, une convention de garantie d’un montant d’un milliard pour  faciliter le financement des Pme/Pmi. 

SETAL.NET-Huit ans après la fin de l’accord précédent entre le Sénégal et l’union européenne(Ue) pour pêcher dans les eaux sénégalaises, les deux parties ont remis ça.

Selon un communiqué rendu public depuis Bruxelles, le Sénégal a de nouveau accordé l’(Ue) de venir pêcher sous ses eaux. Ce ne sont pas moins de 38 navires européens qui sont concernés, pour une durée de 5 ans et la modique somme de 8,69 millions d’euros soit 6 milliards FCFA.

Le Sénégal doit avoir un nouveau système national de planification budgétaire qui prend en compte la budgétisation et le suivi-évaluation, estime le ministre du Plan, Abdoulaye Baldé. Une planification pertinente peut assurer le succès du Plan Sénégal émergent, ajoute-t-il.

Le ministre du Plan, Abdoulaye Baldé, a insisté hier, à Saly, sur la nécessité d’avoir une nouvelle chaîne de planification budgétaire prenant en compte la planification, la programmation, la budgétisation et le suivi-évaluation. Cela permettra de disposer d’un nouveau Système national de planification qui va favoriser le succès de la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (Pse). L’objectif de cette rencontre qui a réuni près de 120 participants de l’administration, des universités, des collectivités locales, de l’Assemblée nationale, du Conseil économique, social et environnemental est d’amener les différents acteurs à échanger sur les instruments de planification, leurs fonctions et leurs interrelations pour améliorer le Système national de planification.