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Ven, Nov

Photos Algérie - Le président de la République du Sénégal en visite à Oran et Laghouat

Le président de la République du Sénégal, Macky Sall s’est rendu mercredi à Oran et Laghouat, pour une visite d'une journée dans ces deux wilayas, qui s’inscrit dans le cadre de la visite d'Etat qu'il effectue en Algérie à l'invitation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.

Durant la matinée, le président du Sénégal a été accueilli, à son arrivée à l'aéroport international Ahmed-Benbella d'Oran, par le ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel ainsi que le ministre de l'Energie, Youcef Yousfi.

Le prochain numéro de "Charlie Hebdo" sera imprimé à 3 millions d'exemplaires

"Charlie Hebdo" n'est pas mort. Toute l'équipe l'a affirmé dès le lendemain de l'attentat, prête à reprendre les rênes malgré la douleur. A deux jours de la publication du nouveau numéro, on en sait un peu plus sur son contenu.

Ce sera le n° 1 178. "Avec ce numéro, on voudrait que les millions de personnes – on l'espère – qui vont [l']acheter et qui n'avaient jamais acheté Charlie Hebdo sachent sur quoi ces assassins ont tiré." Le ton est donné. Gérard Biard, rédacteur en chef de l'hebdomadaire satirique, qui était en congé mercredi 7 janvier, jour de l'attaque, s'exprimait lors du concert de soutien à la Maison de la Radio, à Paris. Ce concert s'est déroulé dimanche 11 janvier, après la marche qui a rassemblé près de 4 millions de personnes dans tout le pays.

Attentat contre un hebdomadaire parisien : «Je suis Charlie»

La France est en deuil. Tout un pays est consterné, indigné et en colère. Des centaines de rassemblements spontanés se sont organisés dans la journée d’hier, pour protester contre la barbarie qui s’est exprimée avec l’attentat au siège du journal Charlie Hebdo.

Des milliers de personnes se sont rassemblées dans de nombreuses villes françaises, Lille, Nantes, Rennes, Bordeaux et dans un silence pesant, à la Place de la République à Paris.

Tentative de putsch en Gambie : Le Sénégal va expulser Sidya Bayo

Il est actuellement détenu au Commissariat central où il a été interrogé, suite à ses déclarations consécutives à la tentative de putsch en Gambie. M. Bayo s’était épanché sur les ondes d’une radio de Dakar, pour revendiquer la paternité de cette tentative de déstabilisation du pouvoir de Yaya Jammeh, le 31 décembre dernier.

M. Sidya Bayo ayant la nationalité française, il est probable qu’il soit expulsé incessamment dans ce pays.

Said Kouachi a été entraîné par Al-Qaida au Yémen, selon les Américains

Suspectés d'être les auteurs de l'attentat meurtrier perpétré au siège du journal Charlie Hebdo mercredi 7 janvier, à Paris, les frères Kouachi figuraient "depuis des années" sur la liste noire du terrorisme américaine, a déclaré, sous couvert d'anonymat, un responsable américain, vendredi, confirmant une information duNew York Times (en anglais).

Je suis charlie - "Charlie Hebdo" : au moins 100 000 manifestants dans toute la France en hommage aux victimes

C'est ce qu'indique un décompte de l'Agence France Presse, mercredi soir. La police compte au moins 35 000 personnes réunies à Paris.

Les rassemblements en hommage aux victimes de l'attaque du siège du journal satirique Charlie Hebdo mobilisent au moins 100 000 personnes dans toute la France, selon un décompte de l'AFP, mercredi 7 janvier. A Paris, la police dénombre 35 000 personnes sur la place de la République. François Hollande a annoncé une journée de deuil national pour jeudi. Les drapeaux seront en berne pendant trois jours, a-t-il ajouté. Les hommes soupçonnés d'être les auteurs de l'attentat sont toujours en fuite en fin d'après-midi.

Pratiques d’esclavage en Mauritanie : La Raddho épingle Nouakchott

Au 21ème siècle, la Mauritanie continue de pratiquer l’esclavage, accuse la Rencontre africaine des droits de l’Homme. «Ceux qui ont le courage de monter au créneau pour le dénoncer ont subi les foudres   du régime mauritanien», regrette-t-elle. C’est le cas  de Biram Dah Abeid, président de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (Ira) et 8 autres défenseurs des droits de l’Homme qui ont été arrêtés par les Forces de l’ordre de la Mauritanie au cours d’une caravane organisée par l’Ira dans la vallée du fleuve Sénégal.  Le secrétaire général de la Raddho, Aboubacry Mbodji, revient sur le film de leur arrestation jugée «arbitraire».  

Coup d’Etat manqué en Gambie: Les deux Américains arrêtés aux Etats-Unis risquent jusqu’à 25 ans de prison

Le ministère américain de la Justice vient d’inculper deux Américains d’origine gambienne qu’il accuse d’avoir fomenté le putsch manqué du 30 décembre en Gambie. Selon le ministre de la Justice Eric Holder, Cherno Njie, 57 ans et Papa Faal, 46 ans « ont comploté pour renverser dans la violence un gouvernement étranger en violation de la loi américaine ».


Selon le FBI, les deux hommes avaient acheté armes et équipement militaire qu’ils avaient expédié en Gambie dans l’intention de chasser le président Yahya Jammeh avec, espéraient-ils, le soutien d’une partie de l’armée. Mais lorsqu’ils ont attaqué avec une poignée de putschistes le palais présidentiel le 30 décembre, ils ont été repoussés par les forces loyales au président qui était hors du pays. 

Après le putsch manqué contre son régime : Jammeh va laver l'affront

Le président gambien Yahya Jammeh a fustigé mercredi ceux qui visent "un changement de régime par la violence", dans sa première déclaration publique à son retour à Banjul après un putsch manqué suscitant des craintes de répression dans son pays.


M. Jammeh, 49 ans dont vingt au pouvoir, était arrivé dans la nuit de mardi à mercredi dans la capitale gambienne après une escale à N'Djamena, en provenance de Dubaï où il était en visite privée depuis le week-end dernier.

"Ceux qui prônent et parrainent un changement de régime par la violence doivent savoir qu'ils n'agissent pas seulement en violation des droits de l'homme et des intérêts légitimes des victimes, mais aussi contre la volonté de Dieu Tout-Puissant.

C'est pourquoi ils ne réussiront jamais", a-t-il affirmé mercredi soir dans un message à la Nation à l'occasion du Nouvel An, sa première déclaration publique depuis deux jours.

"Ceux qui jouent avec Dieu le paieront cher", a-t-il menacé, sans citer de nom. Il n'a pas spécifiquement évoqué le coup d'Etat raté, une attaque armée contre le palais présidentiel ayant fait mardi au moins trois morts, selon un bilan non officiel.

Environ deux heures avant la diffusion de son message à la Nation, il s'était montré dans les rues de Banjul dans un cortège placé sous haute sécurité, faisant à l'improviste sa première apparition publique depuis les troubles de mardi. Il ne s'était alors pas exprimé.

A son retour à Banjul, les corps des assaillants tués lors de l'attaque lui ont été présentés au palais présidentiel, où il a passé en revue le dispositif militaire pour en relever "les failles", a expliqué à l'AFP une source militaire.