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Ven, Nov

Le scénario de 2012, risque de se produire à la prochaine présidentielle. En effet, aujourd’hui à un où 3 années de la Présidentielle, toute l’opposition est contre le chef de l’Etat. Le plus grand parti de l’opposition, le Pds incarné par son fondateur, Me Abdoulaye Wade est en train de tout peaufiner pour faire partir Macky Sall. Ce, au point de s’allier avec l’ennemi d’hier. Comme le Grand parti, le parti Rewmi pour ne citer que ceux-là. En effet ils ont noms ; Malick Gakou, Abdoualye Baldé, Cheikh Bamba Diéye, entre autres à vouloir faire mondre la poussière à Macky Sall aux prochaines joutes électoral 

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A la veille des élections présidentielles de 2012, la gestion financière défectueuse de notre pays à travers la gabegie, la corruption et la délinquance à col blanc avaient pris une proportion considérable et flagrante et devenait cette préoccupation inextirpable de tous les citoyens sénégalais attachés à nos valeurs démocratiques et républicaines. Evidemment cette situation alarmante a nécessité une réaction vigoureuse du peuple, qui par une seule voix a posé le diagnostic en exigeant la réédition des comptes. 

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«L’affaire des 74 milliards est un complot pour étouffer l’affaire Lamine Diack» (libéraux)La grande mobilisation des libéraux, ce week-end à Thiès a été l’occasion pour les membres du Parti démocratique sénégalais (Pds) de vilipender le régime de Macky Sall. 

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  Après deux mois de suspension, le procès de l’ex-président du Tchad, Hissène Habré, devant les Chambres africaines extraordinaires (Cae),  pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre et actes de torture, reprend ce jour, lundi 08 février 2016. Cette fois, ce sera au tour des avocats des parties civiles, du Parquet général et de la défense de faire leurs plaidoiries, dans un procès qui cristallise toutes les attentions pour moult raisons.  

Hissène Habré, l’ancien homme fort du Tchad (1982-1990), jugé au Sénégal pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre et torture, revient à la barre après deux mois de suspension de son procès. 
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  Le Groupe de travail sur la détention arbitraire du Conseil des droits de l'homme de l'Onu a réexaminé son avis sur l’emprisonnement de Karim Wade, détenu depuis avril 2013, pour enrichissement illicite. Pour une seconde fois, ledit Groupe a jugé «arbitraire» la privation de liberté de l’ancien ministre d’Etat libéral, non sans demander à l’Etat du Sénégal de prendre toutes les mesures nécessaires pour le respect des droits du détenu.  

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Le père de l’étudiant Mamadou Diop, qui avait réagi suite au rapprochement du pouvoir par Me Ousmane N'gom qu’il considére comme un des commanditaires du meurtre de son fils, s’est vu apporter une réplique salée et pleines de révélations de la part de proches de l’ancien ministre de l’intérieur. « Nous avions décidé de ne plus en parler », indique d’abord le document, « ceci, pour ne pas donner l’occasion à ce père de famille irresponsable et activiste à souhait, l’occasion de se conforter ridiculement dans l’imposture et la supercherie ». 

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  L’affaire concernant la confiscation des biens de Karim Wade, décidée par la Cour de répression de l’enrichissement illicite dans son arrêt de condamnation, initialement prévue hier, vendredi 5 février, n’a finalement pas lieu. Le tribunal de grande instance de Dakar qui devait statuer sur cette affaire a pris la décision de renvoyer le dossier au 19 février prochain.  

Karim Wade, condamné à six ans de prison ferme par la Cour de répression de l’enrichissement illicitedans le cadre de la traque des biens mal acquis devra encore prendre son mal en patience avant de savoir s’il sera dépouillé ou non de tous ses biens. Le tribunal de grande instance de Dakar qui devait statuer sur l’affaire concernant la confiscation de ses biens (ndlr-Karim Wade), décidée par la Cour de répression de l’enrichissement illicite dans son arrêt de condamnation, confirmé par la suite par la Cour suprême, a finalement pris la décision hier, vendredi 5 février, de renvoyer le dossier  au 19 février prochain. 
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A l’aube de cette nouvelle année, j’ai le plaisir de vous adresser mes meilleurs vœux de bonheur et de santé.

L’année 2016 a malheureusement commencé dans la continuité des épreuves que nous avons traversées en 2015. Je pense bien sûr aux attentats qui ont endeuillé la capitale burkinabé, Ouagadougou, il y a quelques jours. Cette attaque tragique nous confronte une nouvelle fois à la réalité d’une menace terroriste globale qui n’épargne pas l’Afrique et touche les voisins du Sénégal.

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Le Pr Babacar Guèye, un des rédacteurs de la Constitution de 2001, s’est prononcé sur le débat portant sur la réduction du mandat du président de la République, Macky Sall. Pour le constitutionnaliste, le chef de l’Etat a intérêt à respecter sa parole consistant à réduire son mandat comme il l’avait promis. "Si le Président Macky Sall ne réduit pas son mandat, il y aura une guérilla. Alors, s’il veut la paix et la stabilité du pays, il n’a qu’à respecter l’engagement fait par lui- même. Alors, s’il souhaite stabiliser le pays, il n’a qu’à respecter sa parole", a-t-il avertit dans le journal Grand-Place. 

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En déclarant que Me Abdoulaye Wade était de nationalité française, l'avocat Me Seydou Diagne risque d’attirer des attaques virulentes contre l’ancien président de la République. La responsable de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) a saisi la balle au rebond.

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  L’APR Rufisque ne veut  pas entendre parler de réduction du mandat présidentiel. C’est la position commune définie  par les responsables départementaux, au cours de leur meeting  qui a scellé l’unité retrouvée dans leurs  rangs. Une  grande  mobilisation tenue samedi 16 janvier, en présence  des responsables nationaux du parti.   Les  «Apéristes»  de Rufisque ont  décidé  de voter «NON» contre toute proposition  de  réduction du mandat  de leur  premier responsable Macky Sall. A l’occasion du meeting  de l’unité  ce samedi 16 janvier, au terrain des HLM Rufisque, tous les  responsables départementaux  et nationaux  qui se sont  succédé au micro, ont  d’une  même voix, exprimé  leur  détermination à pousser le Président Macky Sall à faire  un mandat  de 7 ans conformément  à la constitution et au serment qu’il  a fait devant  le peuple sénégalais.

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  Ceux qui pensaient que Malick Gakou n’allait pas candidater à la prochaine présidentielle peuvent aller se rhabiller. Le leader du Grand parti est bien déterminé à conquérir les suffrages des Sénégalais lors la grande course vers le fauteuil de Macky Sall. Comme le lui ont demandé ses partisans  qui participaient hier, vendredi, à l’inauguration de la permanence du parti, à Yoff (Dakar).  

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