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02
Sam, Nov

Abdoul Mbaye peut dormir tranquille. Marcel Mendy, Coordonnateur de la cellule de communication des Chambres africaines extraordinaires (CAE) a démenti toute convocation de sa structure de l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye dans le cadre du procès Hissène Habré.

Dans un entretien acordé à «L’Obs», il souligne que cette information est créée de « toutes pièces ».

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La Fondation Servir le Sénégal a signé hier et de façon officielle, le protocole d’accord de partenariat avec la Fondation du Groupe Bmce Banque, pour la mise en œuvre du projet Rama, qui a pour objectif de construire un daara moderne à Diamniadio. Une occasion pour la Première dame de sortir de sa réserve, à propos de l’argent dont on dit que sa Fondation a encaissé des Marocains, pour des raisons d’affaires.

Marième Faye Sall sort de son silence, par rapport aux fameux 650 millions de francs, dont on dit que la Bmce lui a accordé contre une promesse d’épanouissement d’investisseurs marocains au Sé­négal.

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L’année universitaire ne démarre pas sous de bons auspices. Le Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes) «constate avec regret, le non-paiement des salaires du  mois d’octobre 2014 aussi bien pour le personnel d’enseignement et de recherche (Per) que pour le Personnel administratif, technique et de services (Pats) des Universités sénégalaises».

Le Saes souligne aussi «l’absence totale de prise en charge sanitaire pour ces mêmes personnels et leur familles dans les structures sanitaires pour défaut de paiement». «Atteint dans son moral et sa dignité, le personnel n’a plus la sérénité nécessaire à l’accomplissement des tâches pédagogiques et administratives», le Saes insiste sur l’insuffisance «des budgets des universités, tardivement approuvés et qui couvrent à peine 8 mois de salaires des enseignants-chercheurs».

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Dans un entretien qu’il a accordé au journal « Direct Info » dans sa parution du jour, l’ancien porte-parole du président Abdoulaye Wade en l’occurrence, Serigne Mbacké Ndiaye, soutient que « aucun juge n’ose condamner Karim à l’état actuel des choses ».

«A l’état actuel des choses, personne n’ose condamner Karim Wade sur la base de ce qu’on a vu jusque-là. Aucun juge n’ose le faire. 

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  Les Présidents Macky Sall (Sénégal), Goodluck Jonathan (Nigeria) et John Dramani Mahama (Ghana), ont demandé mercredi à l'armée, ainsi qu'aux représentants de l'opposition, de la société civile, et aux chefs traditionnels et religieux de proposer, d'ici la soirée, trois noms de civils susceptibles de prendre la tête de la transition. Envoyés par la Cedeao, ces trois Chefs d’Etat ont pour mission de faciliter la transition au Burkina Fasso vers un pouvoir civil sur laquelle Isaac Zida s'est engagé à maintes reprises.  

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Alpha Condé a du mal à avaler la pilule. Depuis la fermeture de ses frontières avec la Guinée, le Sénégal est pointé du doigt par Conakry qui met en exergue le manque de solidarité de Dakar. Ce week-end, il a encore dénoncé cette décision en regrettant que des fruits pourrissent dans les vergers. 

Alpha Condé croque difficilement cette… amère pomme. Le Président guinéen est toujours rongé par la décision de Dakar de fermer ses frontières avec Conakry à cause des ravages du virus Ebola en Guinée. «Ils (les Sénégalais) nous ferment leurs frontières alors que c’est nous qui les nourrissons. Laissons-les. Ne les insultons pas et ne les en voulons pas. Nous sommes des panafricains. La Guinée a aidé l’Afrique du Sud, Mandela a fait sa formation à Kindia. Nous avons aidé l’Angola, la Guinée-Bissau. 

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Conducteurs de scooter, de car rapide, Ndiaga Ndiaye, taxis, tous déplorent la cherté des prix du carburant. A leur yeux: «Du temps de Wade, on assistait régulièrement  à des hausses et des baisses selon la loi du marché. Tout le contraire pour l’actuel gouvernement», ont-ils fait savoir dans un micro trottoir réalisé hier, dimanche 2 novembre.  
Trouvés assis hier, dimanche 02 novembre, à quelques mètres d’une Banque, Mor Niang conducteur de taxis depuis 1970 et son ami Modou Ndiagne dans le secteur depuis 35 ans, soutiennent sans détour, que l’actuel locataire du Palais de la République travaille pour les propriétaires des voitures que pour le Sénégalais lambda. 
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  Le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niass a indiqué hier, mercredi 5 novembre que les événements du 23 juin 2011 au Sénégal constituent un cas d’école pour les soulèvements populaires qui ont emporté le Président Blaise Compaoré. Moustapha Niass a ainsi plaidé pour une limitation des mandats présidentiels à cinq ans renouvelable une seule fois en Afrique.    

Près d’une semaine après le départ forcé du désormais ex chef d’Etat du Burkina Faso, Blaise Compaoré, les réactions continuent de pleuvoir chez les acteurs politiques africains. Dernière en date, celle de Moustapha Niasse, président de l’Assemblée nationale sénégalaise.
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Serigne M'backé N'diaye : « Le fait que le Président Sall ferme la porte au Pds ne me surprend pas(…) Quand Macky traite les Sénégalais de fêtards, je pense fondamentalement qu'il s’adresse à ses ministres, aux députes, aux directeurs généraux"

L’ancien Ministre Conseiller Chargé des Affaires sportives, de la Communication et ancien Porte parole de la Présidence de la République a accepté de faire un round up de l’actualité politique. Et, Serigne M'backé N'diaye, puisque c’est de lui qu’il s’agit de réagir particulièrement sur les fameuses retrouvailles avec le Pds. Entretien ! 

Dakaractu : Mr. N'diaye, que vous inspire la réaction du Président de la République, lequel a récemment fermé la porte au Pds? Macky a soutenu qu'il ne pense même pas aux retrouvailles avec le Pds. N'êtes-vous pas déçu? 

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Le nouveau Président de la transition du Faso n’a pas encore pris ses marques qu’une partie des Burkinabè se lève pour réclamer sa démission. Les défenseurs du Lieutenant-Colonel Yacouba Isaac Zida a fait ses preuves à travers le rétablissement de l’ordre dans le pays au bout de deux jours.

Depuis hier, certains Burkinabè réclament le départ du pouvoir du nouveau Président Yacouba Isaac Zida. Ils sont descendus à nouveau dans la rue et se sont massés par centaines de milliers à la «place de la Révolution». Ces opposants à la prise du pouvoir par l’Armée sont appuyés par une partie de l’opposition à Blaise Compaoré qui estime que «l’Armée a confisqué le pouvoir et doit le rendre aux civils». C’est également la position défendue par les représentants de la Communauté internationale. 

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Après la condamnation pour outrage à magistrats du jeune Moïse Rampino au début du procès de Karim Wade et Cie, un deuxième partisan de l’ancien ministre d’Etat sera jugé aujourd’hui par la Crei. Bachir Diawara est accusé de trouble d’audience, survenu à la fin d’un incident entre la Cour et les avocats de la défense.

Après le jeune pro-Karim, Moïse Rampino, condamné au début du procès de Karim Wade et compagnie pour outrage à magistrats, la Crei va juger un autre partisan de l’ancien ministre d’Etat : Bachir Diawara. Cet ancien chef de cabinet de Karim Wade sera présenté en effet aujourd’hui devant la barre en vue de son procès pour trouble d’audience. 

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A l’issue d’une réunion organisée ce mardi 4 novembre 2014 matin à Ouagadougou entre les leaders de l’opposition et les envoyés de la CEDEAO, de l’Union africaine et des Nations-Unies, l’arrivée des chefs d’Etat Goodluck Jonathan, John Dramani Mahama et Macky Sall, le mercredi 5 novembre 2014 à Ouagadougou est annoncée. 

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burkinaTrois jours après le soulèvement qui a provoqué la démission de Blaise Compaoré, les pièces du puzzle politique au Burkina Faso se mettent peu à peu en place. Les hauts gradés de l’armée ont mis fin à leurs dissensions, désignant le lieutenant-colonel Zida aux dépens de son rival, le chef d’état-major des armées, le général Nabéré Honoré Traoré. La situation demeure toutefois incertaine. L’opposition et la société civile ont exigé samedi une transition « démocratique et civile ». Elles appellent ce dimanche matin à un nouveau rassemblement à Ouagadougou à partir de 8h00TU pour dénoncer le choix d’un militaire à la tête de l’Etat.

Les heures sont données en temps universel (TU)

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