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Ven, Nov

La libération de Karim Wade soulève des interrogations au Sénégal

Sur le plan légal, il n’y a rien à redire de la grâce présidentielle accordée au plus célèbre des détenus du Sénégal, Karim Wade, 47 ans. Mais les circonstances entourant sa libération en catimini provoquent un certain malaise à Dakar. Un épilogue controversé au diapason de ce dossier retentissant – la condamnation du fils d’un ancien chef de l’Etat pour enrichissement illicite – dans lequel le président sénégalais Macky Sall s’est empêtré.

Dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 juin, le fils d’Abdoulaye Wade, président du Sénégal de 2000 à 2012, est donc sorti libre de la prison de Rebeuss à Dakar. Il avait accompli, compte tenu de sa détention préventive, la moitié de sa peine de six ans d’emprisonnement prononcée en 2015. « A peine sorti, il s’est envolé à bord d’un jet privé envoyé par l’émir du Qatar, destination finale du voyage en compagnie du procureur général [de ce petit émirat]. Il est là-bas pour on ne sait combien de temps », nous raconte un de ses proches.

Idrissa Seck enfonce Wade-fils: “Karim est coupable mais…”

Face aux journalistes de la presse nationale et internationale qu’il a conviés à un Ndogou presse, ce jeudi, Idrissa Seck est largement revenu sur ce qui fait l’actualité en ce moment dans notre : la libération de Karim Wade. Pour le patron de Rewmi qui a abordé entre autres points le procès de Karim Wade, le fils de Wade est bel et bien coupable. “Je n’ai aucun doute sur la culpabilité de Karim Wade. Le hic, c’est qu’ils ont utilisé un mauvais instrument pour établir une culpabilité qui relève de la flagrance”, a dit Idrissa Seck. Des propos rapportés par Senego. 

Karim Wade-Macky Sall : Au Grand Théâtre

On est content pour lui, et sa probable et très prochaine libération donne à tous les voleurs de poules de vrais espoirs de liberté si ce n’est de rédemption. 

Karim Wade est donc sur le chemin qui mène à la liberté et plus loin à la présidence. On a envie de dire, sans rire : « Tout ça pour ça !!!! ».

Abdoul Mbaye passe à l' Act et crée son parti politique

L’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye a officiellement lancé ce samedi son parti politique, l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (ACT). Une formation qui se réclame de la social-démocratie, dont la devise est « Travail-Éthique-Espoir », les couleurs le rouge et le bleu et qui promet d’ériger en dogme le respect de la parole donnée (Saxal Jëf). C’est pourquoi il demande aux Sénégalais de le juger uniquement sur ses actes.

Dialogue sur le fichier électoral : L'opposition n'arrive pas à s'entendre, le pouvoir encore suspecté

Malgré 3 heures de discussions, le pôle de l’opposition, conduit par le Parti démocratique sénégalais et l’Entente des forces de l’opposition de Modou Diagne Fada et Cie, n'est pas tombé d’accord sur la mise en place d’une liste unique de 15 plénipotentiaires, dans le cadre du dialogue sur le fichier électoral. Avec deux listes, l’opposition s’en remet à l’arbitrage du ministre de l’Intérieur. Mais déjà, le Pds craint un dénouement identique à l’affaire de son groupe parlementaire.

Déchirer les APE et les réécrire - Idrissa Seck

Les Accords de Partenariat Économique UE/ACP détruiront tout espoir de développement endogène de nos pays s'ils venaient à être signés puis ratifiés en l'état. Le Président Macky Sall les a signés et il a tort.Son erreur devra être corrigée par la résistance des non encore signataires de notre sous-région, Buhari, Président du Nigéria en tête. Et plus fondamentalement par la résistance de nos parlementaires qui doivent refuser de les ratifier. 

Jacques Attali donne un conseil utile à tous les leaders du monde : "Pour préparer vos trois prochaines décennies, méditez les enseignements des trois millénaires d'histoire". Nous africains devons en retenir ceci : 

Gambie: Un ancien procureur, un Directeur général et deux fonctionnaires en garde à vue à la NIA

C’est à croire que Yaya Jammeh a le sang chaud en ce moment. Le Directeur général de la Gambian National Petroleum Corporation (Gnpc) Momodu Badjie, le secrétaire permanent du ministère du pétrole Fafa Sanyang et un agent du secrétariat de la présidence de la République gambienne du nom de Nuha Touray, ont été arrêtés ce dimanche. Interpellés par la redoutable National Intelligence Agency (NIA) ils y sont présentement pour être interrogés.

Sénégal- Élèves non déclarés à l’état civil 180.000 cas recensés rien que dans 5 régions

  180.000 élèves ne disposent pas d’une pièce d’état civil dans les régions de Tambacounda, Kédougou, Ziguinchor, Kolda et Diourbel. Le chiffre est de la directrice de l’état civil, au ministère de la gouvernance locale, du développement et de l’aménagement du territoire. Dié Madiaye Dieye a pris part hier, jeudi 3 juin, au lancement du programme de régularisation des élèves sans état civil.  

«Au niveau local, les autorités administratives ont confirmé à ce jour que 180 mille élèves sans distinction de la classe d’examen, ne sont pas encore enregistrés sur les cinq régions que sont Tamba, Kédougou, Ziguinchor, Kolda et Diourbel qui ont été les premiers à envoyer les statistiques via les inspections d’académies », a constaté la directrice du centre de l’état civil au ministère de la gouvernance locale, du développement et de l’aménagement du territoire

Diaraf Falla Paye, Thiers, Fleurus… les nouveaux ghettos de l’Ecole publique

  Considérée comme l’une des meilleures sinon, la meilleure des inventions humaines, l’école publique, lieu de rencontres, d’apprentissage et d’échanges, n’est pas au mieux au Sénégal. Le paradoxe est que si dans les pays développées, elle est l’espace le plus propice à l’éducation des enfants et la formation des identités, à Dakar et dans nombre de villes sénégalaises, elle est comme inscrite dans une mort lente dans les parties où l’Etat lui-même avait décidé, depuis janvier 1997, de laisser sa gestion aux municipalités et régions.  Aujourd’hui, même situées au cœur du pôle économique de la capitale, (le Plateau), certaines vieilles écoles qui ont formé des générations cadres sénégalais, africains, français ou européens, n’ont plus d’avenir. Parmi elles, Fleurus, l’ex. école de la rue de Thiers, Libération, Klébert et encore…  

Mamadou Ndoye avertit Macky : "Si Karim Wade est libéré, ce sera un très mauvais message politique..."

Comme on pouvait s'y attendre, la décrispation des relations tendues entre l'Alliance pour la République (Apr) et le Parti démocratique sénégalais (Pds), avec à la clé une imminente libération de Karim Wade, se heurte à la réticence de certains alliés du chef de l'Etat. Le secrétaire général de la Ligue démocratique, dans une déclaration dont Grand Place a reçu copie, met en garde le Président Macky Sall sur cette possible mise en liberté du détenu le plus célèbre du Sénégal.

Sénégal - Démarrage du dialogue politique la semaine prochaine : Macky ouvre ses portes

Les concertations entre le pouvoir et l’opposition démarrent la semaine prochaine. Le président de la République va recevoir le Pds et ses autres adversaires au Palais.

Le chef de l’Etat passe à l’action. Après avoir annoncé des concertations politiques la semaine dernière, Macky Sall va recevoir l’opposition «la semaine prochaine». Pour l’heure, l’information sur la date exacte du ballet des adversaires sur les marches de la Présidence est verrouillée. Mais Le Quotidien a appris de sources concordantes que tout serait au point pour des échanges sur la «situation du pays». Ça, c’est le côté officiel de ce dialogue prôné depuis fort longtemps et encouragé par les cercles religieux, coutumiers et la société civile. La Raddho a d’ailleurs salué l’appel lancé par le président de la République à l’opposition.

Sénégal - De 80 députés en 1960 à 160 en 2017 ? L’assemblée nationale double ses rondeurs

  On va vraisemblablement vers une augmentation du nombre de députés à l’Assemblée nationale. La diaspora considérée comme la 15ème région aura désormais un quota élu au sein de l’hémicycle.  

Telle est en effet la volonté clairement exprimée par les tenants du pouvoir actuel. Une volonté réaffirmée hier, jeudi 16 juin, par le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, lors de la célébration de l’anniversaire de son divorce d’avec le parti socialiste, le 16 juin 1999. L’enseignement majeur à retenir ici est que le nombre de députés sénégalais a sensiblement varié au cours de l’histoire de ce pays. 
 
Ainsi, au moment de l’indépendance, les représentants du peuple n’étaient que 80. Un effectif qui est passé à 100 en 1978, avec notamment l’entrée du Parti démocratique sénégalais dans l’hémicycle.  Ce nombre est ensuite à 120 en 1983 et à 140 en 1998. 

Sénégal - Paiement des rappels aux enseignants mai, dernier espoir pour sauver l’année scolaire

  Une issue heureuse pour l’année scolaire ! C’est le souhait des deux parties à savoir le gouvernement et les syndicalistes de l’enseignement. Mais, pour y arriver, les enseignants ont demandé à l’Etat d’avancer, au mois de mai, la date de paiement de la première tranche de leurs rappels. Une proposition qui pourrait sans nul doute les rassurer pour la suite de la mise en œuvre des autres accords qui tournent autour de 14 points.     

En réunion hier, vendredi 6 mai 2016, le comité de suivi de la mise en œuvre des accords signés entre le gouvernement et les syndicats du secteur de l’éducation, a appelé les enseignants à renouer avec le dialogue. Selon la ministre de la fonction publique, de la rationalisation des effectifs et du renouveau du secteur public, Viviane Laure Bampassy : «c’est une réunion d’information afin d’apporter des éléments de réponses par rapport à leurs préoccupations. 

Karim ne peut pas refuser une grâce présidentielle

Un journal de la place a écrit que le Président de la République, Macky Sall, a signé le décret graciant Karim Wade. Mais que l’ancien ministre d’État, placé sous mandat de dépôt et condamné à six ans de prison ferme par la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei), a boudé le «cadeau» du chef de l’État.

La vérité est que s'il est vrai que le chef de l'Etat a signé le décret de grâce, Karim Wade sortira de prison. Il ne peut, en aucune cas, refuser que les effets d'une grâce s'appliquent à lui.

Autosuffisance en riz- la coopération Sénégal - Italie équipe les organisations paysannes

  Les organisations paysannes de la région de Sédhiou seront incessamment dotées d’équipements agricoles composés de 100 motoculteurs, 50 batteuses et de 30 décortiqueuses. C’est du moins ce qu’a annoncé avant-hier, jeudi 12 mai, Ahmed Fall le coordonnateur national du Projet d’appui au programme national d’investissement agricole (PAPSEN). C’était lors d’un comité régional de développement au cours duquel est aussi annoncé le recrutement de 50 jeunes techniciens agricoles en vue d’accompagner les paysans dans la réalisation de l’autosuffisance en riz.  

Le Projet d’Appui au Programme National d'Investissement Agricole (PAPSEN) engage une autre phase active de ses interventions en soutien aux acteurs du monde rural de la région de Sédhiou. A l’occasion d’un comité régional de développement organisé ce jeudi, il est annoncé une mise à disposition des producteurs de 100 motoculteurs, 50 batteuses et de 30 décortiqueuses. 

Ahmed Fall,  le coordonnateur national du PAPSEN a ainsi déclaré : « les études sont finies et nous avons acquis 100 motoculteurs, 50 batteuses et 30 décortiqueuses. Bientôt, nous allons procéder à la remise de ces équipements agricoles. Cela permettra d’accroitre les rendements des producteurs car comme vous le savez, l’Etat du Sénégal et ses partenaires italiens ambitionnent de relever substantiellement les récoltes dans le but d’assurer une autosuffisance en riz ».

 
Partant de trois tonnes de pré-base l’an dernier, un rendement de 50 tonnes est obtenu grâce à la synergie entre PAPSEN, Institut sénégalais de recherche agricole (ISRA) et le Conseil italien de recherche. Cette réalisation va servir de point de départ aux producteurs pour en faire des semences certifiées. « Déjà, avec ces 50 tonnes de pré-base, nous allons en donner aux organisations paysannes pour faire des R1 et booster les rendements à l’hectare. C’est une dynamique nouvelle à saluer. L’expertise technique est là et reste à s’engager pour réaliser les défis auxquels se fixent l’Etat du Sénégal et ses partenaires d’appui. C’est le lieu de saluer la coopération italienne très engagée aux côtés du gouvernement du Sénégal », a indiqué pour sa part Hamadou Baldé, le directeur régional du développement rural de Sédhiou.
 
Roberto Gortti, assistant technique à la coopération italienne, a fait savoir que cette année, le PAPSEN sera renforcé par une ligne de crédit destinée aux coopératives agricoles de Sédhiou dans le cadre du programme Italie/Sénégal appelé « Pais ». Il est aussi annoncé le recrutement de 50 jeunes techniciens agricoles pour aider, dit-on, à booster les rendements de la filière riz dans 25 vallées de la région.  A relever que ce projet PAPSEN est une des initiatives principales de la coopération fondée sur l’agriculture entre le Sénégal et l’Italie.
source:http://www.sudonline.sn/la-cooperation-senegal-italie-equipe--les-organisations-paysannes_a_29845.html

L’État du Sénégal contre Karim Wade et cie : bras de fer autour de 10 milliards à Monaco

Libération s’est procurée l’arrêt rendu le 25 février dernier par la Cour d’appel de Monaco dans le cadre du dossier opposant l’Etat du Sénégal à Karim Wade et Compagnie. Dans cette affaire, l’Etat n’a pas encore gagné le bras de fer. Chronologie d’un bras de fer qui s’annonce épique.

Le 2 octobre 2012, le procureur spécial prés la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) du Sénégal a diligenté une enquête visant Karim Wade au motif que le train de vie et la fortune de ce dernier semblaient sans rapport avec les revenus légaux qu’il percevait en qualité de conseiller spécial du Président de la République du Sénégal, de président du conseil de surveillance de l’Agence nationale de l’organisation de la conférence islamique et de ministre d’Etat du gouvernement de la République du Sénégal. 
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