En 2013, Keur Massar, Guinaw Rail et Grand-Yoff ont été classées comme les zones les plus criminogènes de la capitale ; même si ces localités ne détiennent pas le monopole de la violence qui règne en maître dans la banlieue dakaroise. Meurtres, menaces à ascendants, agressions avec armes blanches, vols à l’arrachée, viol... continuent de rythmer le quotidien des populations qui demandent, entre autres, plus de présence policière, de l'éclairage public et des mesures hardies pour régler la question du chômage et du désœuvrement. Qu'est-ce qui explique la persistance de la violence ? Existe-t-il des solutions ? Quel est la part de responsabilité de l'État ? EnQuête tente d'apporter des réponses à ces interrogations, en donnant la parole à des autorités policières et des spécialistes de la question. Le témoignages de victimes et auteurs de ces violences apportent aussi un éclairage nouveau.
CONCOURS - Insertion des filles dans le monde professionnel : La voie du salut au bout des Tic
Dans l’amphithéâtre de l’Institut supérieur de management (Ism), 10 groupes de jeunes filles ont présenté des projets dans divers domaines. Ce concours dénommé Jiggen Ci Tic est une occasion pour sensibiliser les jeunes filles aux opportunités de carrières qu’offre le secteur des Technologies de l’information et de la communication (Tic).
Organisé par le ministère de la Communication et de l’Economie numérique, le concours Jiggen ci tic (les femmes dans le tic) est une tribune où des filles présentent des projets innovants à travers des technologies de l’information et de la communication. Dans l’Amphithéâtre de l’Ism, des filles ont défilé dans une tribune pour convaincre le jury composé d’une dizaine de personnes. Ndèye Fatim Diallo est une étudiante de l’Ecole supérieure polytechnique (Esp).