Rendement attrayant du dividende

Pour les actionnaires qui investissent dans les actions de DEWA avant la date record des dividendes le 22 décembre 2022 (et dont la date du droit à l'échéance est le 20 décembre 2022), le rendement du dividende au cours des 12 prochains mois sera 6,64%, à un prix d'introduction en bourse de 2,48 de dirhams émiratis par action.

« Guidés par la vision et les directives d'un leadership avisé, nous continuons à réaliser des progrès concernant le développement de notre stratégie axée sur une croissance durable, restant à la pointe de l'excellence opérationnelle intelligente et innovante, optimisant les rendements de toutes nos parties prenantes tout en minimisant notre empreinte environnementale, assurant la cohérence des rendements et la croissance durable et amplifiant notre valeur de croissance au fil du temps. Cela constitue la base de notre proposition de valeur fondamentale à nos actionnaires. Notre bénéfice net pour les 9 premiers mois de l'année 2022 est supérieur de 21% à celui réalisé durant la même période de l'année dernière. Sur une base autonome, ce bénéfice net sur 9 mois est presque égal à notre bénéfice net pour l'ensemble de l'année 2021. Nous avons augmenté le versement du dividende aux actionnaires pour l'année 2022 de 6,2 milliards de dirhams émiratis à 8,23 milliards de dirhams émiratis. À un prix de souscription de départ pour l'introduction en bourse fixé à 2,48 de dirhams émiratis par action, le rendement du dividende de DEWA en 2022 est de 6,64%. Ce rendement du dividende est plus attrayant que la plupart des sociétés cotées sur l'ADX, le DFM et Tadawul, ainsi que d'autres sociétés de services publics mondiales, » a déclaré SE Saeed Mohammed Al Tayer, Directeur général et PDG de DEWA.

Pour plus d'informations, veuillez consulter le site électronique de DEWA : https://www.dewa.gov.ae/en/investor-relations et le site électronique de DFM : https://www.dfm.ae/en/issuers/listed-securities/securities/company-profile-page?id=DEWA

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.