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Mer, Déc
mardi, 18 février 2014 00:00

L'OBS du 18/02/2014 - Macky enterre la CREI

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INDEX DE L'OBS

 

L'OBS - Farba Senghor

Le face-à-face entre l’ancien ministre Farba Senghor et le Doyen des juges d’instruction n’a pas eu lieu. Prévue hier à 15 heures, l’audition du chargé de la Propagande du Parti démocratique sénégalais a été reportée sine die. Farba Senghor qui était déterminé à se rendre au redouté cabinet de Mahawa Sémou Diouf a été ralenti par une note que lui aurait envoyé celui-ci pour déprogrammer la rencontre. Des sources proches du Cabinet ont soulevé un empêchement du magistrat instructeur. Mais ce faux bond ne signifie nullement que la rencontre est renvoyée aux calendes grecques. L’ancien ministre sous le régime libéral fera bien face au Doyen des juges Mahawa Sémou Diouf même si aucune autre date n’a encore été retenue. Ainsi, c’est toujours l’omerta sur les motifs de la convocation, puisque le concerné lui-même dit ignorer la raison pour laquelle il a reçu cette invitation de Mahawa Sémou Diouf.

 

Obus

Un obus, usé par le temps, mais non endommagé. C’est cet engin de guerre d’une grande capacité de nuisance, qui a été découvert vendredi dernier, au populeux quartier de Sam Notaire. A l’origine de cette trouvaille, un groupe de jeunes gens qui, s’adonnant à une partie de jeux, ont par inadvertance, creusé et mis la main sur cette bombe. Inconscient du caractère destructeur de cet engin, ils se sont mis à la scruter dans une ambiance bon enfant. C’est alors, renseignent nos sources, que des personnes bien au fait de la faculté nuisible de l’engin, s’en sont saisi et l’ont isolé.

Le Central de la banlieue, le commissaire Bécaye Diarra, avisé, a de suite débarqué sur les lieux et un cordon de sécurité est érigé pour tenir à distance la foule de curieux. C’est sur ces entrefaites que la bombe en question a été récupérée avec minutie, par les limiers qui l’ont conduit dans les locaux du commissariat de Guédiawaye. La hiérarchie de la police avisée, instruction a été donnée aux éléments de la Brigade d’intervention polyvalente, (Bip), outillés pour ce type d’exercice à risque, de récupérer l’engin et de procéder à sa destruction en toute sécurité. Passés à l’action, les limiers de la Bip ont à leur tour conduit l’obus à la plage de Malika pour le détruire.

 

 Sonatel

Une délégation de l’Intersyndicale des travailleurs de la Sonatel a été reçue ce 13 février par le groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar. Les syndicalistes de la Sonatel ont fait part de leurs vives préoccupations par rapport aux réformes que compte mener le partenaire stratégique de ladite société. Réformes qui, selon eux, ne vont ni dans le sens des intérêts des travailleurs, ni des sociétés prestataires de services qui collaborent avec la Sonatel, encore moins ceux de l’Etat du Sénégal. Ils ont ainsi demandé aux parlementaires de les accompagner dans ce combat, consistant à défendre le respect strict du contrat de concession qui lie la Sonatel et France Telecom. Le groupe parlementaire BBY, soucieux de l’avenir de la Sonatel où travaillent plus de 1 500 Sénégalais qui participent au développement de l’Economie, a décidé de travailler à obtenir une solution consensuelle durable. Les membres du groupe prévoient ainsi de rencontrer, dans les prochains jours, toutes les parties prenantes, afin d’avoir toutes les informations relatives à cette société qui apporte une plus-value non négligeable à l’Economie sénégalaise.

Chirac

L'ancien Président a été admis hier soir à l'hôpital américain. Selon son entourage, qui évoque une crise de goutte, il n'y a «absolument aucune urgence vitale». L'ancien Président Jacques Chirac, âgé de 81 ans, a été hospitalisé lundi soir à l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine, mais son entourage a assuré que sa vie n'était «absolument pas» en danger. «Il n'y a absolument aucune urgence vitale. On soupçonne une violente crise de goutte. C'est très douloureux (...) il va juste subir quelques examens», a expliqué son entourage.

Western Union

Nos capteurs qui ne se mêlent jamais, vraiment jamais de se qui les regardent, ont filmé une scène de tentative de braquage contre l’agence Western Union de Diamaguène Sicap Mbao, sise précisément sur la route dite Tally Diallo prolongée. D’après nos machins, c’est aux environs de 3h15mn du matin, qu’un groupe de malfrats fortement armés de fusils ont débarqué à ladite agence, à bord d’un véhicule. Tel un commando aguerri, les assaillants se sont rués dans les locaux de ladite agence, pour visiblement mettre la main sur des fonds. Leur forfait a malheureusement avorté grâce à la vigilance de noctambules qui ont de suite alerté la police. Un dispositif qui patrouillait encore dans les environs est ainsi mis à contribution. Ayant senti à mille lieues de l’agence, l’arrivée des limiers, les malfrats ont abdiqué, avant de s’engouffrer dans leur véhicule et de démarrer en trombe. Sur place, les policiers ont pu constater que les visiteurs n’ont emporté le moindre centime. Un dispositif de surveillance est toutefois mis en place pour parer à un éventuel retour sur les lieux des malfrats.

DGPN

La Directrice générale de la police nationale (Dgpn) a entamé une tournée nationale de prise de contact avec son personnel déployé ou en service dans les régions Sud et Sud-est du pays. Ziguinchor a accueilli le 13 févier Anna Sémou Faye conduisant une délégation composée de directeurs et chefs de service dont les structures sont disséminées à travers lesdites circonscriptions administratives. La Dgpn s’est rendue au commissariat urbain puis au poste de police de Yamatogne pour s’enquérir des conditions de travail et de vie des fonctionnaires de police en service à Ziguinchor qui, à l’instar de leurs collègues du Groupement mobile d’intervention (GMI) basés au Camp Sonar ont échangé très longuement avec leur hiérarchie pour toucher du doigt toutes les difficultés liées à l’exercice de la profession dans cette zone un peu spécifique.

DGPN (bis)

Les secteurs frontaliers, Oussouye et Mpack ont été aussi visités. Anna Sémou Faye s’est aussi rendue à Sédhiou où l’érection d’un commissariat lui a été réclamée, avant d’aller à Kolda. Le 15 février, la Dgpn a poursuivi sa tournée vers Kounkané, poste frontalier doté d’un dispositif d’établissement de visas biométriques à Badiara avant de s’acheminer vers Kédougou en passant par Manda Douane. Après l’accueil à la gouvernance par le détachement du GMI stationné dans cette localité qui ne dispose pas de Commissariat de Police, la Dgpn a traversé le bac de Fongolimbi pour se rendre dans ladite localité vers la tombée de la nuit. Ainsi, venait d’être bouclée la première étape de la vaste tournée entreprise par la haute hiérarchie policière pour constater sur place les dysfonctionnements, réorienter les priorités et enfin prendre des mesures efficientes qui s’imposent.

Apr

Après la réunion avortée des cadres apéristes de la commune de Kaolack, la semaine dernière, supervisée par la présidente du Conseil économique social et environnemental,  Aminata Tall, en vue de préparer les élections locales de Juin 2014, l’heure est à la remobilisation et au recollage des morceaux. Ainsi, 13 des 14 collectivités locales que compte le département de Kaolack se sont donné rendez-vous dans la commune de Gandiaye pour «discuter des stratégies à adopter en vue de définir ensemble une ligne de conduite, pour qu’au soir du 29 juin, l’Apr gagne la majorité des collectivités locales de la région». Pour ce faire, le conseiller technique du président de la République, Diamé Diouf et ses frères du département ont rangé la hache de guerre pour se concentrer sur l’essentiel. En effet, pour réussir ce pari, jeunes, adultes et femmes ont réactivité le comité d’initiative départemental créé depuis 2012. Cette structure permettra à tous les membres du parti de se retrouver et de discuter sur «comment s’organiser pour gagner les 14 collectivités du département de Kaolack». Les leaders des 13 collectivités locales ont réuni leurs forces pour parler d’une même voix en vue d’éviter de vivre le syndrome des aperistes de la commune qui fonctionnent comme une armée mexicaine.

Mozdahir

Deux milliards, c’est le coût du complexe socio-éducatif financé par l’institut Mozdahir. Et dont la pose de la première pierre a eu lieu hier à Mbao en présence de l’ambassadeur du Koweït et du ministre du Plan. Ce centre va participer selon le président de l’institut  Cherif Mouhamad Aly Aïdara à combler le déficit d’établissements scolaires au Sénégal. Emerveillé, par ce complexe qui va compter entre autres un centre de formation professionnelle et technique, un centre de santé, le ministre du Plan a assuré devant l’ambassadeur du Koweït du soutien de l’Etat du Sénégal et de sa volonté à accompagner l’institut Mozdahir créé au Sénégal en 2000. Dans la même lancée, une radio pour vulgariser les enseignements de l’Islam incarnés par la famille du Prophète Mohamed (Psl) a été inaugurée hier à Guédiawaye.  

Ziarra

Durant les trois jours de retraite spirituelle au cours desquels le Chérif Abdoul Moutalib Tidjani de Koukoto (village situé dans le département de Koungheul) avait demandé aux nombreux fidèles venus d’horizons divers, de réciter 44 000 livres coraniques, des prières ont été faites pour marquer la 12e édition de cette rencontre religieuse. Selon le porte-parole de cette famille tidiane au Sénégal, Saydy Ali Haïdara, il s’agit chaque année de formuler des prières pour la paix, la stabilité sociale, politique et économique au Sénégal et dans la sous-région. Il a par ailleurs invité toutes les familles religieuses du Sénégal à se mettre au service de la religion musulmane pour instaurer la cohésion sociale et faire respecter la religion aux futures générations. Avant de clôturer la cérémonie, le marabout de Koukoto a exhorté les pèlerins au culte du travail, à la solidarité,  au partage et au pardon vis-à-vis de son prochain. Car, de son avis, seules ces qualités peuvent aider les musulmans à accomplir leurs missions dans cette vie ici bas.        

Diourbel

Le Collectif des conseillers municipaux de Diourbel a saisi le chef de l’Etat à travers une lettre ouverte, pour attirer publiquement son attention sur la gestion de la mairie de Diourbel marquée par des «scandales gravissimes» qu’ils n’ont cessé de fustiger devant les autorités administratives. Des scandales qui ont pour noms : pratique de la spéculation foncière à outrance, évasion des recettes, attributions et ventes irrégulières d’espaces à usage commercial ou d’habitat…  Composé de 43 conseillers, le collectif réclame la convocation d’une session extraordinaire pour discuter des problèmes qui plombent le fonctionnement du Conseil municipal, et une plainte a été déposée pour que la lumière soit faite sur les différentes affaires qui secouent la mairie. Le Collectif demande l’intervention du président de la République, pour «des mesures  à la hauteur des scandales en vue de les mettre à l’abri des spoliateurs».

 

Cambriolage

Alors que la police et la gendarmerie menaient une vaste opération combinée dénommée «Koba» sur toute l’étendue du territoire communal, dans la nuit du samedi au dimanche, les malfaiteurs, eux, investissaient le domicile du chef d’Agence régionale de la Sénélec de Tamba, Maguette Mbodj. La somme de 300 000 FCfa, toutes les pièces de son véhicule de marque Chevrolet Cruze DK 5140-AN et des cartes bancaires ont été emportées par les malfrats. Ils ont escaladé le mur de clôture avant de défoncer la porte principale de l’appartement pour s’engouffrer à l’intérieur. Sous le choc, le patron de la Sénélec a déposé une plainte, après constat des pandores de la Brigade de recherches de la gendarmerie.

Macabre

Deux corps sans vie, ont été découverts avant-hier, l’un à hauteur de la station d’essence Elton de Thiaroye, le second à la plage des Hamo 4. La particularité est que les défunts sont tous des personnes ne jouissant pas de leurs facultés mentales. Si le premier a pu être identifié sous le nom de Ndiaga, par le voisinage, le second retrouvé sur ladite plage drapé de haillons et sans caleçon, n’a pu être identifié. Aucune trace de violence n’a été retrouve sur leur corps, soumis à l’expertise d’un médecin légiste pour autopsie. Une enquête est en cours. 

AG houleuse

Les murs de la Rts 1 ont résonné fort hier, à force d’entendre les membres du personnel crier leur colère et leur courroux contre le Directeur et les syndicalistes. De 15h à 20 heures, les responsables de l’Intersyndicale Cnts-Synpics ont dénoncé «la gestion nébuleuse et opaque des 150 parcelles des terrains de Rufisque». Les agents de la Rts très remontés, selon les organisateurs, ont exigé que la liste des 105 bénéficiaires de ces parcelles soit rendue publique. «Tout s’est joué entre le Directeur des ressources humaines et le directeur Racine Talla qui ont réussi à confectionner leur propre liste», déplorent les travailleurs, qui n’entendent plus faire confiance aux syndicalistes. Pour joindre l’acte à la parole, ils ont brandi une pétition signée par 200 personnes pour la suspension de leurs cotisations syndicales. Puis, pour contraindre le directeur de la Rts Racine Talla à revoir sa copie. Les travailleurs qui l’accusent de piller et de profiter de leurs privilèges pour se mettre à l’abri du besoin, lui et son président du Conseil d’administration qui perçoivent respectivement 4,5 Millions de FCfa et 2 millions de FCfa par mois réclament une harmonisation des salaires pour tous.   

SOURCE: http://www.gfm.sn/une-de-l-obs/item/11214-l-obs-du-18-02-2014.html

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