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Jeu, Nov

Afficher les éléments par tag : Blaise Compaoré

Dans un rapport publié hier et faisant état des violences commises au Burkina Faso qui ont conduit à la mort de 10 personnes et de plusieurs blessés lors des manifestations du 30 octobre au 2 novembre dernier, Amnesty international a appelé le gouvernement de transition à mener une enquête exhaustive, indépendante et impartiale pour situer les responsabilités.

Publié dans News
Le président sénégalais, Macky Sall, a annoncé dimanche avoir approuvé la nomination du professeur Ibrahima Fall comme médiateur de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) pour le Burkina Faso.
 
Le président Sall a fait cette annonce lors d'un déjeuner avec les dirigeants des entreprises de presse, à Dakar.
 
Selon lui, le président en exercice de l'UEMOA, son homologue béninois Boni Yayi, a désigné l'ancien ministre sénégalais Ibrahima Fall pour conduire la médiation de l'organisation sous-régionale au Burkina Faso. 
Publié dans News

iGFM- (Dakar) Depuis les événements du 15 octobre 1987, elle semble s’effacer à jamais et pourtant Fatimata Paré, la génitrice de l’ex-première Dame du Burkina, Mariam Sankara, vit bel et bien à Nouna. Nous l’avons rencontrée le dimanche 02 novembre 2014 afin de recueillir sa réaction sur la chute du régime Compaoré. Pour elle, ce changement pourrait être une voie ouverte au retour de sa fille Mariam ainsi que ses petits-enfants Auguste et Philipe.

 Il nous a fallu un guide, Alexandre Goussa, dont la sœur était une amie d’enfance de Mariam Sankara, pour nous conduire chez la vieille Fatimata. Cette étape franchie, le plus dur était de lui arracher un mot. Il ne fallait surtout pas aller vite dans le vif du sujet. «Avez-vous appris que Blaise Compaoré a été chassé du pouvoir» ? «Non ; je ne suis au courant de rien. Mon poste- téléviseur est en panne depuis un certains temps. Changeons alors de sujet : «Que pensez-vous des comportements des jeunes d’aujourd’hui ? 

Publié dans PEOPLE

La Communauté économique des États de l'Afrique de l'ouest (Cedeao) a validé le rapport de la commission qu'elle avait désigné pour discuter sur l'accord de transition au Burkina Faso. Le Président Sall et ses homologues John Dramani Mahama  du Ghana et Goodluck Jonathan du Nigeria qui étaient les médiateurs de la Cedeao dans la crise burkinabé, ont accompli la mission qui leur avait été confiée. C'est à cet effet, que le chef de l'Etat du Sénégal  a été nommé président de la commission dans le processus de transition au pays des hommes intègres

Publié dans News

   Le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niass a indiqué hier, mercredi 5 novembre que les événements du 23 juin 2011 au Sénégal constituent un cas d’école pour les soulèvements populaires qui ont emporté le Président Blaise Compaoré. Moustapha Niass a ainsi plaidé pour une limitation des mandats présidentiels à cinq ans renouvelable une seule fois en Afrique.    

Près d’une semaine après le départ forcé du désormais ex chef d’Etat du Burkina Faso, Blaise Compaoré, les réactions continuent de pleuvoir chez les acteurs politiques africains. Dernière en date, celle de Moustapha Niasse, président de l’Assemblée nationale sénégalaise.
Publié dans La Une de la Presse

iGFM- (Dakar) Au Burkina Faso, le lieutenant-colonel Zida, homme fort de la transition qui s’est amorcée avec le départ du président Blaise Compaoré, a affirmé ce mardi 4 novembre au roi des Mossi, le plus influent chef traditionnel du pays, qu’il souhaitait « remettre le pouvoir aux civils ».

« Ils sont venus nous dire qu’ils vont remettre le pouvoir aux civils. Nous les avons encouragés à aller dans ce sens », a déclaré le Mogho Naba, chef très respecté de la plus importante communauté burkinabè, sur le perron de son palais après son entretien avec le lieutenant-colonel Zida et une délégation de militaires qui l’accompagnait.

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France

Le nouveau Président de la transition du Faso n’a pas encore pris ses marques qu’une partie des Burkinabè se lève pour réclamer sa démission. Les défenseurs du Lieutenant-Colonel Yacouba Isaac Zida a fait ses preuves à travers le rétablissement de l’ordre dans le pays au bout de deux jours.

Depuis hier, certains Burkinabè réclament le départ du pouvoir du nouveau Président Yacouba Isaac Zida. Ils sont descendus à nouveau dans la rue et se sont massés par centaines de milliers à la «place de la Révolution». Ces opposants à la prise du pouvoir par l’Armée sont appuyés par une partie de l’opposition à Blaise Compaoré qui estime que «l’Armée a confisqué le pouvoir et doit le rendre aux civils». C’est également la position défendue par les représentants de la Communauté internationale. 

Publié dans La Une de la Presse

La situation politique au Burkina Faso s’est invitée hier sur l’esplanade de la mairie de Thiès qui a servi de cadre à l’audience publique du maire Talla Sylla, qui a dévoilé sa politique de gouvernance locale et fait le bilan de ses 100 jours à la tête de la collectivité.

«Aujourd’hui, je suis Fadel Ouedraogo ; nous sommes tous des Ouedraogo», a déclaré Fadel Barro représentant du mouvement Y en a marre, fier que le Sénégal ait pu inspirer des pays comme le Burkina qui s’apprête à vivre une alternance politique sans précédent.

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vendredi, 31 octobre 2014 00:00

Démission de Blaise Compaoré

Dans un communiqué lu à la radio, Blaise Compaoré a déclaré avoir démissionné et confirme qu'il quitte le pouvoir. Mais souhaite des élections libres et transparentes sous 90 jours. Plusieurs internautes et journalistes déclarent que le cortège du désormais ex président vient de quitter le palais de Kosyam et se dirige vers la ville de Pô, située 143 km de Ouagadougou, frontalière avec le Ghana. 
Il y a des scènes de joie et de liesse populaire devant l'Etat-Major des armées à Ouaga....

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   Dans un communiqué de presse conjoint, la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) et son organisation membre au Burkina Faso Mouvement burkinabé des droits de l'Homme et des Peuples (MBDHP) condamnent les violences survenues hier matin au Burkina Faso et appellent les manifestants et les forces de sécurité au calme. «D'après les informations recueillies par nos organisations, des milliers de manifestants, opposés au projet de loi portant révision de l'article 37 de la Constitution burkinabè, auraient pris d'assaut, saccagé et pillé les locaux de l'Assemblée nationale ainsi que ceux de la Radio Télévision du Burkina (RTB) dont le signal n'émet plus», indique la source.  

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