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Je ne « défends » évidemment pas Eric Zemmour.

J’ai, en revanche, ce 22 décembre après-midi, twitté le message suivant : « Contre les hallalis. Contre la victimisation des adversaires. Et pour la confrontation des idées. Trois raisons de ne pas virer #Zemmour. »

En d’autres termes :

Dans un entretien accordé à un quotidien italien en octobre dernier, Eric Zemmour a tenu des propos vis-à-vis de la communauté musulmane qui ont choqué une partie de l'opinion et de la classe politique, dont le ministre de l'Intérieur. Retour sur l'affaire...

"Cette situation d'un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile". Les propos d'Eric Zemmour, écrivain et éditorialiste, sur les musulmans choquent de nouveau. Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a condamné mardi 16 décembre "avec une extrême fermeté" les propos dans un quotidien italien du polémiste Eric Zemmour sur les musulmans de France, qu'il a jugés "odieusement attaqués".

Vendredi soir, dans "Ca se dispute", l'émission d'i-TELE présentée par Léa Salamé, Eric Zemmour et Nicolas Domenach décryptaient le premier tour de la Coupe du monde 2014 et faisaient le tour des équipes qualifiées pour les huitièmes de finale. Les deux journalistes sont évidemment revenus sur la qualification, la veille au soir, de l'Algérie. Une première pour les Fennecs qui affronteront donc, demain soir, lundi à 22h, l'Allemagne pour une place en quart de finale contre la France ou le Nigéria (le match sera diffusé en direct sur TF1).

Eric Zemmou r vient de "franchir une ligne jaune" pour le CRAN, Conseil Représentatif des Associations Noires. L'association demande à RTL de le "congédier" et saisit le CSA après "une chronique appelant implicitement à une politique de purification ethnique" diffusée le 6 mai dernier. Dans son billet consacré aux derniers chiffres de la délinquance, Eric Zemmour dénonçait l'arrivée "des communicants au pouvoir" depuis la nomination de Manuel Valls à Matignon. "Le mal est bien plus profond, bien plus terrible, il doit donc être tu, il en va de la légimité de notre Etat qui repose sur sa capacité à protéger les citoyens", a lancé Eric Zemmour, opposant la "communication" de la gauche et les contradictions de la droite sur ce sujet. Puis il explique :