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Me Sidiki Kaba : «Lorsque tout est porté sur la place publique, c’est un danger. Surtout pour les renseignements militaires»
Favorable à des concertations avec la presse, Me Sidiki Kaba estime que tout ne doit pas être posé sur la place publique. «Il est important d’engager des concertations avec la presse. Le Sénégal est une démocratie majeure. Cette démocratie est due au fait qu’il y a une relation profonde attachée aux valeurs de tolérance, de justice, de liberté mais aussi c’est dû aux acteurs politiques de tous bords.
Mais également la presse qui joue un rôle important dans l’effectivité du droit à l’information qu’elle assure aux Sénégalais en apportant les faits qui sont commis par tous les citoyens, mais aussi les actes des dirigeants (…)», a commenté le ministre de la Justice.
Réforme de la justice, affaires Habré et Bassirou Faye, mutinerie à Tamba… Me Sidiki Kaba à la barre
Maître Sidiki Kaba à la barre ! Deuxième invité de Grand Format diffusé et publié dans les supports du groupe Sud Communication (Sud FM Sen Radio, Sud Quotidien et sudonline.sn), le Garde des Sceaux, ministre de la justice est largement revenu sur les différentes affaires qui éclaboussent la justice sénégalaise. Des affaires Bassirou Faye et Hissène Habré, à la mutinerie de la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Tambacounta, en passant par la traque des biens supposés mal acquis et les récentes accusations de l’ancien président de la République contre son successeur Macky Sall dans l’affaire Accelor Mittal, l’ancien président de la FIDH (Fédération internationale de Droits de l’Homme) n’a esquivé aucune question. A titre d’exemple, il confie que le procureur de la République pourrait s’autosaisir pour entendre Me Abdoulaye Wade. Sud Quotidien vous livre un premier jet. Entretien.
Sidiki Kaba: ‘’C’est pour l’honneur de l’Afrique que le Sénégal juge Habré''
Le Sénégal a accepté de juger Hissène Habré ''pour l’honneur de l’Afrique'', a soutenu, lundi à Dakar, le ministre de la Justice, Sidiki Kaba, soulignant que son procès à Dakar évite à l’ancien président du Tchad ''une éventuelle peine de mort''.
‘’La question qui se pose est de savoir l’Afrique est capable de juger ses enfants. Quand la question a été pose à Macky Sall, il a répondu que pour l’honneur de l’Afrique le Sénégal va juger’’, a-t-il dit, devant les députés lors du vote d'un projet de loi.
CONFIDENCES Dépénalisation de l’homosexualité Le niet du Sénégal
Malgré les demandes persistantes de la Communauté internationale appelant le Sénégal à dépénaliser l’homosexualité, les autorités sénégalaises réitèrent son refus de légaliser cette pratique qui serait contre nos us et coutumes et religions.
Ce sont des confidences glanées dans les couloirs du Conseil des droits de l’Homme de l’Onu à Genève. Le Sénégal n’acceptera pas de sitôt, de légaliser l’homosexualité, comme le souhaitent les pays occidentaux. La délégation conduite lundi dernier, par Me Sidiki Kaba, ministre de la Justice, à l’occasion de l’Examen périodique universel (Epu) à Genève, n’a pas fait dans le clair-obscur en réitérant les propos du chef de l’Etat tenus devant Barack Obama lors de sa visite à Dakar (26 et 27 juin). Pour certains, toutes les recommandations sont les bienvenues sauf celles ayant trait à l’homosexualité.
Traque des biens mal acquis, homosexualité, tortures: Le Sénégal en examen à Généve
Le Sénégal passera cet après-midi devant le Conseil des droits de l’Homme de l’Onu. Devant l’Examen périodique universelle, il sera question de la traque des biens mal acquis, de la Crei, de l’homosexualité, de la torture dans les centres de détention. S’il arrive à convaincre les 47 Etats membres du Conseil, il y sera réadmis.
L’Examen période universelle (Epu) du Sénégal devant la 17e session du Conseil des droits de l’homme de l’Onu aura lieu ce lundi à Genève. Prévu dans l’après-midi (15 à 17h), ce passage du Sénégal devant les 47 Etats qui composent ce conseil est très attendu par les autorités qui «afficheront» leurs efforts de défense et de promotion des droits de l’homme «sans tabous».
Me Sidiki KABA, ministre de la Justice : « Les victimes des violences pré-électorales bientôt indemnisées »
Après la Cour suprême et le Conseil constitutionnel, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Me Sidiki Kaba, s’est rendu, hier, à la Maison de l’avocat. Il y a rencontré le bâtonnier, les anciens bâtonniers et des membres de l’Ordre avec qui il a parlé du fonctionnement de la justice. Le ministre a annoncé que les victimes des violences pré-électorales seront bientôt indemnisées.
L’Etat va bientôt indemniser les victimes des violences pré-électorales. Les fonds sont déjà mobilisés, a annoncé le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Me Sidiki Kaba. Il était l’hôte du bâtonnier de l’Ordre des avocats, hier, dans le cadre de ses visites de prise de contacts avec les secteurs relevant de son département.
Thiès :erreur judiciaire ayant entrainé la libération de 3 «thiantacones» - Me Sidiki Kaba envoie l’inspection générale de l’administration de la justice au tribunal de Thiès
L'OBS - La liberté provisoire accordée d’office à 3 «Thiantacones», Alassane Ndiaye, Serigne Saliou Barro et Aziz Mbacké Ndour n’a pas laissé indifférent le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba, qui est sur le point de lâcher les inspecteurs généraux de l’administration de la justice au Tribunal régional de Thiès pour enquêter sur la légèreté judiciaire qui a conduit à la libération des 3 co-accusés de Cheikh Béthio Thioune.
Controverse autour du nouveau Garde des Sceaux : Sidiki résiste à la «kabale» - «Les positions dhef de l’Etat s’imposent à ceux qui servent sous sa direction»
Loin de rassurer ses détracteurs, Me Sidiki Kaba promu ministre de la Justice leur donne encore des raisons de douter du choix porté sur lui pour conduire la traque des biens mal acquis ou encore le dossier sur l’affaire Habré entre autres. Ses propos tenus lors de sa passation de service donnent l’impression que Me Kaba continue son travail d’avocat.
L’habitude est une seconde nature. Hier, l’adage s’est vérifié à travers les propos tenus par Me Sidiki Kaba à la suite de la passation de service avec son prédécesseur et Premier ministre Aminata Touré au Building administratif. Le nouveau ministre de la Justice, qui a consacré 35 années de sa carrière à défendre des accusés ou des plaignants, ne s’est pas départi de son flegme d’avocat.
Me El Hadji Diouf : « Me Sidiki Kaba s’est trahi même, car dans ses pensées, Habré… »
SETAL.NET-De l’avis du leader du parti des travailleurs du peuple, (PTP) Me El Hadji Diouf le nouveau Garde des sceaux, ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba s’est lui-même trahi.
Les controverses relatives à la nomination de Me Sidiki Kaba à la tête du département de la Justice n’ont pas épargné Me El Hadji Diouf. Le leader du (PTP), par ailleurs avocat de l’ancien dictateur du Tchad, Hissène Habré a estimé que Me Sidiki Kaba est « démasqué, disqualifié »à ce poste « Sidiki Kaba se dévoile et là, il est démasqué parce que c’est son subconscient qui l’a trompé.
Débat sur l’homosexualité : « De grâce, qu’on arrête de jeter l’anathème sur les organisations » (Me Assane Dioma N'diaye)
DAKARACTU.COM - La nomination de Me Sidiki Kaba à la tête du ministère de la Justice continue de faire couler beaucoup d’entre et de salive en ce qui concerne l’épineuse question de la dépénalisation de l’homosexualité. Pour le président de la Ligue sénégalaise des droits de l’homme (LSDH), Me Assane Dioma N'diaye, aucune organisation sénégalaise des droits de l’homme, n’a jamais revendiqué la légalisation de l’homosexualité, même si elles sont contre la persécution. « De grâce, qu’on arrête de jeter l’anathème sur les organisations de défense des droits de l’homme que certains tentent de stigmatiser », prévient Me Assane Dioma N'diaye dans les colonnes d’ Enquête.