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Sam, Déc

Afficher les éléments par tag : guerre

Un rapport de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) publié ce jour met en relief l’impunité des forces armées et de leurs alliés de Wagner. L’enquête a été orientée sur les violations et crimes graves commises contre des populations civiles au centre du Mali, entre juin 2018 et juin 2022.

Dans le rapport publié ce jeudi 24 novembre 2022, la FIDH met en lumière l’ampleur des crimes perpétrés au Mali. Dans ce pays ouest-africain, règne un conflit armé depuis près d’une décennie. Ce rapport est la conclusion de plusieurs missions d’enquête réalisées en 2021 et 2022. Cela a permis de relever des témoignages, notamment de victimes de ces graves violations des droits humains.

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La deuxième retraite conjointe du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine et du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs a pris fin le 15 novembre dernier en Afrique du Sud. Les travaux ont abouti à une stratégie de mutualisation des ressources pour prévenir les conflits sur le continent.

Les travaux de la deuxième retraite conjointe du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine et du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP) se sont achevés le 15 novembre 2022 à Durban, en Afrique du Sud. Les deux jours de travaux ont abouti à une stratégie de mutualisation des ressources pour le déploiement conjoint des équipes de prévention ou de médiation pour endiguer les conflits sur le continent.

Publié dans POLITIQUE

Un certain nombre d'observateurs soulignent l'imprudence de Volodymyr Zelensky, qui a accusé précipitamment la Russie d'avoir frappé le territoire polonais alors qu'il s'agirait d'un missile ukrainien, attisant les risques d'escalade du conflit. Les accusations précipitées contre la Russie du président ukrainien Volodymyr Zelensky après la chute d'un missile en territoire polonais interpellent un certain nombre d'observateurs, inquiets de voir le chef d'Etat pousser à une dangereuse escalade du conflit avec tant de légèreté. Quelques minutes seulement après la chute du missile qui a fait deux morts, le 15 novembre à Przewodów, Volodymyr Zelensky s'est en effet empressé d'accuser la Russie d'avoir frappé la Pologne – un membre de l'OTAN –, appelant à une réaction. «La terreur ne se limite pas à nos frontières nationales. Des missiles russes frappent la Pologne. Frapper le territoire de l'OTAN avec des missiles. [...] C'est une attaque de missiles russes contre la sécurité collective ! C'est une escalade vraiment significative. Nous devons agir», a-t-il ainsi déclaré.

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La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a fait savoir que la Russie s'était plainte de «l'incitation inacceptable à l’hystérie antirusse» auprès de l'ambassadeur de Pologne, convoqué ce 16 novembre à Moscou. Le chargé d’affaires par intérim de Pologne en Russie, Jacek Sladewski, a été convoqué au ministère russe des Affaires étrangères ce 16 novembre, au lendemain de la chute d'un missile sur le territoire polonais qui a fait deux victimes civiles.

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A quelques jours des élections de mi-mandat, le conseiller à la sécurité nationale du président américain Joe Biden a affirmé lors d'une visite surprise à Kiev qu'il n'y aurait «pas d'affaiblissement du soutien» des Etats-Unis à l'Ukraine. Proche conseiller de Joe Biden, Jake Sullivan s'est rendu le 4 novembre à Kiev pour une visite surprise. Dans la capitale ukrainienne, il a rencontré Volodymyr Zelensky et le ministre de la Défense Oleksiï Reznikov pour exprimer, selon la Maison Blanche, le «soutien inébranlable» de Washington face à l'opération militaire russe. 

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Convoqué au ministère russe des Affaires étrangères, l'ambassadeur britannique s'est vu présenter des preuves du soutien de son pays à la préparation de l'attaque ukrainienne menée contre la flotte de la Mer noire. Londres dément. Le ministère russe des Affaires étrangères, qui avait convoqué le 3 novembre Deborah Bronnert, ambassadeur du Royaume-Uni à Moscou, a exprimé une «vive protestation» auprès de la représentante britannique et lui a présenté de manière détaillée les informations collectées au sujet de sa participation dans «l’attaque terroriste» perpétrée le 29 octobre contre des navires de la flotte de la mer Noire à Sébastopol. Moscou avait indiqué, malgré de vigoureux démentis britanniques, disposer d'éléments tangibles à propos du soutien apporté par Londres à l'opération menée par les forces ukrainiennes. Selon le ministère des Affaires étrangères, des spécialistes militaires britanniques ont donc contribué «à la formation et à l’approvisionnement des unités des forces d’opérations spéciales ukrainiennes, notamment pour organiser des actes de sabotage en mer».

Ce partenariat entre les forces armées des deux pays remonte d'ailleurs, selon Moscou, à septembre 2020, lorsque Londres et Kiev ont conclu un accord sur «l’extension du programme de formation des marins-plongeurs ukrainiens par des instructeurs britanniques». Dès la fin 2020, les deux pays auraient ainsi commencé à mettre en œuvre un programme de lutte contre les menaces en mer Noire baptisé «Initiative de formation des forces navales ukrainiennes», comprenant des sessions de formation de nageurs de combat. Des exercices se seraient ainsi tenus sur la côte et dans les eaux de la mer Noire, près des villes d’Odessa, de Nikolaïev et d’Otchakov, avec la participation d'instructeurs britanniques, et incluant «un exercice de destruction d’une installation par explosif».  Plus récemment, en août et en septembre 2022, une quinzaine d'instructeurs militaires britanniques auraient formé des membres des forces armées de Kiev à «la conduite de drones sous-marins destinés à détruire des navires». Ces exercices se seraient déroulés sur l’île de Pervomaïsky, située dans les eaux de l’estuaire du Dniepr, à quelques kilomètres au sud de la ville d’Otchakov. De surcroît, Moscou évoque la livraison d'«une certaine quantité de drones sous-marins» de la marine britannique à la partie ukrainienne Moscou exige un arrêt immédiat des «provocations» britanniques «Il a été souligné que de telles provocations hostiles étaient inacceptables et il a été exigé qu'il y soit mis fin immédiatement», a indiqué le ministère des Affaires étrangères, sans préciser à ce stade si des sanctions seraient adoptées à l'encontre de Londres. Le Royaume-Uni a cependant été formellement mis en garde concernant des actions de ce type, «qui risquent de mener à une escalade de la situation» et pourraient entraîner «des conséquences imprévisibles et dangereuses». Le Kremlin avait également accusé le Royaume-Uni d'être à l'origine des explosions ayant endommagé en septembre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, construits pour acheminer du gaz russe en Europe. Londres plaide non coupable Sur les deux volets, les autorités britanniques ont rapidement rejeté les accusations de Moscou, qualifiées de «fausses affirmations d'une ampleur épique» dont le but n'était que de «détourner l'attention de sa gestion désastreuse de l'invasion illégale de l'Ukraine». Le Royaume-Uni apporte un soutien constant à Kiev depuis le début du conflit, détériorant encore plus des relations déjà mauvaises avec Moscou.


SOURCE: En savoir plus sur RT France : https://russieactuelle.fr/international/102144-royaume-uni-reprimande-par-russie-attaque-sebastopol

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Le ministère russe des Affaires étrangères a fait savoir, ce 27 octobre, que Moscou avait demandé à l'ONU d'ouvrir une enquête sur l'implication présumée de Washington dans le développement d'armes biologiques en Ukraine. «La Russie n'a pas eu d'autre choix que d'adresser une plainte au président du Conseil de sécurité de l'ONU pour demander de lancer une enquête internationale [sur des] activités militaires biologiques des Etats-Unis sur le territoire ukrainien», a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères, ce 27 octobre dans un communiqué, en précisant que cette plainte avait été accompagnée d'un projet de résolution approprié.

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Le président russe Vladimir Poutine a échangé le 26 octobre avec les directeurs des agences de sécurité et services spéciaux des Etats membres de la Communauté des Etats indépendants (CEI). Il est notamment revenu sur l'offensive en Ukraine. Le président russe Vladimir Poutine a échangé le 26 octobre avec les directeurs des agences de sécurité et services spéciaux des Etats membres de la Communauté des Etats indépendants (CEI) par visioconférence. La CEI est une organisation régionale eurasiatique composée de 15 pays, dont neuf ex-républiques soviétiques et vise à favoriser l'intégration économique, politique et militaire.

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Les autorités russes et ukrainiennes ont procédé à un nouvel échange de prisonniers. En contrepartie de la libération de 110 Russes dont 72 marins civils détenus depuis février, Moscou a renvoyé en Ukraine 108 femmes soldats ukrainiennes. Des marins russes rentrent enfin chez eux dans le cadre d'un échange de prisonniers entre Moscou et Kiev, le 17 octobre 2022 a annoncé le ministère de la Défense russe. 

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Affirmant que la Russie avait toujours été ouverte aux pourparlers de paix avec l'Ukraine, le président russe a accusé Kiev d'avoir perdu «l'envie de négocier». Il a en outre loué le rôle de médiateur joué par le président turc. Ce 14 octobre à Astana (Kazakhstan), lors d'une conférence de presse après un sommet des dirigeants de la Communauté des Etats indépendants, Vladimir Poutine a abordé la question des négociations de paix entre Moscou et Kiev, actuellement au point mort.

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