Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

24
Dim, Nov
SENETOILE NEWS

SENETOILE NEWS

Bezalel Raviv, the singer and songwriter of the song "Tunisia", which has become a symbol of peace and solidarity during the Arab Spring revolution,is scheduled perform in Tunisia later this year. 
 
Bezalel, who was born in north Israel to Jewish Tunisian parents, wrote the hit-song about his longing and yearning to him motherland Tunisia.
 
"Tunisia" had received millions of hits in YouTube and it earned Bezalel a special an official invitation by the Tunisian government to visit and perform in Tunisia. He entered Tunisia on his blue Israeli passport, and was only one to do so since the revolution had started. 
default

Le retour annoncé de Wade et l’interdiction du meeting du Parti démocratique sénégalais et de ses alliés ont ravivé la tension entre le pouvoir et l’opposition. Tension bien perceptible, en atteste la mobilisation exceptionnelle des forces de l’ordre mercredi dernier, prouve qu’il y a de l’électricité dans l’air. Pour Serigne Djily Fatah Mbacké, cette situation pouvait être évitée.

default

Wade perd 50 millions FCfa, son retour encore incertain

L'OBS - Il faut beaucoup de «baraka» au Parti démocratique sénégalais (Pds) pour accueillir Me Wade cet après-midi. Quelques écueils se dressent sur le chemin du retour.

Un autre jour s’annonce pour le Parti démocratique sénégalais (Pds) et son Secrétaire général. Me Abdoulaye Wade, après un premier retour avorté, avant-hier mercredi, devrait rejoindre Dakar, cet après-midi, à 15 heures précises (Gmt). Sauf encore un changement de dernière minute, l’ancien chef de l’Etat sénégalais sera accueilli par les militants de son parti. Seulement, le déplacement de Me Wade a déjà coûté très cher. 

vendredi, 25 avril 2014 00:00

Wade va défier Macky Sall

L ‘arrivée de Me Wade aujourd’hui laisse planer les craintes d’un vendredi de tous les dangers L’arrivée reportée de Me Wade à Dakar ne changera en rien la donne. Au contraire, l’ancien président du Sénégal veut défier son successeur qui veut à travers la police, la gendarmerie et ses militants réduire son retour voulu triomphal en un échec. Une décision que le pape du Sopi veut faire échouer en maintenant le schéma qu’il avait prévu mercredi dernier avec les mêmes intentions.

Il n’y a aucun doute que le Pds va sonner encore la grande mobilisation aujourd’hui, comme il l’a fait mercredi dernier, pour accueillir triomphalement son secrétaire général de retour d’un exil volontaire de deux ans en France. Mais les forces de l’ordre ne vont pas leur faciliter la tâche. 

Communiqué de presse

A lire dans JEUNE AFRIQUE N° double 2781/82 en kiosque le 27 avril 2014

 

 

·         Les 50 africains les plus influents du monde

Après moult séances de brainstorming, de débats et, surtout, d’interrogations, Jeune Afrique vous présente, pour la première fois, sa sélection des 50 Africains les plus influents… dans le monde – et non plus à l’intérieur des seules frontières du continent. Qui sont les hommes et femmes du continent qui, dans leur domaine et en dehors du champ politique, font autorité à l’échelle planétaire ? Celles et ceux qui, à leur manière – grain de sel ou grain de sable –, agissent sur la marche du monde ? Voici la sélection de Jeune Afrique

 Retour  de Wade à Dakar-Un important dispositif de sécurité mis en place

iGFM (Dakar) Abdoulaye Wade sera aujourd’hui à Dakar ? De toutes les façons un important dispositif sécuritaire est mis en place. Des éléments de la gendarmerie nationale sont pointés un peu partout sur les routes qui mènent vers l’aéroport Léopold Sédar Senghor où le père de Karim doit être accueilli par ses militants et sympathisants.  Ce matin, vers 10 heures déjà, plus d’une cinquantaine de gendarmes attendaient d’être déployés pour freiner les inconditionnels qui s’aventureraient à s’approcher de l’aéroport. Au niveau du rond point près du Casino du Cap-Vert, des éléments armés à bord d'une voiture stationnée dans une ruelle veillent au grain.

default

Le Conseil des Ministres s’est réuni, hier, jeudi 24 avril 2014, au palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky SALL.

A l’entame de son intervention, le président de la République a adressé à la Communauté chrétienne ses meilleurs vœux, à l’occasion de la célébration de la fête de Pâques, moment de communion, de ferveur religieuse, mais surtout de remerciements et de prières pour un Sénégal de paix et de prospérité.

Au titre de sa communication du jour, le Chef de l’Etat a abordé, dans un premier volet, la question des nouvelles perspectives de développement de l’entreprenariat et de l’auto-emploi, en rapport avec la mise en route des dispositifs de financements émergents de l’économie nationale.

La bataille des Locales prend une autre tournure. Macky Sall devra faire face, en plus de Khalifa Sall et autres, à une opposition requinquée par les retours de Idrissa Seck et Abdoulaye Wade.

La course au volant 
Qui est au volant ? La bataille autour du retour de Wade et les effets médiatiques imposent une autre lecture. Jusque-là, c’est Macky Sall qui était le chauffeur à bord du jeu politique, aidé en cela par les absences de Idrissa Seck et de Abdoulaye Wade, mais aussi les os à ronger de la traque des biens dits mal acquis (affaires Karim Wade et Aïda Ndiongue). Et sur le plan social, la décision populaire de baisse du loyer particulièrement. Mais aujourd’hui, à quel­ques semaines des Locales du 29 juin, tout indique que le rapport de forces entre l’opposition et le pouvoir prend une autre direction. En réalité, la «vraie élection», sur la base du contexte, présageait plus d’un duel entre les maires sortants, notamment ceux du Parti socialiste, qu’entre le pouvoir et l’opposition. Idrissa Seck avait repris le volant, le temps d’un week-end, en attendant que le «pilote» Wade atterrisse sur le tarmac de la politique intérieure et des Locales.

La douzième législature a installé hier, jeudi, les juges titulaires et suppléants de la Haute Cour de justice. Une juridiction chargée de juger le président de la République, le Premier ministre et les membres du gouvernement en cas de haute trahison, de complot contre la sûreté de l’Etat et délits de nature …à désagréger le bien public. Après moult programmations et reports, l’élection des juges parlementaires se serait faite pour donner un nouveau souffle à la traque des biens dits mal acquis et à la reddition des comptes qui ont envoyé pas mal d’anciens ministres libéraux comme Karim Wade en prison.

default

Ahmed Khalifa Niasse ne supporte plus l'arrogance des proches du président de la République. Dans une interview accordée à Leral, le richissime homme d'affaires s'est attaqué aux camarades de Macky Sall qui, "depuis deux ans, font preuve d'un sadisme (la recherche de plaisir dans la souffrance)". Le leader du FAP s'en est aussi violemment pris à Iran Ndao et à Tafsir Abdourahmane Gaye. Regardez.