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SENETOILE NEWS

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Avec le vote de la loi sur la parité, le Sénégal est passé de la 54e à la 6e place parmi les pays qui ont le plus fort taux de représentation de femmes au parlement. Le constat a été fait hier, au cours d’une rencontre des observatoires de Genre francophones sur les actions à mener pour que la parité soit de rigueur dans la mise en œuvre et le suivi de l’agenda post-2015.

« Il est vrai que le vote de la loi sur la parité a permis au Sénégal de faire un bond, parce que nous sommes passés de la 54e à la 6e place parmi les pays qui ont le plus fort taux de représentation de femmes au parlement », a affirmé Mamadou Diouf de l’Observatoire national de la parité du Sénégal. Malheureusement, a-t-il constaté  au cours d’une rencontre des observatoires du genre francophones à Dakar pour l’élaboration d’un programme d’actions pour l’égalité entres les femmes et les hommes pour l’agenda post-2015, dans les organes du bureau de l’Assemblée nationale et dans les commissions, cette loi ne s’applique pas.

A Kédougou, l’attente suscitée par le Conseil des ministres décentralisé est immense. A l’heure de tenir cet évènement solennel, les promesses électorales faites en 2012 lors de la campagne électorale de la Présidentielle reviendront avec insistance. Les populations tiennent à lui rappeler ses engagements politiques.

«Nos attentes par rapport à la venue du Président à Kédougou est la concrétisation de ses promesses de campagne», expose Baba Touré, coordonnateur du mouvement Y’en a marre à Kédougou. «En plus des promesses de campagne, il fait d’autres promesses partout où il passe. Jusque-là, dit-il, aucune réalisation n’a suivie.»

Karim Wade ira finalement en procès dans maximum deux mois pour justifier le patrimoine qu’on lui attribue. La Crei rendra publique aujourd’hui cette décision. Celle-ci à tout l’air d’un échec pour tous ceux qui, depuis longtemps, s’agitent pour la libération du fils de l’ancien président de la République. Ils ont ces derniers jours, semaines ou mois, posé un certain nombre d’actes qui convergent vers la libération du «prisonnier de luxe ». Le procès annoncé est loin d’entamer leur ardeur : « ils ne lâcheront pas le morceau », pour parler de manière triviale.  

Les avocats de Karim Wade et Cie ont du grain à moudre. Ils devront dès maintenant s’atteler à démêler les écheveaux de l’Accusation pour tirer d’affaire leurs clients qui sont renvoyés devant la Crei pour jugement par la commission d’instruction de cette juridiction spéciale. Celle-ci vise dans ses accusations contre les prévenus la somme de plus 117 milliards de francs.

Le feuilleton judiciaire que constitue l’affaire Karim Wade et Cie entame une nouvelle saison. Depuis hier, en effet, le traitement de ce dossier a pris une nouvelle tournure. Puisque la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), présidée par le juge Cheikh Tidiane Bèye, n’a pas vraiment traîné en chemin pour ordonner le renvoi des inculpés Karim Meïssa Wade, Mbaye Ndiaye, Mamadou Pouye, Pierre Agboba, Ibrahima Khalil Bourgi et son frère, devant la juridiction spéciale pour leur jugement qui, renseigne-t-on, va intervenir dans deux mois. 

Arrivé hier à Kédougou après avoir passé la journée à Sabadola, le président de la République, Macky Sall a eu droit à un accueil chaleureux. Les populations de Kédougou se sont mobilisées et ont pris d'assaut toutes les artères de la ville avec des effigies et slogans favorables à la politique du chef de l'Etat.

Accueilli hier à Kédougou: Macky Sall promet d'accroître la sécurité dans l'ensemble de la région
Macky Sall s'est réjoui de la mobilisation des populations des départements de Kédougou, Saraya et Salemata qui porte l'empreinte des responsables locaux de l'Alliance pour la République et des autres formations politiques.  « Je suis venu ici pour honorer mes engagements vis-à-vis de la population de Kédougou. Déjà, à mon arrivée, j'ai procédé à la pose de la première pierre du commissariat de police, mais aussi à la pose de la première pierre de la préfecture. Je vais engager des ressources importantes pour Kédougou », a dit le président Sall.

mercredi, 16 avril 2014 00:00

Karim Wade : l'étau se resserre davantage

iGFM - (Dakar) Les informations relayées mardi par la presse sénégalaise sur les comptes et les valeurs, 45 milliards de francs CFA, recensés à Singapour pour le compte de l'ancien tout puissant ministre Karim Wade sous le magistère de son père, se précisent. Karim Wade a été identifié comme le titulaire du compte, confirme ces certaines sources bien au fait de l'enquête qui aurait pris de la vitesse avec l'intervention de limiers français. L'issue du procès le plus retentissant du Sénégal après ceux de Mamoudou Dia sous Senghor et Idrissa Seck, ancien Premier ministre de Abdoulaye Wade, semble se dessiner pour Karim Wade, dont le père et ex-président du Sénégal a annoncé son retour à Dakar pour le 23 avril qui coïncide quasiment avec la fin de la deuxième mise en demeure signifiée à son fils. Le père Wade serait informé sur la gravité des preuves qui peuvent garder son fils en prison, pour plusieurs années encore ? 

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Le Parquet spécial près la Crei a requis lundi la traduction de Karim Wade en jugement pour enrichissement illicite. Mais aussi Bibo Bourgi et consorts, pour complicité d’enrichissement illicite. Toutes les oreilles sont tendues vers Cheikh Tidiane Bèye, qui décidera du sort de Karim Wade et Cie au plus tard demain.

Un procès pour Karim et ses coinculpés. C’est ce que propose le Parquet spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).

La Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (Crei) va statuer dans 24h sur le sort réservé à Karim Wade, au terme de son deuxième mandat de dépôt. Ces assurances sont du Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Sidiki Kaba, en marge de la plénière, hier mardi, sur le projet de loi portant fixation du capital minimum de la Société à responsabilité limitée (Sarl).

 

«Dans les 48h, nous saurons la position de la commission d’instruction, et nous allons savoir si le procès aura lieu ou pas». Ces propos, relayés par le site de l’Agence de Presse Sénégalaise (Aps), sont du Ministre de la Justice Garde des Sceaux, Me Sidiki Kaba, hier lors de la plénière à l’Assemblée nationale, sur le projet de loi portant fixation du capital minimum de la Société à responsabilité limitée (Sarl). A en croire le ministre, le sort réservé à Karim Wade, ancien Ministre sous le régime de son père Abdoulaye Wade sera ainsi connu des Sénégalais.
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A l’issue de la visite de 48 heures du président malien Ibrahim Boubacar Keïta au Sénégal, Dakar et Bamako ont décidé de renforcer les axes de leur coopération. Lire le communiqué final publié hier.

1. Dans le cadre du raffermissement des relations multiséculaires de fraternité, d’amitié et de coopération entre la République du Mali et la République du Sénégal, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA, en réponse à l’invitation de Son Excellence Monsieur Macky SALL, a effectué une visite officielle au Sénégal, du 13 au 15 avril 2014, à la tête d’une forte délégation de haut niveau.

2. Le Président Ibrahim Boubacar KEITA et Madame KEITA Aminata MAIGA ont été accueillis à leur descente d’avion par le Président Macky SALL et Madame Marième SALL, en présence de hautes personnalités de l’Etat et des membres du Corps diplomatique accrédité au Sénégal.

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Il paraît que le compte à rebours a commencé pour Karim Wade et que ses avocats ont trois jours francs pour consulter son dossier et préparer sa défense. C'est la presse qui nous l'apprend. A mon sens, le compte à rebours pour Karim a commencé bien avant sa première mise en demeure en avril 2013. Il a commencé bien avant même mars 2012, date à laquelle le Président Wade a été battu aux élections. Le compte à rebours a commencé pour Karim Wade le jour de l'accession de Maître Abdoulaye Wade au pouvoir, un certain 19 mars 2000. Son père devenu Président, Karim devenait aussi fils de... Et depuis...La presse, revenons-en et restons un peu avec elle, puisse que c'est d'elle qu'il s'agit encore.