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Sam, Nov
SENETOILE NEWS

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Le Programme triennal d’investissements publics (Ptip) 2014-2016 a été voté hier par les députés pour un coût  global de 3.467,889  milliards de  FCfa. Le Ptip a connu une hausse comparativement au précédent, avec une augmentation  de  377 milliards de FCfa. Ce programme veut être le principal jalon pour un Sénégal émergent, selon le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ.

Dans le Programme triennal d’investissements publics (Ptip) 2014-2016, dont le projet de loi a été adopté hier par les députés, l’Etat s’est fixé une croissance soutenue, durable et inclusive. Il vise aussi la consolidation des bases d’une gouvernance démocratique, transparente, plus rigoureuse, plus efficace. 

Le Garde des sceaux, ministre de la Justice, semble vouloir faire de la lutte contre la corruption dans la Justice son cheval de bataille. Pour Me Sidiki Kaba qui présidait hier, l’inauguration du siège de la Coalition du secteur privé contre la corruption (Cspc) suivie d’un forum sur le thème «L’entreprise face au risque de corruption», se mettre debout pour combattre ce fléau, c’est se battre pour créer des conditions  d’une stabilité sociale et politique.

La corruption est un fléau néfaste pour tous les secteurs d’activités. «Quand elle entre dans la justice, alors et il va de soi, nous avons une justice injuste. La corruption au sein de la justice est inacceptable, parce qu’elle touche fondamentalement, à tout ce qui nous est de plus cher», a indiqué hier, Me Sidiki Kaba. Le Garde des Sceaux, ministre de la Justice qui présidait hier, l’inauguration du siège de la Coalition du secteur privé contre la corruption (Cspc) suivie d’un forum sur le thème «L’entreprise face à la corruption» a expliqué qu’un «témoignage corrompu d’un témoin corrompu peut nous coûter notre liberté.

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Il avait déclaré ne pas faire de fixation sur un second mandat à la tête du pays et que tout ce qui le préoccupe, c’est de travailler pour la satisfaction des préoccupations des populations. D’où la formule : «la patrie avant le parti». Mais avec la récente sortie du Président Macky Sall à Neuilly  sur seine (France) : «Je vous lance un défi. Vous voulez les 10 ans, donnez-moi un second mandat», il ne fait plus l’ombre d’un doute que le Chef de l’Etat pense à sa réélection, en 2017.

 

Comme il en avait donné le signal, le 7 février dernier, dans une déclaration surprenante devant  les directeurs généraux des structures publiques affiliées à sa formation politique, l’Alliance pour la République : «Perdre les élections dans sa localité, c’est perdre son poste de DG». Le ton était déjà donné. L’appétit vient en mangeant.

«Je vous lance un défi. Vous voulez les 10 ans, donnez-moi un second mandat». Ces mots du président de la République, Macky Sall, prononcés devant les militants de l’Alliance pour la République (Apr) de Neuilly  sur seine (France), sonnent, à n’en pas douter, comme une déclaration de candidature pour la prochaine présidentielle prévue en 2017.

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Les propos du ministre Oumar Guèye faisant état des difficultés financières qui plombent la situation de la compagnie aérienne Senegal Airlines ne refléteraient qu’un petit bout de la réalité. Les travailleurs de la compagnie, qui se sont exprimés devant la presse hier, assurent que la situation est encore plus préoccupante, si bien qu’une cessation totale d’activités n’est pas à écarter dans moins de 48 heures.

La compagnie nationale, Senegal Airlines est dans une zone de fortes turbulences. Un crash financier serait même envisageable dans les jours ou heures à venir si rien n’est fait pour changer les choses. C’est du moins, l’avis des travailleurs du pavillon national. Ils assurent que la compagnie risque à brève échéance de connaître le sort de la sénégalo-marocaine Air Senegal international (Asi), qu’elle a remplacé. 

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iGFM (Dakar) De nos jours on rencontre beaucoup de centres d’appel dans les quartiers de Dakar. Nous avons rencontré certaines filles qui travaillaient dans ces centres d’appel. Elles expliquent comment se passe le travail et pourquoi elles avaient opté pour ce genre de métier . Certaines d’entre elles sont des étudiantes sénégalaises  et d’autres des étrangères. Maintenant, ces centres d’appels ont tendance à s’exiler au Maroc. Puisqu'ils sont de plus en plus traqués au Sénégal.

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Le Sommet de l’Elysée pour la paix et la sécurité en Afrique s’est terminé samedi par une conférence de presse. Le président Macky Sall y a pris la parole à côté de son homologue français, François Hollande.

« Il a été convenu d’accompagner la force africaine de réaction rapide vers une vraie force de réaction immédiate », a déclaré le chef de l’Etat, Macky Sall. Il a ajouté : « Pour cela, nous devons nous appuyer sur les forces sous régionales avec un renforcement des armées nationales. Pour apporter plus de sécurité aux frontières des pays africains ainsi qu’à l’intérieur du pays ». Le président Sall est convaincu que l’Afrique doit sortir du schéma actuel et aller vers des forces spéciales entrainées et équipées afin d’avoir la mobilité nécessaire pour se déplacer en urgence en attendant qu’il y ait une force internationale ou des casques bleus.

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De l'époque du député Blaise Diagne aux élections les plus récentes, le Sénégal donne l'impression que rien ne peut être bâti au plan politique sur la durée au nom de l'intérêt national et du peuple. Si la sortie d'Idrissa Seck  Benno Bok Yakaar,  coalition conduite sous l'autorité de l'actuel président de la République, Macky Sall, n'a été qu'un épiphénomène, la liste est longue des séparations entre hommes ou femmes que tout unissait au départ. Lamine Guèye et Senghor.  Mamadou Dia et le même Senghor. Jusqu'à Abdoulaye Wade et ses anciens Premiers ministres,  Idrissa Seck et Macky Sall. Et encore…

Avant-hier, le secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif) s’est effondré de tout son poids en pleine allocution devant plusieurs personnalités en marge d’une rencontre sur le sommet France-Afrique sur la Paix et la Sécurité. D’après ses proches, ce malaise serait provoqué par une crise d’hypoglycémie.  Il a, néanmoins, repris dans la journée le fil des activités en recevant des personnalités africaines.

Contrairement aux tarifs proposés par l’étude sur l’acceptabilité de l’autoroute qui avait été commandité dès 2004, les prix pratiqués actuellement sur l’Autoroute à péage Dakar-Diamniadio sont jugés excessifs par nombre d’usagers. Certains trouvent même qu’ils n’encouragent pas à prendre cette voie rapide et parlent de racket. Ce que conteste le concessionnaire.
Contrairement aux tarifs proposés par l’étude sur l’acceptabilité de l’autoroute qui avait été commandité dès 2004, les prix pratiqués actuellement sur l’Autoroute à péage Dakar-Diamniadio sont jugés excessifs par nombre d’usagers. Certains trouvent même qu’ils n’encouragent pas à prendre cette voie rapide et parlent de racket. Ce que conteste le concessionnaire.

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Le chef de l’Etat Macky Sall, participant présentement, à Paris, au Sommet pour la paix et la sécurité, a envoyé un message de condoléances au président sud africain, Jacob Zuma.

« Je suis profondément touché par la triste nouvelle du décès du président Nelson Mandela », a écrit le chef de l’Etat. Macky Sall poursuit que « l’Afrique du Sud, notre continent et le monde ont perdu un grand homme, un héros au destin exceptionnel ».