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Jeu, Nov
FAITS DIVERS

FAITS DIVERS (82)

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Ce sont des balles réelles qui sont à l’origine de la mort de trois victimes lors des dernières manifestations contre l’emprisonnement de Ousmane Sonko à Ziguinchor. C’est du moins la conclusion des certificats de genre de mort. Ils ont été rendus publics par l’hôpital régional de Ziguinchor, réquisitionné pour faire l’autopsie des corps des victimes.

«Pastef Les patriotes présente ses condoléances aux familles éplorées et réclame
L’ouverture rapide d’une enquête objective pour que les auteurs de cet acte odieux soient pourchassés, arrêtés, jugés et punis à la hauteur de leur crime», indiquent les camarades de Ousmane Sonko dans leur communiqué de presse.

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Après l’attaque du bus 65 à Yarakh hier soir, ce matin, la région de Thiès s’est réveillée dans des circonstances similaires . En effet, trois bus Tata ont été incendiés au cocktail molotov au quartier Médina Fall. Aucun mort ni blessé n’a, cependant, été déploré, précise iGFM.

Des jeunes encagoulés à bord de motos Jakarta, auraient jeté des cocktails molotov dans des bus, qui ont fini complètement calcinés. D’après des informations la RFM, reprises par nos confrères, l'enquête est confiée aux éléments du Commissariat central de Thiès.

e décor est renversant dans certains magasins et boutiques de luxe à Mbour. Les pilleurs sont passés par là après la condamnation de Ousmane Sonko dans le procès qui l'oppose à Adji Sarr pour viols et menaces de mort. De gros dégâts ont été notés. Les enseignes, les cantines de orange money ont été saccagées par des manifestants. Au lendemain des faits qui ont secoué la quiétude de la population, Seneweb a fait un petit tour dans la ville. 
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Des manifestants font présentement face aux forces de l'ordre dans certaines rues de Keur Mbaye Fall, dans la commune de Mbao, après une accalmie en début de journée. Ces heurts se déroulent principalement dans les quartiers Fatou Salama 1 et 2, renseigne "Seneweb".

Comme d'habitude, des jeunes armés de pierres font face à des forces de l'ordre qui lancent des gaz lacrymogènes pour les repousser.

Des manifestants visent les maisons des proches du régime. Comme à Dakar, où des affrontements entre les forces de l’ordre et les jeunes ont eu lieu toute la journée d’hier, les régions du pays ont également été touchées.

Le 4 février dernier, Travis Kauffman était attaqué par un puma dans un parc du Colorado, aux Etats-Unis. Jeudi, le runner a raconté son combat épique avec le félin, qu’il a réussi à tuer à mains nues.

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Mauritanie : Salir la réputation de Biram Dah Abeid est devenue une obsession pour certaines crapules Mauritaniennes qui ruminent le mensonge dans tous les sens. Le mensonge qui tuait hier, nourrit des familles entières aujourd’hui.
 
Démenti saignant aux ragots publiés le 25 septembre 2013 dans la presse qui disait : « Quand Biram Ould Dah son l’INAD-MC défendaient les acquis démocratiques de Ould Taya », article posté sous le pseudonyme Mohamed Ould Boilil qui fait le choux gras de certains menteurs de la toile qui l’ont signé carrément « Birame ould dah ould abeid mettant la date du 15/08/2004 ». Quand on prend l’engagement de publier des articles et opinions sous un pseudonyme, cela n’augure rien de bon ni de sérieux. Cette fameuse déclaration qu’ils attribuent à Biram et IDAD-MC, n’est trouvable que sous des mentaux d’obscures personnages peu fréquentables. L’auteur de l’article commet même une faute dans le titre de son article, il parle (INAD-MC) qui n’existe pas. Une lâcheté humaine pas plus ni moins. Les détracteurs de Biram Dah Abeid resteront à leur fin jusqu’au dernier jour.

À l’occasion de la manifestation du collectif pour la protection de l’enfant, les imams entre autres acteurs de la religion se sont prononcés sur ces actes de violence à l’endroit des enfants. Des sacrifices d’enfants pour atteindre un statut social, un tel acte est déploré par la population. Ainsi ils demandent à tous de revoir leur comportement et surtout aux parents de veiller sur leurs progénitures.

Le Professeur Amsatou Sow Sidibé estime qu'elle n'a pas vu un une disposition expresse condamnant l'apologie et du viol, mais reste d'avis que El Hadji Songué Diouf, en tant que professeur n'avait pas le droit d'assimiler le viol à l'habillement d'une femme.