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Autobiographie d'un ''Combattant'' !!! (Ou de l'égarement à la Sainteté !!!). [Un prodige de Serigne Madior Cissé, au service exclusif de Khalifa Ababacar Sy

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AUTOBIOGRAPHIE D’UN ‘’COMBATTANT’’!!! (OU DE L'ÉGAREMENT A LA SAINTETÉ !!!). [Un prodige de Serigne Madior Cissé, au service exclusif de Khalifa Ababacar Sy - l’incontournable maître-d’oeuvre de la mission du Mahdi (Retour de Jésus fils de Marie) !!!].

Le Ramadan est un moment privilégié d’introspection, en vue d’un amendement et d’un témoignage de reconnaissance à Allah - le Maître de la grâce incommensurable, pour les innombrables bienfaits dont Il nous a gratifiés ; et à ce titre, le rappel de notre parcours particulièrement chaotique pourrait être profitable à la génération actuelle.

 

De notre temps, il n’y avait pas d’éducation préscolaire (pas de jardin d’enfants, ni de case des tout-petits) que beaucoup de parents nostalgiques ne considèrent pas comme une avancée, et à juste raison ; pour certains, il ne s’agit que d’un projet ‘’antéchristique’’ pour détourner les enfants musulmans de l’enseignement coranique traditionnel qui, pourtant, outre les vertus d’ouverture de l’intelligence et de fortification de la mémoire, apporte la baraka et joue un rôle éducatif irremplaçable. Ainsi, comme la presque totalité des enfants musulmans de l’époque, j’ai fait l’école coranique avant mon entrée à l’école primaire à l'âge de sept ans ; ensuite je ne la fréquentais que pendant les grandes vacances ; ceci fait qu’au total j’avais appris à lire et à mémoriser le Coran, mais pas plus d’une vingtaine de sourates. Mon cycle primaire se passa normalement, à Thiès ; en 1964, je réussis au concours d’entrée en sixième et fus admis à l’internat du Lycée Charles de Gaulle (Saint-Louis), jusqu’en terminale ; je réussis au Brevet d’Etudes en 1968, puis au Baccalauréat en 1971 ; rentré à l’Université et inscrit en Médecine en 1972 ; en fin quatrième année, je réussis ‘’prématurément’’ au Concours de recrutement des Internes en Médecine des Hôpitaux de Dakar ; dès lors, je devais cumuler ma carrière universitaire et post-universitaire, en autodidacte, car mes fonctions hospitalières ne me permettaient plus d’assister aux cours ; je n’allais à la faculté que pour passer mes examens. A la fin de mes quatre années d’internat, j’ai passé ma Thèse de Doctorat d’Etat en Médecine (1980), et obtenu aussi mon titre d’Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar et mon équivalent français du Certificat d’Etudes Spéciales de Pédiatrie ; mais faute de poste budgétaire (ajustement structurel) pour être nommé comme assistant - chef de clinique, je décidai d’interrompre ma carrière universitaire et de me rendre au Gabon, après un bref passage à l’Hôpital H. Lübke de Diourbel. Après trois ans de service à la Polyclinique de Libreville (Fondation Chambrier), je décidai de démissionner, malgré un salaire de plus d’un million de francs par mois et d’importants avantages matériels, pour rentrer au pays et m’installer comme pédiatre privé à Thiès, ma ville natale ; ainsi, de 1985 à 1993, j’y ai exercé et aidé beaucoup de monde, tant par des consultations gratuites que par une réduction du coût de la prise en charge des malades (médecine omnipraticienne) ; j’ai dû même renoncé à ma spécialité pour réduire mes honoraires, conformément à la législation en vigueur.

 

 

Pendant toute ma scolarité passée dans des internats et donc loin des parents, j’avais véritablement pris mes distances avec la religion, comme la plupart des ‘’soixante-huitards’’ ; ainsi, ce n’est qu’après ma Thèse de Doctorat en Médecine, que j’ai commencé à prier ; et très curieusement, ce fut au Gabon, en 1981, avec l’aide de pieux compatriotes qui m’avaient apporté un précieux concours en me prêtant des documents (France-Islam) pour apprendre les formules à réciter lors de la prière ; et depuis lors, je n’avais pas cessé de m’acquitter de  mes cinq prières, mais j’étais encore très loin de l’orthodoxie religieuse.

En vérité, ce n’est qu’en 1988 que j’ai commencé à pratiquer autrement ; je venais de découvrir la vraie foi (îmân), les merveilles du Coran qui était devenu un compagnon inséparable et les beautés de la civilisation islamique qui avait pourtant régné sur l’Europe entière et  largement contribué à sa maturation ; j’étais émerveillé par l’érudition de Serigne El Hadj Madior CISSE, qui traitait de ces questions, lors des gamou et ziarra où j’assistais en tant que parent tout court ; je n’étais pas son disciple et ne l’avais jamais envisagé, car déjà engagé dans une autre confrérie et lié à un autre guide spirituel. Mais peu de temps après, je découvris une autre vocation, en recevant un ‘’appel mystique’’ qui m’a conduit à renoncer à tout et à sceller un pacte d’allégeance avec lui, pour l’éternité ; c’est lui véritablement qui m’a formé et façonné, comme il me l’avait promis dès notre première rencontre spirituelle (*). Et ce n’est qu’en 1993 que je reçus, par inspiration, l’autorisation spéciale de le proclamer comme le Mahdi, continuateur de la mission de Serigne Babacar SY et de ses illustres prédécesseurs - et donc d’apporter toutes les preuves décisives (irréfutables) (**). Ma vie venait de basculer quand je fus à la une du journal hebdomadaire ‘’Promotion’’ qui titrait : « Un jeune médecin se dit nouveau messie ! ». Je fus alors traité de fou par tout mon entourage et tous mes collègues. Et sur l’insistance de mes parents, j’avais consulté un psychiatre pour les rassurer, mais ce dernier qui avait lu le journal, n’avait même pas cru nécessaire de m’interroger ; pour lui, la cause était entendue, j’avais incontestablement ‘’disjoncté’’. Je compris alors que dans le contexte de médecine moderne laïque, il ne pouvait pas faire autrement ; il me prescrivit des neuroleptiques  que j’ai pris pendant deux ans, quoique convaincu d’être sain d’esprit ; ce traitement me fut d’un grand secours, car m’a permis de passer le cap de cette douloureuse période d’incompréhension. Il ne pouvait pas en être autrement, car en vérité, aucun messager n’a échappé à la dérision et aux faux jugements de ses contemporains [(43. L’Ornement : 6-7 … 23-24 – Az-Zukhruf ; 68. La Plume : 51 – Al-Qalam]. Ce n’est que cinq ans plus tard, en 1997, que j’avais commencé à publier des contributions et causeries religieuses qui intriguèrent tout mon entourage ; ils comprirent que c’était eux qui étaient dans l’erreur ; et de jour en jour, cela leur apparaissait de plus en plus évident. Et rien que cela devrait suffire comme preuve décisive de la véracité de ma mission.

En vérité, j’ai connu l’égarement manifeste et toutes ses conséquences ; en effet, dans la situation d’incrédulité, on ne suit que ses pulsions (‘’nafsoun amârati bi soû’i’’) ; dès lors, on est capable de se livrer à toutes sortes de turpitudes ; oui, tout ce que l’incrédule ne fait pas de mauvais ne résulte que de la grâce divine (‘’soutoura’’). Dieu merci, je n’ai jamais consommé d’alcool ou de drogue, et échappé à beaucoup de turpitudes, car, même en l’absence de conscience religieuse, je me souciais particulièrement du regard (jugement) des autres ; ma ligne de conduite fut toujours de veiller à ne pas me marginaliser par rapport à ma génération – et donc à me situer ‘’entre ange et démon’’. Et actuellement, je peux dire que mon égarement me fut profitable, dans une certaine mesure ; oui, cela m’a permis d’apprécier, à sa juste valeur, la clémence et la miséricorde de Dieu qui m’a tiré du fond de l’abîme pour me gratifier d’une faveur imméritée, en me confiant l’insigne honneur de confirmer mon maître, comme le Mahdi, khalife du Vénéré Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif – le « Sceau des Saints » (1) (2) (3) ; c’est incroyable !!! Et il a fallu que Dieu – le Maître de la grâce incommensurable - me montre toutes sortes de Signes (preuves) pour me convaincre définitivement de la véracité de ma mission. En outre, mon égarement m’avait permis d’apprendre beaucoup de choses sur la marche du monde et d’avoir la tolérance et le tact requis pour prêcher en cette ‘’fin des temps’’ (akhirou zamân) caractérisée par une crise morale sans précédent. Je ne pouvais pas être intolérant (intégriste), sinon mes anciens camarades et connaissances m’auraient très certainement rappelé tous mes ‘’exploits’’ de jeunesse.

Au demeurant, je fus un très grand mélomane, très éclectique et très exigeant en ce concerne la qualité musicale ; en outre, je fus un sportif  pratiquant, très passionné de football, et plus tard, de pétanque ; mais actuellement, j’ai rompu avec tout cela, car avec l’acquisition et l’approfondissement de la foi, on se libère de toute passion et donc de tous les jougs qui nous asservissent, de tous ces ‘’idoles’’ (‘’taghout’’) qui entraînent une distorsion de notre perception du monde (45. L’Agenouillée : 23 – Al- Jâthiya).  Dieu merci ! Et rétrospectivement, à la lumière du Coran, j’ai compris pourquoi l’incrédule que je fus était un très grand anxieux et un hypochondriaque, avec de fréquents troubles de l’humeur (balancé entre la déprime et l’euphorie) ; en vérité, je n’étais pas heureux, malgré les revenus colossaux dont je disposais, en son temps ; il ne pouvait pas en être autrement, car la voie du bonheur et de la santé mentale passe par la prière [(29. L’Araignée : 45 – Al-Ankabût) ; (23. Les Croyants : 1-11 – Al-Mu’minûne) ; (70. Les Voies d’Ascension : 19-35 – Al-Ma’arij)]. Oui, point de bonheur en dehors de la prière !!! Et très vraisemblablement, c’est cela qui explique, entre autre, le mal-être des occidentaux, en dépit de leur richesse et opulence. Actuellement, avec des moyens financiers et matériels dérisoires, je suis très heureux, pour ne pas dire que je suis le plus heureux du monde ; en effet, Dieu m’a élevé au rang des ‘’bienfaisants’’ (‘’mouhsinîna’’) et des ‘’âmes apaisées’’ (nafsoun mouthma’ina) [(37. Les Rangés : 123-132 – Saffât) ; (89. L’Aube : 27-30 – Al-Fajr)]. Et ainsi intronisé dans la ‘’Cour des Grands’’, Dieu - le Maître de la grâce infinie, m’a véritablement attribué les tous premiers rôles (1) (2). Que puis-je Lui demander d’autres ? Et à quoi me servirai une fortune à quelques encablures de l’Heure (fin du monde) - si ce n’est pour le ‘’combat’’ dans le sentier d’Allah  [(54. La Lune : 1-6 – Al-Qamar) ; (43. L’Ornement : 61 - Az-Zukhruf) ; (61. Le Rang : 10-14 – As-Saff)].

Ainsi, dans ce récit, comme ceux des messagers, il y a des enseignements pour les ‘’doués d’intelligence’’ (12. Joseph : 111 – Yûsuf). Et tout cela pour montrer, en outre, que votre serviteur n’est pas amnésique et qu’il n’a rien à dissimuler de son passé ; tout cela aussi pour montrer aux injustes, non encore repentis, que je fus des leurs et qu’il n’est pas encore tard de se réformer ; oui, il ne faut jamais désespérer de la miséricorde de Dieu (39. Les Groupes : 49-55 - Az-Zumar) ; oui, un pécheur peut même devenir un véritable ‘’Serviteur du Très Miséricordieux’’ (ibâdou’r-rahmâne) et accéder à la sainteté, s’il se réforme - avec la grâce d’Allah [(25. Le Discernement : 63-76 – Al-Furqâne)]. Et enfin, tout cela pour rappeler aux oulémas et à tous ceux qui prêchent la religion – au nom du Prophète (PSL) - de ne pas faire fuir les gens ; oui, ‘’la religion n’est que facilité ; et celui qui la rendra difficile en sera la victime’’ (Hadith rapporté par Bukhari).

Actuellement, je crois avoir délivré le message pour lequel j’ai été ‘’réquisitionné’’ et vous invite donc à vous engouffrer sans tarder dans la voie de Dieu par cette « porte du repentir » (la mission du Mahdi) qui est un véritable raccourci (voie expresse) pour accéder à la Sainteté (3) (4).

Oui, je crois avoir accompli cette mission, comme il se devait, et toujours fin prêt de tirer ma révérence ; j’en rends grâce à Dieu, de la manière la plus sublime, à l’instar de Jonas (Yûnus) : ‘’Pas de divinité à part Lui ! Pureté a Lui ! J'ai été vraiment du nombre des injustes’’ ! (21. Les Prophètes : 87 – Al-Anbiyâ’). ‘’Gloire à Lui, notre Seigneur, le Seigneur de la puissance. Il est au-dessus de ce qu'ils décrivent ! Oui ! Paix sur les Messagers et louange à Allah, Seigneur de l'univers’’ ! (37. Les Rangés : 80-82 –Saffât).

https://docs.google.com/document/d/19bkVJMbVGfj7OJdHi5_kxXbjzEiwOijd3kG5B0VoqZQ/edit?usp=sharing

 

DOCTEUR MOUHAMADOU BAMBA NDIAYE

Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar

Pédiatre à Thiès

Recteur de l’Université Virtuelle « La Sagesse » de la Fondation Serigne Babacar SY Ihsaan - Bienfaisance (Thiès).

Rétro confirmateur (Consolateur) du Mahdi, Son Éminence Serigne El Hadj Madior CISSE, fils spirituel de Serigne Babacar SY, khalife de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif - le ''Sceau des Saints'' et ''Christ de la Parousie'' (Jésus fils de Marie revenu). (1) à (4)

http://sites.google.com/site/missionmahdi

http://sites.google.com/site/universitevirtuellelasagesse

 

(1) [Vidéo (en Wolof)] Autobiographie du rétro confirmateur du Mahdi !!! (Révélations fatales !!!). (Première partie) : https://www.youtube.com/watch?v=q--m6-RFvD0 ; (Seconde partie) : http://www.youtube.com/watch?v=Sz9KF3rPLRA&sns=fb

(2) [Vidéo (7 min)] Ma rencontre mystique avec Cheikh El Hadj Oumar Foutiyou TALL. [pour l’introduction de la dimension spirituelle en Médecine moderne et la continuation de son combat (‘’djihad idéologique’’) – Mission Mahdi oblige !!!]. http://youtu.be/dqd5-E38FZE  

(3) [Audio (En Wolof) 12min] Dévoilement du ‘’Sceau des Saints’’ !!! Par Docteur Mouhamadou Bamba Ndiaye (Rétro confirmateur du Mahdi). http://www.drivetunes.org/app/?state=%7B%22ids%22:%5B%220B12vvSpH-svNdlRsdEVzWUdaWDg%22%5D,%22action%22:%22open%22,%22userId%22:%22104207984972597841445%22%7D#/selected/

(4) A quel Mahdi ou Pôle (khoutb) se fier ? Un inéluctable ‘’Tsunami religieux’’ (‘’Chaos salvateur’’) en perspective !!! https://docs.google.com/document/d/1q108QjPr9k1K6plGrHAENXypLCXsWSv3OTSbRspFJlI/edit?usp=sharing