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Ven, Nov

  Demain, jeudi 30 juillet, au Grand Théâtre, le Sénégal célèbre les esprits les plus brillants primés au Concours général 2015. Le parrain est le philosophe Souleymane Bachir Diagne. Un parrain malheureux qui ne remettra ni prix ni accessit en philosophie. Pour cause, aucun des 69 candidats ayant composé dans cette discipline n’a eu une moyenne égale à 12 ou 11,5. Une situation qui préoccupe les professionnels de la philosophie qui tentent, dans les colonnes de sud quotidien, de cerner les causes du malaise. Les élèves ont-ils décrété la mort de la philosophie ? Pourquoi ?  

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  Le « tambour-major » Doudou Ndiaye Rose aura 85 ans ce jeudi 30 juillet 2015. Pour marquer cet anniversaire, beaucoup d’activités qui entrent dans le cadre de la 4ième édition du festival «Deggi daaj» seront donc au menu, avec comme hôte spécial l’ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal. Entrée libre dans la soirée de jeudi, avec, à partir de 20h, un «sabar» organisé au Grand Théâtre National sous la direction du compositeur et chef d’orchestre américain Nathan Fuhr.   

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Impossible de parler de tourisme au Gabon sans parler de Mayumba, une petite ville côtière située au sud du Gabon dans la province de la Nyanga. La ville de Mayumba est réputée pour son histoire coloniale mais aussi pour ses plages aux sables fins.

En effet durant la colonisation Cheikh Amadou Bamba (Serigne Touba), le fondateur du mouridisme persécuté par le colonisateur pour sa foi, a été exilé à Mayumba en 1895. De nombreux écrits témoignent de nombreux miracles qu’il aurait effectué durant son exile forcer.  

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Invité à présider le lancement du mouvement d’étudiants dénommé Da may jangi, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a profité de cette rencontre pour faire le bilan des réformes entamées dans ce secteur. Lors de ces échanges avec les étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), Mary Teuw Niane a porté sa casquette de Professeur pour discuter avec le public.

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VIDÉO - Ces fragments de parchemin pourraient avoir été rédigés du temps du prophète Mahomet, à la fin du VIe siècle ou au début du VIIe.

C'est une découverte inestimable. Probablement l'une des plus anciennes versions manuscrites du Coran a été retrouvée dans la bibliothèque de l'Université de Birmingham au Royaume-Uni, a annoncé mercredi l'université. Selon une datation au carbone 14, ces deux fragments de parchemin seraient vieux d'au moins 1.370 ans, ce qui en fait parmi les plus vieux de l'histoire de l'Islam. 

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Papa Cheikh Jimbira-Sakho
Editions JP, Dakar, 2015 - 96 pages


Le titre de l’ouvrage, c’est le moins que l’on puisse dire, ne fait pas vraiment dans la demi-mesure : pas d’intitulé-mystère, pas de cache-cache et pas de fausse subtilité. Papa Cheikh Jimbira-Sakho le dit d’ailleurs lui-même, et dès les premières lignes de ce texte qui est en fait «une dénonciation des provocations répétitives» de Charlie Hebdo, du nom de cet hebdomadaire satirique français coupable selon lui d’avoir « fait de l’islamophobie sa marque de fabrique».   

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L' Institut Al Moyassar Sipres I Association Al Mouyassar pour le Développement et la Modernisation de l'Enseignement Coranique a primé hier, lors d'une conférence religieuse tenue au Cices ses élèves qui ont récité intégralement le Saint Coran .


El Hadj Abdoulaye fils de Baba Lamine Niass est le fondateur de l’Institut Al-Mouyassar. Il a fait de hautes études coraniques, d’abord au Sénégal à Dar al-Quran de Seyda Mariam Ibrahim Niasse, khadimatoul Quran, puis à l’étranger dans plusieurs pays. Après ses brillantes études, il revient comme enseignant dans cette même structure avant de créer en 2008, son propre institut dénommé « Al-Mouyassar » pour la mémorisation et la récitation du Coran. Cet Institut est maintenant reconnu par l’Etat du Sénégal.
A ce jour, l’Institut abrite plus de deux cents apprenants garçons et filles, âgés pour la plupart de 10 ans. Ces dernières années, plus d’une cinquantaine d’enfants ont mémorisé le Saint-Coran, et par la suite, ont intégré l’école française où ils obtiennent actuellement d’excellents résultats.
L’Institut a pris en location un immeuble rez-de-chaussée + 3 étages dans la Zone Sud Foire, en plus d’une annexe. Il convient de signaler que malgré ses résultats, l'Institut Al-Mouyassar n'a jamais reçu de soutiens des pouvoir publics...

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Au Sénégal la fête marquant le mois de Ramadan est particulière, autant par ce qu’elle représente pour les nombreux croyants que pour son appellation. En effet, la Korité n’est autre que le nom donné à l’Aïd al-Fitr, la célébration de la fin du Ramadan célébré dans le monde. Un mot qui tire ses origines du Wolof : « wori », qui signifie : « couper le jeûne », lui-même dérivant du wolof : woor (jeûner).

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Chérif Hamahoullah (Cheikh Hamallah) est un mystique et guide de la confrérie Tidjaniya, dont la discrète influence est perceptible encore en Mauritanie, au Mali et au Sénégal, notamment à Malicounda (Mbour). 

A Dakar-Plateau, ses disciples entretiennent sa zawiya à Rebeuss. Mardi, Cheikh Hamallah a été célébré. Le Môle 3 du Port de Dakar porte son nom, à l’instar d’autres religieux musulmans et catholiques. 
Né en 1883 à Kamba Sagho, au Soudan-Français (actuel Mali), Chérif Hamahoullah est d’un père érudit mauritanien, de Tchitt, un des hauts lieux de la Tidjaniya. Sa mère est de l’ethnie peulh, selon ses biographes. 

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Les milliers de jeunes sénégalais qui sont dans les écoles coraniques devraient être impliqués dans la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) pour ne pas laisser en rade une bonne franche de la population dans le projet d’émergence que s’est fixé l’Etat du Sénégal, a estimé dimanche le président-fondateur de l’Institut Imam islamique Imam Hassane Cissé, Oustaz Makhtar Ndiaye.

 ’’Les écoles coraniques ont largement leur place dans le plan Sénégal émergent. Ces daaras encadrent des milliers de jeunes à travers l’apprentissage du Coran, l’éducation islamique en faisant la promotion des bonnes valeurs’’, a expliqué Oustaz Makhtar Ndiaye.

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Annonce de l’appel à candidatures pour le prix Etisalat de littérature 2015

 

Le premier prix panafricain récompensant les écrivains africains débutants dont on a publié les œuvres de fiction

 

LAGOS, Nigéria, 20 juillet 2015-- Etisalat (http://www.etisalat.com.ng), l’entreprise de télécommunications la plus innovante et la plus prospère du Nigeria, vient d’annoncer le lancement de l’appel à candidatures pour la troisième édition du prix Etisalat de littérature 2015 (http://prize.etisalat.com.ng). Il s’agit du premier prix panafricain récompensant les écrivains africains débutants dont on a publié les œuvres de fiction.

 

Logo Etisalat: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/etisalat.png

 

Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=2297

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  Le mois de Ramadan, au Sénégal, revêt véritablement un caractère  particulier. En cette période de jeûne dans notre pays, il y a toujours de quoi faire une pause et observer. Rien de plus «insolite», mais passionnant, que ces jeunes qu’on rencontre dans les artères de la ville tous les jours vers les coups de 17h, une petite calebasse ou bol à la main,  en train de demander des pièces de monnaie aux passants. C’est du «maddial», une forme de contribution collective au café et dattes qu’ils offrent gratuitement à des jeûneurs dans la rue à l’heure de la rupture. Histoire, selon eux, de faire profiter à tous les musulmans et même aux chrétiens les bienfaits de ce mois béni avec comme ‘’slogan’’: «ce que vous nous donnez retourne à vous».  

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Dés l’avènement de l’Islam, le Coran, par le verset 14, sourate 49 excluait une frange de musulmans de la sphère de sa foi (Iman). Sans qu’il y ait une ligne de démarcation visible entre les uns et les autres, tous ayant en commun d’être membres de la communauté de l’Islam. La démarche des soufis découle de cela.

La quête de la foi ou le « mouridisme » contemplatif de la face divine qu’il est recommandé aux prophètes de suivre. La démarche en question est décrite dans la sourate 53, Versets 17, 18, 19. Elle a, cependant, son coté dangereux en tant que chemin. D’où l’attestation de Dieu envers son Prophète (psl) dont le regard n’a nullement dévié, ni outrepassé la mesure. La suite de la sourate nous indique le caractère néfaste auquel aboutissent ces deux extrémismes. Choses qui ne peuvent que mener à l’idolâtrie. Qu’elle soit bicéphale ou trinitaire. 

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