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Au téléphone de Pressafrik.com, l’étudiant utilise le terme « cueillis ». Il faut dire que cela chauffe actuellement à Bignona puisque les grenades lacrymogènes raisonnent. Les étudiants accusent le Préfet de Bignona qui selon eux, a donné l’ordre d’intercepter leurs camarades. Les faits se sont produits ce matin lorsque le départ a été donné pour la poursuite de la marche vers le palais de la République.
« Ce matin lorsque la délégation a pris la route pour sortir de Bignona, ils ont été interceptés par les forces de l’ordre », campe Khanta Aliou Badara. Le délégué dénonce une « manigance du Préfet de Bignona ». « Il y a des tirs de grenades lacrymogènes », renseigne par ailleurs ce dernier qui annonce l’arrestation de quatre (4) de ses camarades. Loin d’être désarmés, les étudiants ourdissent un autre plan d’action. Il s’agit de faire le tour des radios pour faire des déclarations.
source: PressAfrik.com