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Le Groupement interbancaire monétique de l’Union économique monétaire ouest africaine (Gim-Uemoa) a formé quelque 400 policiers et gendarmes en stratégies de veille et de lutte contre les fraudes constatées dans l’utilisation des cartes bancaires en Afrique de l’Ouest. C’est ce qu’a laissé entendre jeudi dernier, Blaise Ahouantchede, directeur général de Gim-Uemoa, au terme de la visite de stands des exposants sur les différentes offres de paiement bancaire.
Le vol de carte bancaire à usage de fraude et de détournement de biens d’autrui n’épargne nullement le Groupement interbancaire monétique de l’Union économique monétaire ouest africaine (GIM-UEMOA). En ébauche, ledit groupe a formé plus de 400 policiers et gendarmes en stratégies de veille et de lutte contre les fraudes constatées dans l’utilisation des cartes bancaires en Afrique de l’Ouest, en vue de leur permettre de mieux faire face au phénomène, a déclaré Blaise Ahouantchede directeur général de GIM-UEMOA, au terme de la visite de stands des exposants sur les différentes offres de paiement bancaire.
Une rencontre qui s’inscrit dans le cadre du 4ème salon du Groupement interbancaire monétaire de l’Union économique monétaire ouest africaine (Gim-Uemoa) de deux jours qui s’est ouvert hier jeudi, à Dakar sur le thème : «Le prépayé et le paiement électronique, un marché porteur pour le développement de l’inclusion financière et la bancarisation en Afrique».
Une rencontre qui s’inscrit dans le cadre du 4ème salon du Groupement interbancaire monétaire de l’Union économique monétaire ouest africaine (Gim-Uemoa) de deux jours qui s’est ouvert hier jeudi, à Dakar sur le thème : «Le prépayé et le paiement électronique, un marché porteur pour le développement de l’inclusion financière et la bancarisation en Afrique».
«Nous avons formé 400 policiers et gendarmes pour veiller sur la sécurité liée à l’utilisation des cartes bancaires. Nous comptons renforcer ce dispositif pour mieux lutter contre la criminalité», a-t-il dit.
«Au regard de l’ampleur de la lutte contre les fraudes sur les cartes bancaires, M. Ahouantchede a souligné la nécessité d’organiser des campagnes de sensibilisation et d’orientation des grandes masses pour mieux aider les populations à s’approprier les enjeux liés à l’usage des cartes GIM», a-t-il expliqué.
Selon lui «Il y a nécessité à impliquer davantage les populations dans l’utilisation des cartes bancaires qui peuvent avoir un effet bénéfique dans leur vécu quotidien». Il poursuit: « A chaque fois, il y a des cas d’incendies dans les marchés et autres lieux et c’est beaucoup d’argent qui est perdu dans ces incendies», s’est-il désolé. «D’où la nécessité pour les commerçants de disposer d’une carte Gim pour éviter des cas sociaux tel que perdre tous ses biens», a-t-il lancé.
Il a par ailleurs plaidé pour un relèvement du taux de bancarisation dans la zone communautaire pour une meilleure protection des biens des populations. Des représentants de la Fédération des associations professionnelles des banques et établissements financiers, des acteurs de la micro finance et d’autres acteurs financiers, ont également pris part à cette rencontre, de même que des délégations venues de la Belgique, de la France, de l’Inde et des Etats-Unis d’Amérique.
SOURCE :http://www.sudonline.sn/le-gim-uemoa-forme-400-elements_a_19560.html