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Sam, Nov

Rumeurs : pour Carla Sarkozy, «il n'y a pas de complot»

NEWS FRANCE
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Carla Bruni

A l'Elysée , «on a tourné la page» des rumeurs «depuis belle lurette». Tel est le message que devait faire passer et qu'a répété Carla Bruni-Sarkozy, mercredi soir. «Je considère que nous ne sommes victimes d'aucun complot. Il n'y a pas de vengeance. Les rumeurs sont inhérentes à l'être humain», a martelé la première dame, lors d'une interview de moins de dix minutes à Europe 1 . Une mise au point destinée à dissiper le trouble causé par les déclarations de Pierre Charon. Le proche conseiller de Nicolas Sarkozy, a attribué dimanche les bruits incessants sur les prétendues liaisons extraconjugales du couple présidentiel à une conspiration visant à déstabiliser le président français.

«Pierre Charon a parlé avec l'emportement de l'amitié», a observé l'ex- mannequin, qui a manifestement pris ses distances avec lui. «Il a pris cela plus avec cur que nous». Carla Bruni-Sarkozy a également démenti l'existence d'une enquête des renseignements sur l'origine des ragots. «Il n'y a aucune enquête de police. C'est inimaginable. Il y a une plainte dont je ne connais pas la suite», a -t-elle insisté. Pas plus qu'il n'y a eu de pressions sur le Journal du Dimanche , dont la société éditrice, le Groupe Lagardère, a déposé ce week-end la plainte contre X pour «introduction frauduleuse de données dans un système informatique». Un billet sous pseudonyme publié sur un blog hébergé par le site Internet du journal avait relayé les rumeurs, aussitôt présentées comme authentiques par les médias étrangers.

Toutefois dans la soirée, le patron de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) Bernard Squarcini a affirmé au site Internet Mediapart que ses services avaient bel et bien enquêté en mars sur ces rumeurs, après saisine du «directeur général de la police nationale Frédéric Péchenard». Et de préciser : «Nous avons mené des investigations techniques, notamment informatiques, afin d'essayer de déterminer d'où étaient parties ces rumeurs. Mais nous n'avons... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr

SOURCE : LE FIGARO