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Ven, Nov

Islam, discrimination en France et Algérie, les confessions d'Anelka

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islamophobie

LE SCAN SPORT - Désormais consultant pour le club algérien NA Hussein Day, l'ancien international s'est fixé une mission : aider le football algérien à grandir.

 

Jeune retraité même s'il n'a toujours pas officialisé son retrait des terrains, Nicolas Anelka va poursuivre une activité dans le football. A 36 ans, l'ancien attaquant du Paris SG a confié ce week-end dans un entretien exclusif accordé à Al Arabiya qu'il serait désormais consultant pour le club NA Hussein Day, à Alger. Un choix qui n'a finalement rien d'étonnant car l'enfant terrible du football français se sent particulièrement proche de ce pays.

 

«J'ai une affinité avec l'Algérie, parce que j'ai grandi avec beaucoup d'amis algériens en banlieue parisienne. Nous avons beaucoup de choses communes, notamment l'islam», a expliqué le natif du Chesnay qui est revenu sur sa conversion lorsqu'il avait 16 ans: «Au-delà de l'aspect fraternel, ma conversion n'a pas changé ma vie. Je vivais déjà avec les mêmes principes - être juste, avoir des valeurs… J'avais l'habitude de jeûner pendant le ramadan parce que j'admirais les musulmans autour de moi qui jeûnaient. Je me suis converti car j'avais la certitude que l'islam était pour moi. J'ai senti cette relation avec Dieu. J'ai eu la conviction dans mon cœur que c'était ma religion.»

 

 

Evoquer la confession musulmane est aussi moyen de dénoncer une certaine discrimination en France. «Les Français d'origine nord-africaine tentent de réussir, mais la société française les maintient en échec. Il y a beaucoup d'obstacles. Par exemple, si vous envoyez un CV avec le mauvais code postal et un nom à consonance musulmane, alors vous ne serez pas considéré et vous n'obtiendrez pas un emploi. C'est seulement en France que vous avez besoin de cacher (...)

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