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Après avoir pris un engagement solennel, maintes fois réitéré, de réduire son mandat, le Président Macky SALL, vient, non seulement, d’y renoncer, en suivant l’avis très controversé du Conseil Constitutionnel, mais aussi de manifester sa volonté de rendre intangible la laïcité dans notre pays, musulman à plus de 95% - en clair, exclure définitivement Dieu de la gestion de la cité.
Dans son fameux texte intitulé "Mes raisons de voter Non", l'ancien Premier ministre a ouvert une brèche dans laquelle s'est engouffré le Secrétaire d'Etat à la communication pour démonter son argumentaire à propos du deuxième tour de la Présidentielle. Abdoul Mbaye écrit : "(…) Exigeons qu’on nous rende notre 'scrutin majoritaire à deux tours', explicitement précisé à l’article 26 de la constitution actuelle.
Une mise en garde a été adressée à trois membres du mouvement « Jubanti Sénégal » ; il s’agit de Abdou Karim GUEYE, Membre du Mouvement « Nittu Deug », Mamadou Mouth BANE, Coordonnateur de « Jubanti Sénégal » et enfin Pape Cissé Madamel, Président de « Yakarboutass ». Selon des informations que nous avons pu glaner, c’est le premier nommé qui a reçu la lettre ce mercredi aux environs de 2h du matin à la hauteur de la station « Elton » de Colobane d'une personne à bord d'un scooter.
DECLARATION DU COMITE DIRECTEUR DU P.D.S. Le Chef de l’état, Macky SALL, fait partie de la délégation de personnalités de très haut niveau désignées par l’Union Africaine et chargées de procéder à une médiation au Burundi. Le Parti Démocratique Sénégalais regrette le choix porté sur la personne de Macky SALL qui est disqualifié pour une telle mission parce que n’ayant pas les qualités morales requises pour faire de la médiation, et qui vient de s’illustrer par un spectaculaire reniement de sa parole.
C’est hier, en réunion du conseil des ministres qu’on a appris le limogeage de l’ambassadrice du Sénégal en république du Gabon. Contestée, Madame Saoudatou Ndiaye Seck, proche de Abdoulaye Sally Sall, conseiller du chef de l’État, n’était plus en odeur de sainteté avec ses compatriotes établis au pays de Ali Bongo. Manque d’assistance, voyages multiples, entre autres de griefs qui avaient suscité l’ire des jeunes de la Cojer, reçus en audience par le président Macky Sall.
A l’instar des pontes de l’Alliance pour la République (Apr) qui ont entrepris des tournées pour une large victoire du Oui au prochain référendum, le directeur général de Dakar Dem Dikk (3D) s’est aussi lancé dans la pré-campagne. Après Thiès, le fief d’Idrissa Seck (Rewmi), visité le week-end dernier, Moussa Diop, leader d’Ag/Jotna se rend à Dagana, puis à Podor, ce week-end, pour une séance d’explication dans le but d’obtenir une forte adhésion au projet de réforme de Macky Sall.
Les personnes présentes au niveau du pont de fann ont assisté à une scène assez insolite. Une dispute entre un homme et une femme. Mais pas comme on n'en voit tous jours, car c'est la femme qui a pris le dessus, en malmenant comme pas possible celui qu'elle qualifie de menteur et d'hypocrite.
« J’ai un grand respect pour Tounkara. Je lui reconnais son savoir et je suis souvent ses émissions », confie l’artiste Pape Diouf qui réfute toute censure de son clip Malaw, suggérée par l’animateur de l’émission « Senegaal ca kanam ».
La présidente du Parti Car/Leneen a invité les populations, lors d'une conférence de presse qu'elle a tenu hier, à son domicile, à boycotter le référendum prévu le 20 mars prochain. Dénonçant le non-respect de la parole donnée, Amsatou Sow Sidibé estime qu'il n'est pas encore trop tard pour le chef de l'Etat Macky Sall de réduire son mandat en cours en passant par une loi expressément rétroactive.
NON À LA DICTATURE CONSTITUTIONNELLE!NON AU MASSACRE DE LA VERTU! Napoléon inventeur de la légion d'honneur disait:«C’est avec ces hochets qu’on mène les hommes… ». Le cercle appelle les Sénégalais de tous bords, à sanctionner «la dictature constitutionnelle» et à laisser par-dessus bords «ce référendum de reniement » qui donne un goût très amer de « wax waxeet».
Le leader du Grand parti à fait face à la presse pour se prononcer sur l’actualité politique du Sénégal. En effet, El Hadj Malick Gackou a fait savoir qu’après s’être concerté avec les organes de son parti au Sénégal comme à l’extérieur, il a fondé ses convictions profondes sur les propositions de réformes constitutionnelles « en mettant en exergue l’impérieuse nécessité pour les forces vives de la Nation de défendre la République, la cohésion sociale, le consensus national et la sauvegarde des intérêts supérieurs de la Nation sénégalaise ».
Elle est là, elle chante. Tout est beau, elle est magnifique. Il ne faut pas qu’elle s’arrête, c’est si bien. Elle rit, elle danse. Comme toujours, la même ferveur. Les mots qui touchent. Elle aime ça. On dirait qu’elle apprécie aussi la mélancolie sans trop le dire. Ça se voit. Ça ne peut qu’être ça. Elle sait que les mots ont un sens. Elle en profite. Elle en profite en bien. Cela lui va à merveille. Elle nous vient avec un nouvel album aux sonorités variées. Oui, c’est une artiste qui nous vient du Cameroun. Elle a travaillé avec les plus grands noms de la musique. Elle est modeste, mais ses dernières chansons ont cartonné.
Babacar Diop, président de And dollel Khalifa Sall, sur la position de Ousmane Tanor Dieng, Secrétaire général du Parti Socialiste, déclare : «And dollel Khalifa Sall appelle au boycott parce qu’aller aux urnes, c’est cautionner le référendum. Il faut montrer à la face du monde que le Président Macky Sall n’a pas respecté son engagement de réduire son mandat de sept à cinq ans. En réalité, il n’a pas de bilan à présenter aux Sénégalais.
Idrissa Seck qui a réuni son état-major politique, aujourd’hui mercredi, a décliné la position de son parti Rewmi par rapport au référendum du 20 mars prochain, proposé par le président Sall. «Je suis candidat pour voter NON au référendum», lance-t-il à la presse.
(SenePlus.Com, Dakar) - Khalifa Sall désapprouve la décision de Macky Sall d’aller au bout de son septennat. Il l’a fait savoir, sans prendre de gants, dans une déclaration parvenue à SenePlus. "Je prends acte de la décision du président de la République de revenir sur son engagement de réduire le mandat en cours de sept à cinq ans après l’avoir promis entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2012 et après l’avoir, (suite à) son élection et à maintes reprises, réitéré aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du Sénégal."
Nervosité suspecte, fuite de responsabilité, courage discutable, colère sans cause… C’est le stock de marchandises avariées et frauduleuses que le Président de la république vient de fourguer aux Sénégalais dans un emballage étiqueté «reniement d’un engagement électoral». Le coup de massue est terrible et sans appel contre la démocratie sénégalaise, contre les valeurs d’éthique et de probité morale, contre toutes ces autres valeurs opposables aux turpitudes quotidiennes des hommes et femmes politiques de notre landerneau.
Le jeune et téméraire Saer Tambédou s’est toujours distingué et, ce, depuis 2013, comme l’un des plus fervents défenseurs de Wade-fils. Président du Groupement des Jeunes Marchands Ambulants et Tabliers de Dakar, le natif de Baba-Garage (Baol, dep. Bambey) s’est vu catalogué comme un virulent contempteur du régime du Président Macky. Avec son mouvement « Macky Bayil Karim (M.B.K) », il tenait à être présent à toutes les audiences du procès de Karim Meissa Wade.
Le président du groupe parlementaire de la mouvance présidentielle n’a pas mis de gants pour répondre à son désormais ex-allié, le député Imam Mbaye Niang. Très remonté contre ce dernier, qui doute de l’éthique de Macky Sall, Moustapha Diakhaté affirme, dans un entretien qu’il a accordé à Walf Quotidien, que son collègue ne croit pas à la République.
Le cercle des intellectuels soufis, déplore un «Wax Waxeet» caractérisé, et regrette le fait que le président de la République Monsieur Macky SALL, ait manqué l'occasion de montrer à la face du monde qu'ici en Afrique, on est capable de donner la leçon, et que le pouvoir n'est pas une fin en soi. Selon ses propres termes. Peut être que le principe moral, ne saurait en rebattre du caractère impersonnel et général des règles de droit, qui considère que ce mandat est hors de portée de la nouvelle loi, du fait qu’il était préalablement fixé dans le temps. Mais, qu'à cela se tienne, ceci installe «un traumatisme politique » et constitue une fuite en avant caractérisée, qui ne le dérange pas, parce qu’il serait très douloureux pour lui.
Généralement, j’évite le livre politique et cela vaut pour toutes les politiques du monde. Je trouve ce genre d’œuvre prétentieux et dogmatique, tel un gourou s’exprimant à ses proies présentes ou futures.