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L’homme idéal existe. Il est québécois – Diane Ducret
Par un de ces rendez-vous de la vie, la narratrice rencontre Gabriel. Entre eux naît une alchemie. Il l’invite chez lui, au Canada, et elle accepte. Et ce pendant l’hiver !!! Au fil des pages, elle nous dépeint son parcours amoureux avant de croiser le chemin de ce prince. Est-il vraiment « charmant » ?
Interview exclusif avec Diane Ducret
Qui est réellement Diane Ducret ?
Une auteur passionnée avec un drôle d'accent, qui n'a pas peur des grands écarts littéraires, puisque aimant passer des "femmes de dictateur" et de la géopolitique des dictatures à la comédie romantique sans vergogne !
Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire ce livre ?
Le Québec! Savez-vous qu'il n'y a jamais eu, dans l'histoire de l'humanité, autant de célibataires qu'aujourd'hui, en Occident ? J'ai eu alors envie d'écrire non plus sur l'amour dans l'histoire, mais une belle histoire d'amour. Dans laquelle on rirait de nos attentes, nos clichés sur l'amour, notre indécrottable envie de séduire, d'être parfaites.
Les différences linguistiques, qui sont d’ailleurs très joliment commentées par l’héroïne, sont-elles une indication que vous ayez vécu au Québec ?
Il m'est en effet arrivé de ne pas du tout comprendre mon interlocuteur, et certaines expressions sont pour une française assez déroutantes ! Quand un homme vous dit que vous êtes chaude, cela ne veut pas du tout dire ce que vous pensez. De même, s'il vous dit de garder vos shorts, ou de pas vous exciter le poil des jambes, mieux vaut être prévenue !
Le fait de ne pas donner un nom à l’héroïne, est-ce une façon d’emmener chaque jeune femme à s’identifier à elle ?
Oui, totalement ! Le sous-titre du livre pourrait être "tout ce qui se passe dans la tête d'une femme lorsqu'elle rencontre un homme et qu'elle n'ose jamais dire". Ainsi, l'histoire vécue par l'héroïne, les bonheurs et catastrophes des premières fois, c'est l'histoire de chacune d'entre nous!
Extraits:
« Il a osé me faire faire plus de cinq mille kilomètres pour m’emmener « magasiner », comme il dit ! C’est même pas français, ce mot ! ».
« – Tu branles dans le manche ?
Il veut que je fasse quoi ?! Et devant son fils ?
– ça te dit, oui ou non ?
Mais il a toujours parlé comme ça, ce gars-là ? C’est quand même pas la première fois qu’il ouvre la bouche ! J’étais trop occupée à le regarder, j’ai pas dû écouter. C’est un cauchemar. ».
« – Il t’achale mon fils ?
Serieusement, quoi, c’est une caméra cachée ? Un coup posthume de Marcel Béliveau ?
– Hésite pas à le dire s’il t’étrive
Je suis loin de chez moi, bien plus loin que là où j’ai jamais accepté d’aller pour un homme. »
Yolandeetmichel-mag.fr