L’Afrique, une terre de paradoxes. Au cœur des contradictions du Congrès de Berlin et du découpage politique du continent, le tracé des frontières dans la construction des pays et des territoires bloque encore l’unité africaine. Dans ce jeu du tracé des lignes en fonction des richesses disponibles ou non sur un terroir, les soi-disantes puissances de l’époque, ont causé des torts quasi-irréparables au continent africain, avec des conséquences politiques, économiques et culturelles très graves.
De Zanzibar aux larges des côtes tanzaniennes de l’Océan indien, à la Gambie sur le littoral ouest-atlantique, chaque territoire avait, à l’époque précoloniale, son histoire propre. La colonisation aidant, avec un découpage fait de jeu d’intérêts, l’Afrique des peuples s’est muée en une Afrique de schémas dessinés par des puissances venues d’ailleurs (Allemagne, France, Angleterre, Belgique) à ligne et au crayon.
Résultat de ses incohérences notées sur les cartes, de graves anomalies, mais aussi des contrastes graves. Comme le Lésotho, laissé seul au cœur de la République sud-africaine, la Gambie, petit territoire coincé dans le ventre mou du territoire sénégalais, est une belle curiosité africaine depuis la fin du 18e siècle. Les ethnologues, autres politologues et sociologues, diront qu’il s’agit bien d’un cas à part, tant le pays reste bloqué dans ses efforts de se construire une démocratie sereine, un développement humain durable, ne serait-ce que pour l’émancipation de sa maigre population. Ce petit dossier que vous propose votre journal préféré et qui ne saurait épuiser un tel sujet, ouvre ainsi le débat sur une question de fond pour les générations actuelles et futures; celle de la réalisation tangible et réelle de l’unité africaine.
L’unité africaine. Un concept à construire et à rendre compréhensible pour les générations actuelles et à venir. Mais, que le challenge est encore périlleux face aux couacs et obstacles réels à franchir pour nouer de bonnes relations entre pays et encore aux barrières linguistiques entre anglophones, francophones, lusophones et encore. Au moment où s’ouvre le sommet de la Francophonie du coté de Madagascar, les questions de fonds qui touchent encore le continent africain, sur les questions de son unité, son évolution à la fois économique et sociale, restent presque entières depuis les indépendances.
Plus d’un demi-siècle après le départ (fictif) des colons, l’on a du mal avec l’unité tant les fondements qui ont fondé les bases de celles-ci ont été sapés par l’homme blanc au mépris de l’intelligence
politique des hommes et des femmes de l’époque. Résultat, des ensembles sous-régionaux et régionaux ont été partiellement ou complètement déconstruits. Des empires disloqués et en leur sein sont nés des espaces qu’on a confondus à des pays au détriment des peuples. Que serait le Sénégal avec le territoire gambien à l’intérieur ? Qu’on le regarde à partir du Niomy au Nord, autour de ses villages et villes situées sur le bord de mer et le long du fleuve depuis l’entrée de la baie de Sainte-Marie, la Gambie est un pays presque enclavé dans un autre, avec comme seul débouché sur le monde, l’océan. Quand on la prend par la Casamance, jusqu’au Sénégal oriental, c’est aussi une bonne partie des terres irriguées par un fleuve du même nom qui coupe le territoire sénégalais en deux.
Les anomalies de l’histoire. Et pourtant, quel beau pays ce serait quand on parcourt le territoire gambien d’Est en Ouest et du Nord au Sud. Belle curiosité africaine, à l’image du Lesotho laissé seul au cœur du territoire sud-africain, comme un no man’s land, la Gambie faisait bien partie de bloc géographique sénégalais avant l’arrivée des colons. Entre la Gambie et le Sénégal, à l’intérieur du territoire au sein duquel le pays prend son origine, c’est comme une sorte d’amour sous la forme d’un «je t’aime, moi non plus…» Pour dire que l’histoire s’est construite de manière assez douloureuse, séparant de fait des gens d’une même famille, d’un même village, d’une même région qui vivaient sur un même territoire, le Sénégal. La Gambie, une région devenue un pays. Loin d’un titre de roman ou d’un film, c’est toute la vitalité d’un territoire, d’une nation au cœur de laquelle émerge un Etat dont on veut parler ici. Et le plus curieux est que l’essentiel de ses frontières suit le profil du fleuve du même nom et ne sort pas du Sénégal.
La Gambie, un bout de terres plongées dans le ventre mou du territoire sénégalais. Pays contrasté, plein de mystère, il est une terre inconnue des Sénégalais qui ne connaissent pas ses grandes villes, à l’exception de la capitale, Bathurst à l’époque coloniale, aujourd’hui connue sous le nom de Banjul. Et pourtant, le long de ce grand fleuve, les villes et villages pullulent. Ils ont nom: Bakau, Serekunda, Gunjur, Bansang, Farafenni, Sukuta, Brufut, Albreda, Tanji, Juffurey, Tendaba, Janjanburey, Kuntaur, Basseh Santossu, Birkama, Kololi, Lamin, jusqu’à Djiboro adossé sur la Casamance, plus au Sud.
UNE LONGUE DOMINATION BRITANNIQUE
C’est le traité de Versailles, daté de 1783, qui a fini par accorder la Gambie à la Grande-Bretagne. Sa prospérité remonte ainsi à l'établissement d'un comptoir anglais dans l'île Sainte-Marie. Nous sommes en 1816. Le premier paradoxe est que cette entité géographique, située au cœur même du Sénégal, dépendait de la Sierra-Leone, sur la période 1821-1843. C’est par la suite qu’on la confié à la colonie de la Couronne et, dès 1866, elle fait partie des West African Settlements (les Colonies ouest africaines). Mais, les choses ne se feront pas aussi facilement.
Tandis que se développe la culture de l'arachide sur la rive droite, la haute Gambie, lentement infiltrée par les Peuls du Fouta-Djalon, est l'objet d'affrontements entre ceux-ci et les Malinkés. Des négociations avec la France, de 1866 à 1876, pour échanger la Gambie contre les comptoirs de Grand-Bassam, Assinie et du Gabon, n'aboutissent pas. L'accord sur les frontières avec le Sénégal est signé en 1889. La Gambie redevient autonome en 1888; le protectorat instauré en 1894 (à l'exception de l'île Sainte-Marie demeurée colonie) met en place le système de l'administration indirecte, définitivement concrétisé par la Constitution de 1913.
Des réformes ont lieu de 1946 à 1951 à l'initiative de la Grande-Bretagne, introduisant des membres élus dans le Conseil législatif. Le premier parti politique, le Democratic Party, n'est fondé qu'en 1951, bientôt suivi par d'autres, Muslim Congress Party et United Party. La nouvelle Constitution octroyée en 1954 est rapidement contestée et le suffrage universel formellement réclamé, sauf par le Muslim Congress Party et les chefs traditionnels. L'échec des projets économiques infléchit la
politique anglaise, qui introduit, en 1960, le suffrage universel, en même temps qu'est mis sur pied un cabinet ministériel sous la présidence du gouverneur. Apparaît alors un nouveau parti dirigé par Dawda Kairaba Jawara, le People’s Progressive Party (Ppp), qui remporte les élections de 1962, tandis que son chef devient Premier ministre. Les négociations pour l'union avec le Sénégal (vœux cher au président du Conseil, Mamadou Dia, qui y effectuera une de ses premières visites, juste après la rupture avec le Mali) n'aboutissent pas; les Gambiens craignant de devenir des Sénégalais de seconde zone. La conférence de Londres, en 1963, décide enfin l'indépendance de la Gambie au sein du Commonwealth, le 18 février 1965.
Cinq ans après nombre de pays francophones, à l’image du Sénégal à l’intérieur duquel la Gambie ressemble plus à une enclave qu’à un pays. Le référendum de novembre 1965 rejette le projet visant à établir une République et c’est dans ce contexte que le Ppp de Jawara sort vainqueur des élections de mai 1966. La visite du président Senghor, en avril 1967, est marquée, néanmoins, par la conclusion d'un traité d'association entre Dakar et Bathurst, permettant une coopération dans tous les domaines. Depuis les élections législatives de 1972, le Ppp (auquel se rallie, en 1978, l'United Party) conserve la majorité et le président Jawara est constamment reconduit dans ses fonctions. Mais, à la suite des premiers pas tentés par Mamadou Dia, au début de l’indépendance du Sénégal, la timide volonté de faire de la Gambie une entité réelle au sein de l’ensemble sénégambien va encore rester au stade des intentions. À la fin d'octobre 1980, une crise grave éclate, provoquée par des éléments extrémistes. Le gouvernement gambien fait appel aux troupes sénégalaises, en vertu du traité de 1967. En juillet 1981, une nouvelle intervention du Sénégal fait échouer un coup d'État militaire. En décembre 1981, un accord intervient entre les deux pays, créant une Confédération de la Sénégambie, qui devient effective le 1er février 1982. En 1989, le Sénégal décide unilatéralement le retrait de ses troupes stationnées en Gambie (août) et prend l'initiative de la suspension de la Confédération de la Sénégambie (septembre).
UN BOUT DE TERRE LARGE DE MOINS DE 50 KM
Pauvre, s’il en est, avec cette manie de l’histoire d’avoir coupé, un pays en deux: le Sénégal, la Gambie, en anglais Gambia, est un pays situé en Afrique de l'Ouest, et qui a la plus petite superficie parmi les pays africains continentaux. Elle appartenait alors aux britanniques qui contrôlaient le fleuve et s'en servaient pour commercer alors que le Sénégal était français. La Gambie obtient son indépendance en 1965. La Gambie est désormais "un État islamique", a annoncé son président Yahya Jammeh samedi. "Nous serons un État islamique qui respecte les droits des citoyens", a précisé celui qui dirige ce pays d'Afrique de l'Ouest depuis 21 ans d'une main de fer. La Gambie couvre une superficie de 11.295 km². Le pays s’étire sur 320 km de part et d’autre du fleuve Gambie. La distance du Nord au Sud n’excède pas 50 km. L’embouchure du fleuve est encombrée par la mangrove et, sur ses rives, pousse une forêt-galerie. La Gambie est dotée d’un climat subtropical aux saisons distinctes. Le pays possède des gisements de bauxite (estimés à 110 millions de tonnes), de phosphate (112 millions de tonnes) et de pétrole, mais ils ne font l’objet d’aucune exploitation. Enclavée dans le Sénégal, elle est traditionnellement bénéficiaire d'une contrebande avec ce pays. Le tourisme connaît un important essor depuis le milieu des années 1980. Le fleuve Gambie, navigable sur environ 240 km à partir de l’Atlantique, a vu son importance se réduire depuis la construction d’une route à grande circulation.
1994-2016 : La longue parenthèse Jammey
Président aujourd’hui, marabout demain, Yahya Jammeh est un chef d’Etat à part sur l’échiquier continental! Qui pourrait trouver un surnom à celui qu’on appelle encore Babili mansa dans son pays ? En 1994, lorsque les troupes gambiennes ayant participé à la Force ouest au Liberia, mécontentes du retard de paiement de leurs soldes, organisent un putsch, qui destitue le président Dawda Kairaba Jawara, l’on pense à une petite parenthèse qui finirait plus rapidement que le putsch manqué de 1981, avec le défunt Kukoï Samba Saniang.
Le jeune lieutenant qui prend alors le pouvoir, à la tête d'un Conseil provisoire des forces armées, est un innocent qui appelle le président Diouf, dans un Wolof très gambien, «suma baye». Mais, dans la foulée, le nouveau régime, qui doit, selon le président, réprimer plusieurs tentatives de coup d'État, rétablit tout de suite, la peine de mort. Et c’est dans ces conditions qu’une élection
présidentielle assez particulière est organisée en septembre 1996, dans des conditions que condamne le Commonwealth (plusieurs partis, dont le Ppp de l'ex-président Jawara, préalablement interdits, ne peuvent en effet y participer). À la tête de l'Alliance for Patriotic Reorientation and Construction (Aprc), Y. Jammeh, devenu colonel, entretemps, on ne sait d’ailleurs comment, est élu très largement. Mobutu, qui s’est autoproclamé maréchal bien avant lui, l’avait nul doute inspiré. La domination du parti présidentiel se confirmera aux législatives de décembre 1996-janvier 1997. Et commence ainsi un long règne qui n’est pas prêt de finir, en attendant la
présidentielle à venir le 1er décembre 2016. Elle sera suivie d'élections législatives en avril 2017.
LE KOMBO, LE FOGNY, LE FOULADOU DANS UN MEME ENSEMBLE : Où s’arrête la frontière ?
Gunjur, pour les Gambiens Kombo Gunjur, est une petite ville côtière en Gambie du Sud-Ouest. Il est situé dans le Quartier Kombo du Sud dans la Division Occidentale. À partir de 2009, il a une population estimée à 17,520. Il est jumelé avec Marlborough dans Wiltshire, le Royaume-Uni de la Grande-Bretagne et l'Irlande du Nord. Les tribus communes à Gunjur comprennent les Mandingues, les Peuls, les Joolas, Manjaques.
Près du petit village de pêche de Gunjur, vous pouvez trouver des côtes à sable blanc et beaucoup de nature incluant le parc forestier privé "koofung". Tout près de Banjul, Serrekunda est une autre ville connue de cette République. Située à environ 10 km au Sud-Ouest de la capitale, la ville a été probablement fondée par les colons portugais au XVIIe siècle et construite par les Britanniques aux XVIIIe et XIXe siècles. Ville la plus connue des férus de ce pays, Serrekunda compte aujourd’hui près de 400.000 habitants, donc est, sur la carte démographique, la ville la plus peuplée de Gambie en étant passé, de 1973 à 2010, de 25.000 à plus de 350.000 habitants. Lamin. C’est aussi le nom d’une ville de ce pays. Située dans la Western Division, la petite cité est composée majoritairement de deux clans, les Bojang et les Manneh. En 2008, le village comptait 31.133 habitants. Dernière étape de cette ballade au cœur des paysages urbains de la Gambie, la ville de Basseh, à l’autre bout du fleuve vers l’Est du pays, de la Casamance et du Sénégal oriental. Basseh Santa Su, normalement connu comme juste Basseh, est une ville majeure située dans le quartier d'Est de Fulladu, sur la section d'Extrême-Orient du Fleuve Gambie. C'est le siège social et capital régional de la Région fluviale supérieure (Upr) et est une des huit zones d'administration locale en Gambie. En amont, la distance qui la sépare de la capitale est de 370 kilomètres et d’environ 340 km par la route de l'Aéroport Yundum. Basseh est aussi réputé pour son marché très agité, mais aussi, un ferry se croisant à la rive nord pour les passagers et les marchandises. C'est aussi un point de transit important pour des marchandises allant au Sénégal oriental, au Mali et en direction de la Guinée. Basseh a une population d'environ 20.000 personnes, composée de surtout le Peul, suivies par des Sarakholés, des Mandingues et d'autres groupes ethniques tous connus au Sénégal.
Sanneh-Mentering, place myhtique
Dans l’univers culturel gambien et mandingue, Sanneh Mentering est reconnu comme un site sacré. Un endroit plus scénique et évocateur de pèlerinage. Situé au sommet d'une falaise, dominant la plage, avec son arbre, un baobab énorme, et la hutte simple dans un bosquet, son histoire revient souvent dans les contes et légendes de la Sénégambie. De nombreux touristes y vont par curiosité pour découvrir une pierre à la base d’un arbre où l’on laisse souvent l'aumône: noix de cola, argent, tissu. Pour ajouter au folklore et au mythe, l'air est rempli de l'odeur d'encens brûlé par un marabout en exercice. Les musulmans de partout, de la Gambie viennent ici pour la chance, une activité plus profitable, des remèdes de santé ou prient ici à la fois pour congédier le mauvais sort et faire face aux moments difficiles qu’ils connaissent dans leurs vies. Les femmes viennent aussi ici pour un lavage spécial de l'eau de puits au fond de la falaise, dans l'espoir de surmonter l'infertilité. L'endroit mythique est aussi orthographié Sanamentering, Sannehmentering, ou bien simplement Sanimentereng.
UN AUTRE SENEGAL QUI PARLE ANGLAIS : Birikama, cœur du pays mandingue
Ce pays à la géographie envoûtante, à travers ses villes d’un autre âge, est un des fiefs du tourisme mondial. Il fascine beaucoup de par sa position charnière entre la Casamance, au Sud, et le Sine Saloum, au Nord; deux régions économiques et naturelles, qui enserrent un bout de terre de moins de 12.000 kilomètres carrés, avec comme seule ouverture à l’Ouest, l’océan atlantique. Des villes, parlons-en. Vous avez sur le littoral atlantique, à côté de la capitale Banjul, la cité touristique de Bakau. Situé sur la baie du Kombo Sainte-Mary, Bakau est une ville de l’Ouest gambien ouverte sur le tourisme international. Sa situation géographique au niveau du promontoire du Cape Point, elle est aussi une ville d’estuaires à l’endroit où le fleuve et la mer se retrouvent. Elle est connue notamment pour ses jardins botaniques, le bassin à crocodiles (Kachikally Museum and Crocodile Pool). Elle est seulement distante de Banjul de 12 km.
La ville de Birikama, appelée aussi par les mandingues gambiens de son vrai nom Birikama, est une ville de la région du Kombo Central District, toujours comme Bakau sur la zone du littoral atlantique. Elle en est d’ailleurs la capitale. C’est une ville à la fois administrative, au plan judiciaire. Située à une trentaine de kilomètres de Banjul, c’est l’un des complexes urbains les plus peuplées du pays avec une population estimée à quelque 750.000 habitants. Les mandingues constituent le groupe ethnique dominant, d’où son nom. Mais on y trouve également, des Wolofs, des Joola des Manjaques, des Peuls, des Aku, des Sérères, des Soninkés…
Birikama est surtout une ville très connue pour son grand marché, avec le commerce de l’arachide, de l’huile de palme, au cœur d’une économie locale qui tourne autour du thé, du savon, des huiles de toilettes pour les femmes, etc. C’est aussi la région de l’horticulture et la culture fruitière gambiennes, de l’artisanat aussi à travers la poterie, le batik pour les tissus ainsi que les ateliers des métiers du bois. Mais c’est surtout, pour son héritage culturel que cette ville dégage une vraie personnalité urbaine à travers un instrument, la Kora et les grands griots qui en sont les virtuoses.
Pour ce qui est de l’histoire, l’autre spécificité de cette grande ville est que les anciens fondateurs païens de Birikama, les Konté et leurs descendants les Bojangs, sont reconnus comme les colons originaux. Le règlement est celui d’une vieille ville royale qui avait été détruite à la deuxième moitié du 19e siècle, pendant les guerres de Soninke-marabout, qui ont fait rage pendant des décennies dans les régions du Kombo.
Site touristique majeur dans l’espace gambien, Brufut, connu aussi sous le nom de Burufut, est situé entre l'Océan Atlantique et la forêt côtière, dans le Quartier Kombo du Sud. La ville est établie dans la région de Côte ouest de la Gambie et se trouve à 23 km par la route de la capitale Banjul et 7 km par le Sud de Kololi. Le vieux village est à environ 1,5 kilomètre à l'Est de la Route Côtière du Kombo et s'est étendu vers l'Ouest au bord de mer pour inclure la station de vacances de Hauteurs Brufut et des Jardins Brufut. L'autre zone voisine très exotique, (une aire de la migration en Afrique de l’Ouest) est appelée Ghana, une petite cité qui a été fondée par des pêcheurs ghanéens, il y a beaucoup d'années.
A suivre
Dossier réalisé par Mame Aly KONTE
Avec Vita et Afronline (Italie)
SOURCE: http://www.sudonline.sn/la-gambie-terre-d-afrique-et-de-contrastes_a_32379.html