«Dans mon entourage, tout le monde se dépigmente, mes sœurs, mes tantes, pourquoi moi qui suis un homme, je ne pourrais pas suivre cette mode?», confie Koffi, un Congolais de 34 ans, qui se blanchit la peau depuis une dizaine d'années.
Même si la dépigmentation volontaire est une pratique majoritairement féminine –selon les chiffres publiés en 2009 par la Mairie de Paris, environ 20% des femmes de couleur résidant en région parisienne utiliseraient des crèmes éclaircissante– les hommes auraient également recours à ce type de produits.