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01
Ven, Nov

Le peuple sénégalais, une fois de plus, vient d’être ébloui par le talent dramaturgique de sa classe politique. Après les longues années d’invectives, de traque et d’emprisonnements, voilà aujourd’hui, inexplicablement, la subite période de «grâce». Karim libéré, Bibo, Diassé, Pouye tous graciés et la liste des 25 futurs traqués, étouffée dans l’œuf. Que nous ont encore caché nos hommes politiques ? Qu’est-ce qui a bien pu se passer ? Quels sont les termes véritables de cette libération dont on chante aux populations le visage faussement humanitaire! Pourquoi ont-ils insisté, forcé, puis exécuté cette mise en liberté précipitées, aux relents douteux ? Pourquoi en cette veille de retrouvailles libérales?

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Très en verve, lors de sa conférence de presse de ce jeudi, Idrissa Seck n’a pas fait de cadeau au Président Macky Sall. « Le Sénégal a des fils qui peuvent le construire.

Chaque jour je les vois. Ils sont dans les entreprises, dans les organismes internationaux, ils sont ici dans ce pays. Ce sont des fonctionnaires compétents qui peuvent faire ce pays. Mais celui qui dirige ce pays, “ki djité rewmi meunoul, djouboul, weuroul”. Je l’ai dit et redit. Et si ce que je dis n’était pas vrai, il m’aurait interpellé », a-t-il tonné face à la presse.

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Face aux journalistes de la presse nationale et internationale qu’il a conviés à un Ndogou presse, ce jeudi, Idrissa Seck est largement revenu sur ce qui fait l’actualité en ce moment dans notre : la libération de Karim Wade. Pour le patron de Rewmi qui a abordé entre autres points le procès de Karim Wade, le fils de Wade est bel et bien coupable. “Je n’ai aucun doute sur la culpabilité de Karim Wade. Le hic, c’est qu’ils ont utilisé un mauvais instrument pour établir une culpabilité qui relève de la flagrance”, a dit Idrissa Seck. Des propos rapportés par Senego. 

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  On va vraisemblablement vers une augmentation du nombre de députés à l’Assemblée nationale. La diaspora considérée comme la 15ème région aura désormais un quota élu au sein de l’hémicycle.  

Telle est en effet la volonté clairement exprimée par les tenants du pouvoir actuel. Une volonté réaffirmée hier, jeudi 16 juin, par le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, lors de la célébration de l’anniversaire de son divorce d’avec le parti socialiste, le 16 juin 1999. L’enseignement majeur à retenir ici est que le nombre de députés sénégalais a sensiblement varié au cours de l’histoire de ce pays. 
 
Ainsi, au moment de l’indépendance, les représentants du peuple n’étaient que 80. Un effectif qui est passé à 100 en 1978, avec notamment l’entrée du Parti démocratique sénégalais dans l’hémicycle.  Ce nombre est ensuite à 120 en 1983 et à 140 en 1998. 
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Karim Wade est libre. Le fils de l'ancien président de la République du Sénégal a été libéré trés tard précisément aux alentours de 1h 30. 

une foule immense s'est présentée à son domicile pour l'accueillir. Ses partisans et militants Karimistes ne cachent pas leur joie. Chaque minute qui passe, malgré l'heure tardive, l'affluence devient de plus en plus dense. La sécurité aussi. 

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Ce que d'aucuns appellent prosaïquement le feuilleton Karim Wade n'en finit pas de faire la Une des gazettes passant des rubriques politiques à celles des "peoples" etc... 

En effet, il ne se passe plus un jour sans que Wade-fils n'occupe les devants de la scène de l'Actualité. 

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Un journal de la place a écrit que le Président de la République, Macky Sall, a signé le décret graciant Karim Wade. Mais que l’ancien ministre d’État, placé sous mandat de dépôt et condamné à six ans de prison ferme par la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei), a boudé le «cadeau» du chef de l’État.

La vérité est que s'il est vrai que le chef de l'Etat a signé le décret de grâce, Karim Wade sortira de prison. Il ne peut, en aucune cas, refuser que les effets d'une grâce s'appliquent à lui.

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Condamné à six de prison pour enrichissement illicite, Karim Wade, fils de l’ex-président sénégalais et candidat de son parti à la prochaine présidentielle au Sénégal, a été gracié vendredi par le chef de l’Etat Macky Sall et libéré, une mesure dénoncée par les militants anti-corruption.

Karim Wade, métis et veuf de 47 ans, père de deux filles, a quitté le Sénégal pour le Qatar peu après sa libération dans la nuit de jeudi à vendredi, selon une source officielle et de nombreux médias locaux.

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C’est à croire que Yaya Jammeh a le sang chaud en ce moment. Le Directeur général de la Gambian National Petroleum Corporation (Gnpc) Momodu Badjie, le secrétaire permanent du ministère du pétrole Fafa Sanyang et un agent du secrétariat de la présidence de la République gambienne du nom de Nuha Touray, ont été arrêtés ce dimanche. Interpellés par la redoutable National Intelligence Agency (NIA) ils y sont présentement pour être interrogés.

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On est content pour lui, et sa probable et très prochaine libération donne à tous les voleurs de poules de vrais espoirs de liberté si ce n’est de rédemption. 

Karim Wade est donc sur le chemin qui mène à la liberté et plus loin à la présidence. On a envie de dire, sans rire : « Tout ça pour ça !!!! ».

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Sur le plan légal, il n’y a rien à redire de la grâce présidentielle accordée au plus célèbre des détenus du Sénégal, Karim Wade, 47 ans. Mais les circonstances entourant sa libération en catimini provoquent un certain malaise à Dakar. Un épilogue controversé au diapason de ce dossier retentissant – la condamnation du fils d’un ancien chef de l’Etat pour enrichissement illicite – dans lequel le président sénégalais Macky Sall s’est empêtré.

Dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 juin, le fils d’Abdoulaye Wade, président du Sénégal de 2000 à 2012, est donc sorti libre de la prison de Rebeuss à Dakar. Il avait accompli, compte tenu de sa détention préventive, la moitié de sa peine de six ans d’emprisonnement prononcée en 2015. « A peine sorti, il s’est envolé à bord d’un jet privé envoyé par l’émir du Qatar, destination finale du voyage en compagnie du procureur général [de ce petit émirat]. Il est là-bas pour on ne sait combien de temps », nous raconte un de ses proches.

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Comme on pouvait s'y attendre, la décrispation des relations tendues entre l'Alliance pour la République (Apr) et le Parti démocratique sénégalais (Pds), avec à la clé une imminente libération de Karim Wade, se heurte à la réticence de certains alliés du chef de l'Etat. Le secrétaire général de la Ligue démocratique, dans une déclaration dont Grand Place a reçu copie, met en garde le Président Macky Sall sur cette possible mise en liberté du détenu le plus célèbre du Sénégal.

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Malgré 3 heures de discussions, le pôle de l’opposition, conduit par le Parti démocratique sénégalais et l’Entente des forces de l’opposition de Modou Diagne Fada et Cie, n'est pas tombé d’accord sur la mise en place d’une liste unique de 15 plénipotentiaires, dans le cadre du dialogue sur le fichier électoral. Avec deux listes, l’opposition s’en remet à l’arbitrage du ministre de l’Intérieur. Mais déjà, le Pds craint un dénouement identique à l’affaire de son groupe parlementaire.

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