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Ven, Nov

  Une riposte se prépare dans les rangs des douze membres de l’Alliance des forces de progrès (Afp) exclus le vendredi dernier par le Comité ad hoc de ladite formation. Les exclus qui considèrent la mesure «arbitraire» vont se retrouver dans les prochaines heures pour réfléchir sur la conduite à tenir. La perspective judiciaire n’est pas à exclure, selon des sources proches du dossier.  

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Leral.net tient de sources sûres que l'avocat Amadou Sall a été convoqué par la Section de recherches de la Gendarmerie de Colobane. En cause, les propos qu'il a tenu sur Macky Sall lors d'une manifestations dimanche à Guédiawaye.

“Macky Sall est un peureux. Il est incompétent, incapable et impuissant. Il n'a pas de projet de société. C'est par pur hasard qu'il est devenu chef de l'Etat. Pour lui, la seule chose qu'il doit faire, c'est d'emprisonner Karim Wade. Nous ferons face à lui. Que tout un chacun sort son bâton, gourdin, cuillère, pilon...pour la résistance. 

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L’ambassadeur de la France au Sénégal s’étonnerait que Karim Wade obtienne un non-lieu le 23 mars au vu du déroulement du procès. Jean Félix Paganon qui était à Grand jury hier s’est dit «attristé» par les propos de Wade contre Macky Sall et qualifie de «grave» l’appel de l’ancien Président à l’Armée.

L’ambassadeur de la France au Sénégal semble bien s’intéresser au sort de Karim Wade. Le verdict de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est attendu le 23 mars prochain. Invité de l’émission Grand jury de la Rfm hier, Jean Félix Paganon répond à la question suivante : «Au regard du déroulement du procès, une condamnation de Karim Wade ne vous étonnerait pas ?»

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Un dossier dans un dossier. Les enregistrements de délibérations de la Crei dans l’affaire Karim Wade mettent en cause un preneur de son et un informaticien. Le dernier aurait été approché par la défense de Karim Wade pour lui vendre les secrets des délibérations sur les exceptions et non sur le verdict du 23 mars. 

Ce que la presse d’hier a appelé «scandale à la Crei» ou «scandale au Tribunal» est finalement un feuilleton à deux épisodes. En effet, il y a deux cas et deux techniciens : un preneur de son rattaché à la Cour d’appel et non à la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) et un informaticien de cette juridiction présidée par Henri Grégoire Diop. Ce preneur de son était chargé de la sonorisation et de l’enregistrement des audiences.

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  Dans une déclaration en date de ce 11 mars, Yoonu Askan Wi note que la situation nationale est que jamais marquée par un certain regain de tension. La principale raison réside, selon Madièye Mbodji et cie, dans le fait que la rupture n’est  pas opérée. « Certains engagements importants, pris devant le peuple, tardent à être concrétisés, comme c’est le cas de la réforme des institutions dans l’optique de la refondation de la République préconisée par les Assises nationales et la Cnri ».  

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Les responsables du Saes (Syndicat autonome de l’enseignement supérieur) ont empêché hier les autorités universitaires d’honorer l’ancien ministre des Universités et de la Recherche de la France dans l’enceinte de l’Ucad 2. Ils qualifient «d’insulte grave» la décision prise par les autorités de décerner le titre de Docteur Honoris Causa à Valérie Pécresse qui symbolise «la précarisation, la marchandisation et la privatisation des universités».

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La conférence des leaders de Macky 2012 est dans tous ses états. En réunion hier, elle rappelle au président de la République qu’elle n’acceptera pas qu’on choisisse à Macky 2012 des représentants dans les instances de BBY.

Les leaders tiennent à leur dignité et exigent qu’on leur laisse le choix de designer librement et démocratiquement leurs représentants. La coalition a aussi dit toute son indignation et son mécontentement face à l’attitude de deux poids deux mesures de son Président qui préfère financer les activités des autres coalitions, y compris celles qui lui préparent des adversaires, au détriment de sa propre coalition sans laquelle il ne serait pas au second tour de l’élection présidentielle de 2012. 

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Au cours de la session ordinaire unique portant sur le projet de loi N°03/2015 modifiant certaines dispositions du code général des impôts tenue ce vendredi, le député El Hadj Diouf a félicité le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan « qui est du monde des Impôts ». 
Mais, dira-t- il : «Trop d’impôt tue l’impôt ; et il y a des secteurs qui nécessitent des mesures exceptionnelles, une discrimination positive tel que le tourisme». « Nous avons la chance d’avoir toujours les meilleurs ministres des Finances d’Afrique, on a eu Abdoulaye Diop ici et aujourd’hui c’est le tour du ministre Amadou Ba, le Sénégal peut se vanter d’avoir de hauts cadres dans tous les domaines ; c’est le pays de Senghor! », s’est réjoui le député. 

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  C’est parti ! La course à la candidature du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour la présidentielle de 2017 est officiellement lancée. A la sortie d’un conclave tenu hier, jeudi 5 mars, sous la présidence de son secrétaire général national, Me Abdoulaye Wade qui n’a pas fait de déclaration à la presse, le bureau politique du Pds a annoncé l’ouverture officielle des dépôts des candidatures.   

S’adressant à la presse, à l’issue de cette rencontre ayant duré moins d’une heure, Babacar Gaye, le porte-parole du Pds, a indiqué que les prétendants ont une semaine pour se prévaloir de leur droit d’être candidat à la candidature pour l’élection présidentielle de 2017. LA date de clôture est fixée au 20 mars prochain, soit trois jours avant le verdict de la Crei condamnant ou libérant Karim Wade.
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Des émissaires de Abdoulaye Wade ont été reçus par le porte-parole du khalife général des tidianes de Tivaouane.  Ils n’ont pas obtenu le soutien attendu. Abdoul Aziz Sy «Al Amine» leur a signifié son indignation par rapport aux déclarations de leur leader sur la famille de l’actuel président de la République. 

Abdoulaye Wade ne chôme pas. Il s’est engagé dans la bataille de l’opinion. Face au tollé suscité par ses déclarations dirigées vers les origines familiales du Président Macky Sall, le secrétaire général du Parti démocratique sénégalais (Pds) s’est évertué à s’expliquer devant des guides religieux du pays. 

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L’ancien maire de Bambey ne partage pas la démarche d’urgence empruntée par son leader, Me Abdoulaye Wade, pour choisir le candidat de son parti pour 2017. Dans sa manière de rejeter cet agenda, Aïda Mbodj ne s’est pas souciée de la courtoisie et ce, à quelques heures d’une audience avec son mentor.

Sponsorisée et supervisée par le Libéral en chef, l’opération en cours devrait aboutir ce 20 mars à la désignation du candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) à l’élection présidentielle de 2017. Un éventuel choix porté sur Karim Wade, dont les juges de la Crei devront statuer sur le sort 72h après ces «Primaires», alimente les suspicions.

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Pour la prochaine bataille, le Grand cadre des syndicats d’enseignants sort la grande artillerie. Aucune éventualité n’est écartée. Cette année, pour les militants du Grand cadre, «ça passe ou ça casse». Le Cusems, qui est dans la même dynamique, va dérouler un autre plan d’action dont il refuse, pour l’instant, de dévoiler les détails.

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Dans une chronique publiée hier dans le quotidien le Populaire, Abdou Salam Kane, ASAK de son nom de plume, recadre Abdoulaye Wade. Les propos tenus par ce dernier sur Macky Sall et ses origines ont inspiré l’excellent chroniqueur du Populaire, qui, dans son français châtié, a donné une bonne leçon de décence et de prudence à Abdoulaye Wade par rapport à sa propre ascendance.


Après avoir disserté sur ses relations avec Abdoulaye Wade et sur l’homo senegalensis et ses tares, ASAK, dans un post-scriptum, revient sur les propos qu’il juge « criminels et dégradants pour qui les tient » : 

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