Fast backlinks and Guest-post hosting
La sortie des avocats de Karim Wade, faisant état d’isolement de leur client est «sans fondement», aux yeux du procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Dans un communiqué, la Cellule de communication du ministère de la Justice indique que, même le mercredi 11 juin 2014, Alioune Ndao a «fait remarquer que toutes les demandes de permis de communiquer, soit près d’une douzaine, ont été accordées. Et qui plus est, il a autorisé systématiquement toutes les demandes qu’il a dûment reçues».
Seulement, souligne-t-on, «il est évidemment que l’on ne peut pas accorder des autorisations de visite n’ayant pas fait l’objet d’une demande». Dans un tableau, les services du Garde des Sceaux ont dénombré 29 visites à Karim Wade autorisées par la Crei entre le 21 avril et 9 juin.
S’agissant de l’accès de la défense au dossier de M. Wade, le Parquet spécial précise que «le dossier physique est bien accessible et est à la disposition des avocats», relevant que c’est plutôt ces derniers qui «ne veulent pas le consulter». La vérité, ajoute le communiqué, «c’est qu’ils trouvent fastidieux le travail de consultation du dossier physique trop volumineux ; le dossier tenant presque sur une armoire)». De ce point de vue, conclut-on, «il n’y a aucune rétention».
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.SOURCE:http://www.lequotidien.sn/index.php/politique/item/32005-le-parquet-sp%C3%A9cial-explique-la-difficult%C3%A9-pour-la-consultation-de-l%E2%80%99affaire-karim--le-dossier-tient-presque-sur-une-armoire
Le parquet spécial explique la difficulté pour la consultation de l’affaire Karim : Le dossier tient «presque sur une armoire»
Outils
Vos reglages
- Plus petit Petit Moyen Grand Plus grand
- Default Helvetica Segoe Georgia Times
- Mode de lecture