Le juge de la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite ont entendu la semaine dernière l’ancien argentier de l’Etat le ministre Abdoulaye Diop. Selon Libération, il s’agissait pour ce dernier appelé comme témoin d’apporter des éclaircissements sur l’attribution du terrain abritant le complexe immobilier « Eden rock » appartenant Bourgi. Dans le cadre de la même affaire l’ancien Directeur des impôts et domaines Alassane Diankho a été interrogé durant la même période.
Que n'a-t-on lu ou entendu, ces derniers temps, sur les relations entre celui qui tient les manettes de l’exécutif et son Premier Ministre?
En tout état de cause, les langues continuent de se délier. Grave. En effet, nous tenons de nos fureteurs que les proches de la "dame de fer" (nous voulons nommer Mimi Touré) soutiennent mordicus "qu'il n'y a vraiment pas de quoi fouetter un chat".
Les résultats déjà obtenus dans le cadre de la caravane d’information et de sensibilisation de l’Acte 3 de la décentralisation ont été au centre du point de presse organisé hier par le ministre de l’Aménagement du territoire et des Collectivités locales, Me Oumar Youm. Une réforme qui, selon le ministre, est un processus qui pourrait être finalisé et perfectionné. Après avoir sillonné douze régions et tenu plus d’une trentaine de fora et une cinquantaine d’ateliers de partage autour de l’Acte 3 de la décentralisation, l’heure était, hier, au ministère des Collectivités locales, de faire un bilan d’étape avant de boucler les deux dernières régions (Kédougou et Tambacounda) qui n’ont pas été visitées par la caravane d’information et de sensibilisation. Concernant la communalisation intégrale, il a été précisé qu’elle permet l’uniformisation des appellations des collectivités de base, qu’elles soient en milieu rural ou en milieu urbain.
La Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) réclament «fermement» la création d’une Commission nationale composée de personnes neutres dont le but sera d’examiner la gestion du pays de 1990 à 2012 en «vue de débusquer toutes les malversations dont se saisiront la Crei et le parquet».
Les cadres libéraux veulent amener le Parti socialiste (Ps) sur le terrain de la transparence. «La Fncl réclame fermement la mise sur pied d’une Commission nationale composée de personnes neutres chargée d’examiner la gestion du pays de 1990 à 2012 en vue de débusquer toutes malversations dont se saisiront la Cour de répression de l’enrichissement illicite Crei et le parquet», lit-on dans un communiqué parvenu à la rédaction du journal Le Quotidien.
iGFM (Dakar) La ligue démocratique (LD) continue d’émettre sur la fréquence des critiques. Le forum initié, avant-hier, par les jeunes «jallarbistes», sur le thème «le Sénégal en 2014 : état et lieux, enjeux et perspectives» a servi de tribune au leader dudit parti, Mamadou Ndoye pour déclarer que l’émergence n’est pas pour demain selon nos confrères du quotidien le Populaire.
«Nous avons observé des pays qui ont développé l’émergence sans pratiquement aucune avancée sociale significative. S’agit-il de cette émergence dont nous voulons parler ou bien de celle qui allège et intègre les pauvres ?
DAKARACTU.COM « Pharaon Sall, le bâton de Moussa est toujours là, et la mer rouge aussi (pour l’engloutir)…On m’a demandé de faire partie du partage du gâteau, j’ai refusé alors on m’a promis des représailles…L’arrogance fera peur aux uns, mais croisera le refus des autres…Sa dynastie, sa femme, sa famille, ses frères… Ministre par accident, premier ministre par accident, président de l’Assemblée par accident, héros par accident, Président par accident, il conduit les affaires du pays à l’aveuglette… » Rien que ces extraits de l’émission ‘’Taneef’’ de ce vendredi illustrent bien le bombardement de Sidy Lamine Niass sur ‘’le Macky’’… Alors à votre lecture, fidèles de Dakaractu.
Il ne fera sûrement plus l’objet d’un refus de visa par le Consulat de France à Dakar, après le coup de gueule de tous les Sénégalais en juin dernier. Mais, Pr Oumar Sankharé pourra-t-il se rendre ces jours-ci en France sans être inquiété ? Non ! Le Centre des Finances publiques de Marseille vient de lui servir une mise en demeure, au risque de poursuites judiciaires, s’il ne solde pas sa facture, suite aux soins de santé qu’il aurait reçus en France entre le 21 juillet et le 16 Août 2010. Cet éminent professeur agrégé en grammaire française, malgré sa bonne volonté de trouver une solution définitive à cette affaire, s’en remet pour l’heure à la providence divine.
Le ministre sénégalais des Affaire étrangères, Mankeur Ndiaye, a révélé, ce samedi à Dakar, que le président de la République, Macky Sall, a pris des « initiatives personnelles’’ pour parvenir à la signature de nouveaux accords de partenariat économiques (APE) entre l’Afrique de l’Ouest et l’Union européenne. Parlant au nom du chef de l’Etat, Macky Sall, au sortir d’une audience accordée par ce dernier aux négociateurs en chef de l’UEMOA et de la CEDEAO et à ceux de l’UE, venus lui présenter leur document de compromis, le ministre des Affaires étrangères a salué le rôle qu’il a joué pour aboutir à la signature de cet ‘’accord à minima’’ entre les différentes parties.
Sous des chaumières, des tentes ou des bâtiments modernes, ou encore au poste de santé, les habitants de la communauté rurale de Léona vantent les prémices du Projet du village du Millénaire. A juste raison. En plus d’une couverture sanitaire élargie, 35.000 âmes ont accès aux soins de santé dans des délais raisonnables. Les taux de mortalité maternelle et infantile, la mortalité liée au paludisme, à la diarrhée, à la malnutrition ont connu un effondrement sans précédent. Plus de 300 jeunes venus de 53 pays d’Afrique et des pays de la Diaspora ont visité ce modèle que le Sénégal projette de reproduire. Les jeunes leaders panafricains des Nations unies avaient déjà entendu parler du village du Millénaire de Léona depuis Dakar. Leur convoi composé deux 4 bus et de 4x4 et pick-up s’immobilise à Louga. Il faisait aux alentours de midi.
Ce qu'il est convenu d'appeler prosaïquement "l'affaire Aida Ndiongue", loin de connaitre son épilogue, continue son bonhomme de chemin de rebondissement en rebondissement. Le nouveau épisode de ce feuilleton n'en demeure pas moins ce "come back" (retour) sur les lieux, c'est à dire à la CBAO (rendue tristement célèbre par cette affaire). En effet, des enquêteurs de la redoutée Section Recherches de la gendarmerie en charge de cette gratinée affaire se sont rendus ce mardi matin au dit établissement bancaire.
DAKARACTU.COM 13 morts dont une femme et quatre sénégalais, tel est le bilan de la tentative des 200 á 400 migrants d’origine subsaharienne qui ont voulu entrer illégalement ce Jeudi dans l’enclave espagnole de Ceuta.
Un premier bilan fourni par les autorités locales marocaines avait fait état de huit noyés mais au fil des heures, cinq autres corps sans vie ont été retrouvés sur la plage.
Même si les chances de retrouver des survivants sont vraiment minimes, une équipe de sauvetage continue de sillonner le lieu du drame pour espérer rencontrer des rescapés ou d’éventuelles dépouilles mortelles. Ce drame qui illustre une fois encore la lancinante question relative á la pression migratoire aux portes de l’Europe a encore touché toutes les âmes sensibles du monde entier.
Ainsi, le Réseau Africain pour la Gouvernance des Migrations section Grenade (RAGOMIG) sous la houlette de son coordonnateur Cheikh Mbackè Diop s’est associé á Migreurop España ,SOS Racismo Andalucia, Asociacon pro Derechos Humanos Andalucía .Andalucía Acoge ,Circulo silencio ,CEAR ,Asociación ELIN entres autres organisations et plateformes pour organiser ce Vendredi une concentration silencieuse et pacifique en hommage aux disparus.
Le président de la République Macky Sall a, en marge de la rentrée solennelle de l’Académie nationale des Sciences et technique de ce jeudi 6 février, annoncé la construction de 7 lycées d’enseignement aux métiers de l’Agriculture.
Le président de la République Macky Sall a annoncé hier jeudi un programme de construction de 7 lycées pour la formation et le renforcement des capacités en agriculture. Par cet acte, a laissé entendre le président de la République, le gouvernement compte promouvoir la formation technique et professionnelle dans les métiers agricoles de manière à encourager l’entreprenariat dans le secteur. Le président Sall a annoncé en outre un prêt de 43 milliards de la Banque Mondiale en guise de soutien à l’Agriculture, à l’agro- industrie et à la formation des acteurs.
L’Union nationale des indépendants du Sénégal dénonce le «dilatoire» du Président Macky Sall qui refuse, selon elle, de recevoir les conclusions de la Commission nationale de réforme des institutions ; laquelle a fini ses travaux depuis longtemps.
La Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) dont le rapport devait être déposé depuis plusieurs mois suscite des inquiétudes dans le cercle des organisations de la société civile. Si certaines indexent Amadou Makhtar Mbow pour leur «lenteur», l’Union nationale des indépendants du Sénégal (Unis) fustige l’attitude du chef de l’Etat qui, «apparemment, ne veut plus de ces réformes».
Si 2011, année pré-électorale a été très faste pour Aïda Ndiongue, avec 17 milliards décaissés dans le cadre d’une procédure formellement légale, puisque prévue par le budget voté par l’Assemblée nationale, par contre en 2012 aucun sous n’a été libéré à son profit. Les services du ministère de l’Economie et de Finances avaient en effet, tout bloqué, révèle le journal EnQuête.
D'après nos confrères, le budget 2012 prévoyait 6 milliards de francs Cfa pour les sociétés de l’ex-sénatrice libérale. Mais, il n’y a pas eu de décaissement de la part des services d’Abdoulaye Diop à l’époque ministre de l’Economie et des Finances. Le changement du pouvoir intervenu, le nouveau locataire du Palais, Macky Sall a pris un décret d’avance qui va annuler toutes les chances de voir les sous transiter par le Trésor pour atterrir dans les comptes d’Aïda Ndiongue nichés à la CBAO Attijari. Ces 6 milliards seront par ce canal réaffectés au monde rural, sans que l’Assemblée nationale ne joue un rôle dans cela.
Le fils de l’ex-président de la République devra attendre que le Conseil constitutionnel se prononce sur la constitutionnalité ou non de la Crei pour être édifié sur son sort. En effet, la Cour suprême, qui a jugé recevable la requête des avocats de Karim Wade, a décidé de surseoir à statuer, avant de renvoyer le dossier devant le Conseil constitutionnel.
La Cour suprême a déclaré, hier, le pourvoi en cassation des avocats de Karim Wade «recevable». Mais, la Cour suprême a décidé de surseoir à statuer, avant de renvoyer le dossier devant le Conseil constitutionnel. En clair, les cinq «Sages» devront élucider l’opinion sur l’inconstitutionnalité de la loi portant création de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), soulevée par les conseils du fils de l’ex-chef d’Etat. Le sort de Karim Wade reste alors suspendu à la décision des juges constitutionnels, qui devront se pencher sur le dossier.
Des milliers de manifestants issus de trente et un villages de la zone du Sonkodou dans le nord est de la région de Sédhiou ont investi hier dimanche, 2 février, les pistes sablonneuses qui relient les différents sites pour réclamer la construction de la route menant de SaréBidji à Mampalago. Des malades qui succombent lors de leur évacuation, le pourrissement des produits du cru, sont entre autres les maux qui asphyxient les habitants de ce terroir. La marche s'est déroulée par enchaînement dans six localités, symbole du brassard rouge en partage.
Six foyers de manifestations de rue pour un seul et unique objectif : la construction de la route sur une ancienne piste qui relie SaréBidji près de Kolda à Mampalago sur la route nationale N°4 en passant par Kandiadiou.
L'OBS - Les agents recouvreurs de la Société chargée de l’aménagement et de la promotion des côtes et zones touristiques du Sénégal (Sapco) risquent 2 à 5 ans ferme avec de fortes amendes. Ils sont poursuivis par le Directeur général pour faux en écritures publiques, escroquerie et abus de confiance sur un montant évalué à plus d’une cinquantaine de millions.
La Sapco semble avoir été la vache laitière d’agents recouvreurs qui ont confondu la caisse de la société à leurs propres poches. Ainsi, 4 agents de la Société chargée de l’aménagement et de la promotion des côtes et zones touristiques du Sénégal Ousmane Thiam, Adama Bâ, Idrissa Samb et enfin Ibrahima Agne, poursuivis par le Directeur général de la Sapco, Paul Faye, d’avoir encaissé des créances sans les reverser dans les comptes de la société ont été présentés hier au juge du Tribunal des flagrants délits Ibrahima, Sory Baldé,pour escroquerie et abus de confiance sur un montant évalué à plus d’une cinquantaine de millions FCfa.
DAKARACTU.COM La Cour Suprême a déclaré aujourd'hui, 06 février 2014, recevable le pourvoi formé par Karim Wade contre la décision de la commission d'instruction de la CREI, refusant de se déclarer incompétente pour le poursuivre en raison de sa qualité d'ancien ministre, uniquement justiciable de la Haute Cour de Justice.
Pour mémoire, les avocats de Karim Wade avaient estimé que l'article 13 de la loi sur la CREI, qui dit que les décisions de la commission d'instruction ne sont susceptibles d'aucun recours, était contraire au droit à un recours utile prévu par les conventions internationales, auxquelles le Sénégal a adhéré et devait être écarté.
Le moins que l'on puisse dire est que le mouvement ‘’Yen a marre est dépité’’. Ils sont tout furax contre Macky Sall. La preuve, Malal Talla plus connu sous le sobriquet de ‘’Fou Malade’’ a pratiquement vidé son chargeur sur celui qui préside aux destinées du Sénégal.
En effet, saisissant l'opportunité de l'émission ‘’Opinion’’ sur Walf Tv, cette grosse légume du célèbre mouvement a soutenu que :"Macky Sall est en train de prendre le mauvais chemin"
Et le jeune rappeur de poursuivre pour dire: "nous du mouvement ''Y en a marre'' sommes contre l'impunité, encore plus contre la médiation pénale." A ses yeux, le recours à la médiation pénale incite au détournement de deniers publics.